(Marko) Victory is in your veins

Des rues désertes, la plage pour la jeune-femme. Cela faisait tellement de bien, de ne pas être en présence de touriste dans la ville qui l'été avait une population de 110 000 habitants contre 25 000 l'hiver. Le soleil vient à peine de se lever et c'est le meilleur moment pour profiter de la plage. Le sable froid entre ses orteils, la belle brune avait enlevé ses chaussures de course à pied et elle s'avança vers l'océan. Quelques surfeurs avaient eu la même idée que la demoiselle, se lever tôt pour profiter de la plage sans aucun touriste. Mais la brune n'était pas là, pour faire du surf, bien qu'elle en connaisse un certain nombre, son frère d'ailleurs fait parti des nombreux surfeurs de la ville. Enfin, quand il était encore là, Hilaria était vraiment attristé par son départ, mais elle n'avait pas vraiment eut le choix. Heureusement, qui lui restait encore quelques amis en ville pour profiter un peu. Et sinon, elle pouvait se plonger totalement dans le travail. Ce n'est pas ce qui manque. Il y a toujours une réunion, des rencontres avec des industrielles intéresser par certains de ses produits, des papiers à signer. Elle en avait un peu assez de tous ses rendez-vous au restaurant. Ça lui manquait un bon repas fait maison. La brune mit ses pieds dans l'eau fraiche et apprécia clairement le moment, elle regarda l'horizon et se dis que c'était vraiment une bonne journée, un petit sourire aux lèvres. Encore un peu froide pour la brune, pour se baigner totalement. Elle décida alors, de continuer son jogging matinal et de prendre un café sur le port de la ville. Pour entamer en douceur la journée et surtout de bonne humeur. Elle remit ses chaussures en ayant pris soin de laver ses pieds avec des lingettes faites pour enlever le sable de ses pieds. Sa maison n'était pas très loin, mais elle n'avait pas spécialement envie de perdre du temps. Bientôt, les touristes seront là, perturbant le calme de la cote Atlantique.
Elle remit ses écouteurs dans ses oreilles et décida de courir près de l'eau, ou le sable est mouillé pour que ce soit plus simple pour elle de courir. Elle ne remarqua pas l'homme tenant une planche devant elle, trop occupé à changer la musique sur son ipod. Elle se le prit en plein fouet juste au moment où elle releva la tête. Hilaria tomba en arrière, elle poussa un petit cri de surprise. Le cul dans le sable, la colère monta en elle, elle se tient le nez, espérant qu'il ne soit pas cassé. Elle enleva ses écouteurs avec rage, prête à crier sur celui ou celle qui la fait tomber. Mais elle repensa au parole de sa psy et se dit qu'il faudrait qu'elle se calme, avant de relever les yeux. Calme. Elle releva les yeux, enfin, pour voir l'auteur de sa chute.

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