(numa) x again and again

« merci c’est gentil, je m’en souviendrai. » qu'elle te répond simplement, tu acceptes, tu t'écartes. elle sait que tu es là, s'il faut, si elle n'a pas envie de parler, tu ne la contraindras pas, tu n'es pas du genre à faire ça. surtout toi, alors que tu caches tant de choses, tu ne peux comprendre. tu la laisses préparer ce qu'il faut sans en perdre une miette alors qu'elle monte sur le plan de travail pour attendre. tu la regardes, encore et encore jusqu'à ce qu'elle descende pour s'occuper des gaufres. ça sent divinement bon. « j'espère que tu as faim. tu veux quoi dessus ? sucre glace, nutella, confiture ? je peux même te la faire façon banana salit si tu veux ... alors ? » qu'elle te demande finalement, tu fais mine de réfléchis tout en l'aidant à sortir les gaufres. tu lui tiens l'assiette pour qu'elle évite de se brûler. « j'ai énormément faim et j'ai bien envie de nutella, beaucoup de chocolat. »  que tu souffles finalement, le regard brillant. «tu me prends par les sentiments là. » alors tu l'aides à sortir ce qu'il faut, tu t'occupes d'ailleurs du nutella que tu tartines sur la gaufre mais tu ne peux pas t'empêcher de venir frotter la cuillère sur le bras de Marlow. un sourire aux lèvres, tu hausses les épaules. « oups ? » que tu souffles finalement, le regard brillant une nouvelle fois. tu as envie de profiter de ta dernière soirée, tu as envie qu'elle profite elle aussi, qu'elle retrouve son si beau sourire. tu vas tout faire pour. « je suis maladroit .. » que tu souffles finalement en t'esclaffant de rire. tu ne pouvais pas le contenir alors tu te remets à ta tâches non sans faire attention. peut-être va-t-il y avoir des représailles ?

tu ne dois plus y penser. oui, c’est ça n’y pense plus. tu en es capable. tu vas arrêter d’y penser maintenant et jusqu’à ton retour. et si et seulement si à ton retour tu n’as toujours pas de nouvelle tu pourras te sentir mal. c’est l’une des dernières soirées que tu passais ici. à biarritz. c’est vraiment bête de la gâcher. tu auras tout le temps de te sentir mal plus tard, mais là ce n’était pas le moment. en plus, tu passes une bonne soirée. oui c’est une soirée que tu trouves particulièrement bonne. tu lui demandes ce qu’il souhaite dedans. « très bon choix. » tu réfléchis. tout te donne envie. autant le sucre glace que la confiture. tu sens quelque chose d’étrange sur ton bras. tu détournes le regard. il s’amuse avec la cuillère. couvert qui a laissé une belle trace de son passage. « effectivement, tu es vraiment maladroit. je ne peux que le constater. » tu réprimes un sourire amusé. tu sais pertinemment qu’il l’a fait exprès, et même si tu as pu avoir un doute durant deux secondes quand il a explosé de rire, tu n’as plus eu aucun doute. tu fais comme si de rien n'était. « et moi ... je vais opter pour de la chantilly. » tu ouvres le frigidaire. tu sors la bombe de chantilly. tu retournes. tu la secoues d’une main sûre. tu en mets sur ta gaufre. Je prends une petite bouchée et savoure le goût de la crème et le moelleux de la gaufre sur ta langue. « ma gaufre est vraiment bonne, tu devrais goûter. tu devrais vraiment essayer. » tu lui tends. tu ne le lâches pas des yeux. tu prends la bombe de chantilly de l’autre main tu en mets sur sa gaufre. malheureusement, tu es aussi maladroite que lui ou aussi fourbe que lui c’est à voir. tu l’asperges de chantilly de façon hasardeuse. « maintenant ... on est quittes. » en fait non pas tout à fait. la chantilly se retire plutôt facilement comparé à cette pâte à tartiner. alors l’air de rien, tu trouves refuge dans ses bras. tu te rends compte que ce n’est pas une tellement bonne idée seulement après l’avoir fait. pas une bonne idée du tout même vu la quantité de chantilly qu’il a sur lui. tu as bien vidé la moitié de la bombe sur lui. tu te détaches. t’es juste bonne pour reprendre une douche et te changer. en plus, tu n’as même pas réussi à enlever intégralement le nutella de ton bras. « j’aime bien partager surtout avec toi. »

« effectivement, tu es vraiment maladroit. je ne peux que le constater. » qu'elle te répond en pouffant de rire à son tour. tu as réussi à lui rendre le sourire et rien que pour ça, tu es fier de toi, vraiment. « et moi ... je vais opter pour de la chantilly. » tu hoches la tête en la regardant partir vers le frigo. « c'est également un bon choix oui .. » tu réponds, sur les mêmes mots qu'elle, toujours le sourire aux lèvres. « ma gaufre est vraiment bonne, tu devrais goûter. tu devrais vraiment essayer. » elle te tend sa gaufre en même temps que la bombe de chantilly s'approche de toi, tu n'y fais pas attention, jusqu'à ce que tu te retrouves aspergé de chantilly. tu souris, comme un con, tu ris aussi alors que tu en as décidément de partout. quittes ? non, vous êtes loin d'être quitte parce que toi, t'es rempli de crème chantilly. elle finit par se lover dans tes bras et tu souris un peu plus en l'accueillant avec plaisir. elle se retrouve à son tour avec plein de chantilly et tu ris une nouvelle fois. « j’aime bien partager surtout avec toi. » qu'elle te souffle finalement, tu passes doucement ta main dans ses cheveux, dans sa crinière que tu remets sagement en place. tes lèvres s'approchent de son visage et tu viens plaquer tes lèvres contre les siennes. tu l'embrasses, délicatement, avec beaucoup de douceur laissant alors tes mains se perdre sur sa taille, ses hanches, lentement. « je pense que là, oui on est quitte. » que tu reprends alors. « du coup, qu'est-ce que tu dirais de partager une douche avec moi ? comme tu aimes bien partager avec moi .. » que tu murmures doucement. t'as envie de profiter, t'as envie de passer un bon moment, sans prise de tête, t'as juste envie de penser à autre chose, profiter que tu tiennes encore debout avant qu'il ne soit trop tard.

Il t'embrasse doucement et délicatement. comme si tu étais une pierre précieuse. un pierre précieuse rare, convoitée et belle. « je pense aussi. tu as de la chantilly. j'ai de la chantilly. j'ai du nutella. tu as du nutella. donc c'est bon cette fois-ci on est quitte. » tu souris doucement. tu le regardes . doux mélange de malice et de douceur. « hum laisse moi réfléchir. j'hésite parce que même si j'aime beaucoup partager avec toi je pense qu'on est à deux doigts de lancer une nouvelle tendance vestimentaire qui peut faire fureur surtout auprès des étudiants qui n'ont pas vraiment le temps de déjeuner correctement entre midi et deux. » tu récupères un peu de chantilly sur son pull. tu portes ton doigt recouvert de chantilly à ta bouche et tu dégustes. « c'est encore meilleur comme ça. » tu te mordilles la lèvre. tu hoches la tête un peu trop vite. « ça me dirait bien de prendre cette douche avec toi. » tu vas dans la salle de bain. numa suit. tu t'arrêtes devant le miroir. tu te dis que ce n'était pas vraiment l'idée du siècle. même s'il possède l'odeur la plus agréable au monde. tu passes ton pull par dessus ta tête. « il me faut ton pull. » le lave-linge tourne encore. tu devras les laver à la main. le lavage à la main ce n'est pas aussi efficace que le lavage en machine. mais tu n'avais pas vraiment le choix et ça devrait suffire enfin tu l'espère. tu ne sais pas exactement combien de temps il va rester et à part lui, ton frère et marko aucun homme n'est venu chez toi. tu doutes que dans ton dressing tu trouves des vêtemens masculins. tu iras quand même voir. mais si tu n'avais rien à lui prêter tu allais devoir trouver une solution pour éviter qu'il prenne froid. tu fais glisser l'élastique de tes cheveux. tu enlèves ce semblant de chignon qui n'en n'est plus vraiment un d'ailleurs. « tu peux déjà y aller. je te rejoins dans deux petites minutes. »

« je pense aussi. tu as de la chantilly. j'ai de la chantilly. j'ai du nutella. tu as du nutella. donc c'est bon cette fois-ci on est quitte. hum laisse moi réfléchir. j'hésite parce que même si j'aime beaucoup partager avec toi je pense qu'on est à deux doigts de lancer une nouvelle tendance vestimentaire qui peut faire fureur surtout auprès des étudiants qui n'ont pas vraiment le temps de déjeuner correctement entre midi et deux. » qu'elle te sort finalement et tu éclates de rire, t'es obligé, quand tu l'entends dire ça. c'est vrai qu'en plus, de vos jours, ça pourrait lancer une putain de mode, sait-on jamais, les gens sont prêts à tout. alors ce qui est le plus marrant c'est qu'elle pourrait ne pas avoir tort, pas entièrement. c'est encore meilleur comme ça.  ça me dirait bien de prendre cette douche avec toi. » qu'elle finit par te confier et tu souris, peut-être comme un con, t'en sais rien, mais tu souris. elle finit par aller dans la salle de bain et tu la suis, docilement.   « il me faut ton pull. » qu'elle te demande finalement une fois qu'elle a retiré le sien. tu ne peux t'empêcher de l'observer, de la regarder, de l'admirer. tu finis quand même par t'exécuter, tu le retires, rapidement et tu lui tends. « tu peux déjà y aller. je te rejoins dans deux petites minutes. » qu'elle te souffle. tu n'as pas envie d'y aller sans elle, et tu ne veux pas qu'elle nettoie ton linge, tu pourras le faire, plus tard. là, t'as pas envie de ça, c'est sûrement pour ça que tu t'approches d'elle, lentement, que tu colles ton torse contre son dos, que tes lèvres viennent immédiatement se perdre dans sa nuque, contre sa nuque, y laissant de multiples baisers. « je préfère t'attendre. » que tu souffles presque au creux de son oreille. tes mains viennent se poser avec douceur sur ses hanches, sur sa taille. tu sais qu'elle veut laver, tu sais que tu la déranges, mais qu'est-ce que t'es bien la déranger de cette façon. alors tu restes là, caressant doucement sa nuque de tes lèvres, laissant tes mains se frayer un chemin sous son haut, se perdant sur sa peau si douce.

il te donnes volontiers son pull. tu ne le vois pas, mais tu sens qu’il se rapproche. t’as une intuition ou alors c’est toi qui deviens complétement obnubilée par son parfum si singulier. il se colle à toi. « oh toi alors. » bonne intuition. sa bouche se pose sur ta nuque. t’en fermes tes paupières par automatisme. tu rouvres tes paupières. tu essayes de te concentrer. chose pas du tout évidente. il préfère t’attendre. tu es ravie de l’apprendre sauf que lui, il te trouble tellement que tu ne sais vraiment plus où donner de la tête. tu te retrouves avec vos deux pulls en main sans savoir quoi en faire. tu n'as pas touché à l’eau et tu n’as pas sorti de produits. tu n’es même pas certaine d’être capable te rappeler de ton prénom si on venait te le demander là tout de suite. c’est dire. « quand tu as quelque chose en tête, tu ne l’as pas ailleurs. si tu n'existais pas, il faudrait vraiment t'inventer. » tu devrais lui dire que c’est pas bien, mais tu en es incapable. il faut que tu reprennes tes esprits. tu ne dois pas craquer sinon t’allais mettre encore plus de temps à la faire partir cette fichue tache. tu ne possédais certainement aucun habit masculin chez toi. peut-être ceux de ton frère. mais tu en doute, tu aurais remarqué si quelques-uns de ses habits se trouvaient chez toi. même si cela était le cas et que tu lui prêtais s’il réapparaissait et que par malheur, il le voyait par hasard chez numa ça pouvait rapidement sentir mauvais. dans le fond, ça t’importait peu cette tache, mais il n’allait certainement pas sortir dans la rue et conduire à moitié habillé. tu essayes tant bien que mal de faire abstraction de ses lèvres sur ta nuque et de ses mains sur ta peau. pense à autre chose. tu essayes de te rappeler des étapes du détachage. ce n’est pas si évident que ça alors qu'il est collé à toi. tu dois d’abord enlever le surplus de chocolat. tu dois mouiller avec de l’eau l’endroit concerné puis tu dois ajouter du savon. un peu d’huile de coude et la tache disparaitra. tu fonctionnes au ralenti. le détachage qui est censé te prendre deux minutes t’en prends bien plus. « tu restes dormir ? » tu veux t'en assurer.

« oh toi alors. » oui, t'es un cas, non, rien ne t'arrête. t'as pas envie de la laisser derrière toi, non toi, t'as envie de poser tes mains sur son corps, t'as envie de l'embêter, la taquiner, c'est tout ce que tu as envie de faire et tu ne te gênes d'ailleurs pas. « quand tu as quelque chose en tête, tu ne l’as pas ailleurs. si tu n'existais pas, il faudrait vraiment t'inventer. » tu souris, les lèvres contre sa nuque. «hum, c'est ça, faut se lever tôt pour me tenir tête. » que tu affirmes finalement, laissant tes mains baladeuses se perdre sur sa peau. elle est douce Marlow, elle est belle Marlow. tu la regardes faire, sagement, ou pas du tout. tu ne t'arrêtes pas, tu continues de jouer contre sa peau, que ce doit de tes mains ou de tes lèvres. tu ne veux pas arrêter. t'en as pas envie, alors tu fais ce que tu veux. pour une fois, tu ne te mets pas de limite, t'as plus envie d'en avoir. c'est ta dernière soirée et t'as envie et besoin d'en profiter. « tu restes dormir ? » qu'elle demande finalement. pour toute réponse, tu écartes son corps du lavabo, tu la retournes rapidement et tu colles ton corps au sien. « oui, si tu veux bien de moi. » que tu lui souffles, le plus simplement possible avant de venir trouver ses lèvres que tu embrasses avec douceur. c'est doux, c'est simple, c'est agréable. t'en demanderai même plus. « il faudra juste que je parte assez tôt. » tu dois être à l'hôpital à 8h, mais ça, elle n'a pas besoin de savoir, non, personne ne doit le savoir. tu l'embrasses une dernière fois et tu t'écartes sagement. « je vais aller faire couler l'eau chaude et t'attendre. » tu retires ton t-shirt, là, devant elle, tu le laisses dans un coin, et tu vas vers la douche pour faire couler l'eau chaude. sagement.

« c’est une information très utile et je vais tâcher de m’en souvenir pour les prochaines fois. » c’est vrai qu’il est convaicant. très convaincant. tu essayes de résister, mais tu es incapable de rester de marbre et de faire autre chose quand tu sens ses lèvres sur toi et ses mains sur toi. t'es bien incapable d'enlever les taches en même temps. « si je ne voulais pas de toi je ne te poserais pas la question. » tu ne te forçais jamais. si tu ne voulais pas tu ne demandais simplement pas. évidemment quand il s’agissait des besoins primaires tu faisais abstraction de cette règle. « pas de problème. tu dois te lever à quelle heure ? non pas que je suis curieuse, mais pour le réveil. » tu ne demandes pas plus d’explication. il ne te devait pas d’explication certainement un rendez-vous ou quelque chose d’autre. tu demandes juste pour le réveil, tu te lèves un peu comme bon te semble depuis que tes cours ont pris fin. tu mets rarement le réveil. une bonne horloge interne on va dire. s’il reste cette nuit tu auras tout le loisir de laver son pull. le tien t’importe vraiment peu c’est surtout pour le sien que tu t’inquiètes. tu le vois enlever les derniers vêtements qu’il a sur lui puis tu le vois partir sous la douche. tu laisses tomber les pulls dans le lavabo. tu n’es pas tentée de faire couler l’eau ni de rajouter du savon. tu finis de te déshabiller. « j’aime beaucoup l’eau froide depuis quelques temps. » tu te stoppes quelques instant avant de reprendre. « en fait si je creuse un peu plus c’est depuis que je suis allée à saint-sébastien avec un très charmant jeune homme … d’ailleurs vous vous ressemblez comme deux gouttes, donc je suis désolée, mais ton pull attendra parce que je ne peux décemment pas te laisser en profiter tout seul. j'espère que tu comprends ? » tu souris légèrement. « la prochaine fois je me lèverais vraiment plus tôt pour ne pas céder aussi facilement. » c’est loin d’être gagné. « tu vas vraiment finir par me rendre folle … tu le sais ça ? »

« c’est une information très utile et je vais tâcher de m’en souvenir pour les prochaines fois.  si je ne voulais pas de toi je ne te poserais pas la question. » tu le sais, quelque part, parce que Marlow, c'est une femme indépendante. elle est plus jeune que toi, c'est vrai, mais elle est indépendante, elle sait ce qu'elle veut et elle sait ce qu'elle ne veut pas. tu le sais bien, mais tu préfères préciser, tu ne sais pas tellement pourquoi, mais tu le fais. « pas de problème. tu dois te lever à quelle heure ? non pas que je suis curieuse, mais pour le réveil. » tu souris, tu embrasses sa nuque, lentement. « sept heure, ça serait parfait. » tu lui dis, doucement. oui, sept heures, tu devrais être à l'heure à l'hôpital pour entrer au bloc, rien que ça. « j’aime beaucoup l’eau froide depuis quelques temps.  en fait si je creuse un peu plus c’est depuis que je suis allée à saint-sébastien avec un très charmant jeune homme … d’ailleurs vous vous ressemblez comme deux gouttes, donc je suis désolée, mais ton pull attendra parce que je ne peux décemment pas te laisser en profiter tout seul. j'espère que tu comprends ?  la prochaine fois je me lèverais vraiment plus tôt pour ne pas céder aussi facilement.  tu vas vraiment finir par me rendre folle … tu le sais ça ? » elle te dit tout ça d'une traite alors que tu es dans la douche et qu'elle te rejoint. tu ne peux décemment pas t'empêcher de regarder son corps, de l'observer, l'admirer quelque part alors qu'elle te rejoint. elle entre à son tour et tu as déjà du mal à réfléchir convenablement, tu ne veux pas réfléchir toi, tu veux autre chose. « j'espère être à la hauteur de ce charmant jeune homme .. » tu souffles finalement. tu l'emmènes doucement contre toi, tu la ramènes contre ton corps et tu joues déjà avec sa peau. tes lèvres se pressent contre les siennes, tu ne peux pas t'en empêcher, vraiment pas. « j'y compte bien, te rendre folle. complètement folle de moi » tu souris contre ses lèvres alors que l'eau froide glisse sur vos corps.

« ah oui quand même sept heures ça fait vachement tôt, tu dois rejoindre ta copine officielle au saut du lit avec des viennoiseries, c’est ça ? » tu plaisantes même si tu sais que tu n’es pas la seule. tu ne lui demandais pas l’exclusivité. tu n’es vraiment pas douée en relation amoureuse. tu as déjà donné. tu te lasses assez vite et moins tu voyais l’homme en question mieux tu te portais. numa compte trop pour toi. tu ne te sens pas prête à tenter le diable. être en couple ça emmène tout un tas de problèmes superflus, tandis que là, vous ne vous prenez pas la tête, vous vous voyez quand bon vous semble et vous passez du bon temps. tu sais que tu ne l’as pas pour toi toute seule, mais tu ne demandes pas ça. il a le droit de fréquenter d’autres femmes et toi d’autres hommes. « je plaisante c'est pas inhumain de se lever à sept heures donc c’est noté. » il va sous la douche, mais à présent, tu es bien incapable de faire partir ses fichues tache. tu ne pouvais pas. pas après avoir senti ses lèvres et ses mains sur toi. tu ne pouvais pas te préoccuper des taches présentes sur vos vêtements ni d’aucun autre détail aussi infime soit-il, ton esprit était totalement embrumé. tu n’hésites pas plus longtemps, tu laisses tomber les pulls dans le lavabo. s’il reste cette nuit les pulls peuvent bien attendre un petit peu. tu te déshabilles et tu le rejoins sous la douche. « ça ne va pas être si facile… il a placé la barre très, mais alors vraiment très haute. » tu chuchotes avant de te mordre la lèvre. il réduit la distance entre vous. délicatement et doucement, il t’emmène tout contre lui et ses lèvres capturent les tiennes. « me rendre folle, je pense que tu y es déjà arrivé, après complétement folle de toi, je demande à voir, mais en restant honnête t’es bien parti pour. » Il sourit contre tes lèvres. tu passes une main sur sa nuque. tu l’embrasses à ton tour avant de glisser à son oreille. « j’ai envie de toi, maintenant, juste toi. » tu chuchotes. ta main baladeuse reste à sa place, sur sa nuque, pendant que l’autre vint se poser sur sa joue, caressant sa barbe naissante.

« ah oui quand même sept heures ça fait vachement tôt, tu dois rejoindre ta copine officielle au saut du lit avec des viennoiseries, c’est ça ?  je plaisante c'est pas inhumain de se lever à sept heures donc c’est noté. » tu aimerais tellement que ce soit ça. t'aimerais que ce soit une copine que tu dois rejoindre au petit matin, mais non, ce n'est pas le cas, tu n'en as pas, tu vas juste aller te faire opérer. tu vas juste faire face à ton destin. « haha, non, j'ai pas de copine officielle. » tu souris, doucement, et tu files dans la douche. « ça ne va pas être si facile… il a placé la barre très, mais alors vraiment très haute. me rendre folle, je pense que tu y es déjà arrivé, après complétement folle de toi, je demande à voir, mais en restant honnête t’es bien parti pour.  j’ai envie de toi, maintenant, juste toi. » ses derniers mots te font un effet fou. tu ne penses plus à rien, tu ne penses plus à l'hôpital, tu ne penses plus à ce qui va t'arriver non, tu ne penses qu'à ces petits mots qu'elle vient de te souffler à l'oreille, ces mots qui te font bien trop d'effet alors toi aussi, t'as envie d'elle, tellement. « moi aussi, j'ai envie de toi ... très envie. » tu soupires, contre ses lèvres, tu l'embrasses, tu la plaques contre la paroi de la douche , tu colles ton corps au sien et tu l'embrasses encore et encore; tu descends tes lèvres dans son cou, sur la naissance de ses seins pendant que tes mains caressent sa peau. ça reste doux, ça reste tendre, malgré tout, t'es pas un sauvage. tu découvres son corps, doucement, tu te perds dans tes gestes, dans son odeur alors que l'eau coule sur vos corps. tu retrouves ses lèvres et tu finis par t'écarter doucement, tu ne peux pas faire ça dans la douche ... tu sais que tu ne tiendras pas, que ta jambe tiendra pas, alors il faut que tu te calmes, rapidement, il faut que tu te reprennes.

« ça me rassure d'un côté je pourrais descendre tranquillement sans avoir peur un jour qu'une hystérique m'attende devant l'immeuble. tu as raison c'est mieux de ne pas avoir de copine officielle. » tu souris malicieusement. tu le rejoins sous la douche et très vite la température monte. tu ne fais jamais dans la demi-mesure et tu lui chuchotes sans passer par quatre chemins que tu as envie de lui. il te répond sur le même ton. il t'embrasse et très vite tu sens la surface lisse, froide, dure contre ton dos puis ses lèvres et ses mains sur toi. tu le sens s'écarter. tu es à deux doigts de lui demander si tu avais fait quelque chose de mal ou si quelque chose n'allait pas, mais tu te ravises immédiatement. sa jambe. tu lui avais dit que jamais ça ne changerait la vision que tu avais de lui et c'est le cas parce que tu as pratiquement oublié que parfois sa jambe pouvait le lâcher. tu t'es un peu laissée emporter. un peu trop impulsive rajouté à l'effet qu'il te faisait ça donnait ce résultat. ce n'était pas l'idée du siècle. tu n'avais pas vraiment envie qu'un de vous deux finissent la soirée à l'hôpital. une catastrophe peut vite arriver dans ce genre de situation. « ce n'était vraiment pas une bonne idée. je n'ai vraiment pas envie qu'un de nous se retrouve plâtré, même si le plus honteux restera sans doute l'arrivée aux urgences et vu que je vais être amenée à me retrouver là-bas durant mon stage on va éviter de tout dévoiler directement et on va rester dans le classique c'est tout aussi bien. » tu prends le gel douche. tu te savonnes, tu te rinces sous le grand jet d'eau. tu lui passes le gel douche. « tu échappes aux odeurs typiquement féminines. c'est sans parfum et sans allergènes tu as vu comment je prends soin de toi et de ta peau ? tu en as de la chance. » tu n'as que des gels douches et shampoings sans parfums, ni allergènes.

« ce n'était vraiment pas une bonne idée. je n'ai vraiment pas envie qu'un de nous se retrouve plâtré, même si le plus honteux restera sans doute l'arrivée aux urgences et vu que je vais être amenée à me retrouver là-bas durant mon stage on va éviter de tout dévoiler directement et on va rester dans le classique c'est tout aussi bien. » qu'elle te souffle, finalement, et tu es plutôt content qu'elle te trouve une autre excuse. tu sais qu'elle sait, tu sais qu'elle fait comme si tout allait bien et tu ne pourras jamais assez la remercier pour faire une telle chose. elle est compréhensive Marlow, elle fait attention à tes mots, à tes gestes et ça fait un bien ou. d'autant que c'est plutôt demain que tu dois te rendre aux urgences, si tu peux attendre un peu, ça te convient. tu la regardes se laver, tu la regardes se savonner et tu savoures chacune de ses courbes, chaque parcelle de peau que tu peux voir. tu évites de la toucher oui, parce que tu sais que si tu fais ça, tu vas tomber, tu vas chuter et tu vas t'en vouloir. il faut juste que tu restes dans ton coin, sagement, c'est tout. « tu échappes aux odeurs typiquement féminines. c'est sans parfum et sans allergènes tu as vu comment je prends soin de toi et de ta peau ? tu en as de la chance. » tu souris en prenant le gel douche et tu te mets à exécuter les mêmes gestes qu'elle. « je prends note, heureusement que tu es là toi. » tu souris, doucement  avant de finir de te laver. ensuite, vous sortez tous les deux là, pas le moins gêné par votre nudité, tu t'enroules dans une serviette, tu t'approches d'elle, doucement, et tu viens capturer une nouvelle fois ses lèvres.   « moi, j'ai vu tout à l'heure que ton lit était déjà défait ... j'ai bien envie d'aller l'essayer, qu'est-ce que t'en penses ? » tu murmures contre ses lèvres, descendant alors ta bouche dans son cou, le haut de son torse, la naissance de sa poitrine. tu ne lâches pas, tu as envie d'elle, c'est indéniable, et tu as besoin de ça. tu as besoin que Marlow te rende un peu plus vivant que ce que tu es.

« oh mais tu peux prendre note numa. je t'en prie prends note. je ne me défile jamais quand je dis quelque chose tu peux m’appeler en plein milieu de la nuit pour que je vienne prendre soin de toi, ça ne me pose aucun problème, mais alors aucun problème du tout. pour être franche ce soir je prends pas vraiment soin de toi et de ta peau de façon totalement désintéressée … c’est même de façon totalement intéressée que je prends soin de toi ce soir si tu veux tout savoir. » tu lui adresse un sourire malicieux. tu finis tranquillement de te rincer. tandis qu’il se savonne. vous sortez. il attrape une serviette. tu veux en faire de même, mais tu n’en n’as pas vraiment le temps. tu sens ses lèvres sur les tiennes. le sens des priorité a changé. du coup on peut dire que la serviette ne t’intéresse plus vraiment. plus du tout même. sans décoller ses lèvres des tiennes il te fait remarquer que ton lit était défait et que de ce fait il avait bien envie de l’essayer. il te questionne. tu souris légèrement et déjà tu sens ses lèvres sur ton cou. « j’en pense que je ne peux décemment pas refuser une telle offre et j’irai même plus loin je ne pourrais même pas refuser ton offre si mon lit était fait. » il descend progressivement. « par contre si tu continues de me faire cet effet et d’en jouer on aura pas besoin de réveil pour que tu sois debout tôt demain matin. je préfère prévenir que guérir. » tu te détaches de lui. tu prends une serviette que tu passes autour de ta poitrine avant de glisser ta main dans la sienne. « si monsieur veut bien me suivre … » tu t'apprêtes à sortir de la salle de bain. tu penses au pull. tu te stoppes. « il faut vraiment qu’on pense à ton pull. j'ai failli oublier. tu ne peux pas sortir sans rien sur les épaules demain matin. tu peux attendre cinq minutes ? » tu le taquines purement et simplement. tu te doutes de sa réponse. tu essayes de garder un visage neutre, même si tu as vraiment envie de pouffer de rire. tu n’attends pas son plausible refus et tu commences à faire couler l’eau sur son pull. tu ne peux pas le regarder. tu n’exquises même pas un tout petit sourire. tu ne veux rien faire qui pourrait te discréditer.

« oh mais tu peux prendre note numa. je t'en prie prends note. je ne me défile jamais quand je dis quelque chose tu peux m’appeler en plein milieu de la nuit pour que je vienne prendre soin de toi, ça ne me pose aucun problème, mais alors aucun problème du tout. pour être franche ce soir je prends pas vraiment soin de toi et de ta peau de façon totalement désintéressée … c’est même de façon totalement intéressée que je prends soin de toi ce soir si tu veux tout savoir. » tu notes, dans ta tête, clairement, parce que quelque part, tu as envie de l'appeler en plein milieu de la nuit, pour avoir de ses nouvelles, mais aussi pour te confier et qu'elle vienne prendre soin de toi. tu sais que tu vas en avoir besoin avec ce qui va t'arriver. « j’en pense que je ne peux décemment pas refuser une telle offre et j’irai même plus loin je ne pourrais même pas refuser ton offre si mon lit était fait. par contre si tu continues de me faire cet effet et d’en jouer on aura pas besoin de réveil pour que tu sois debout tôt demain matin. je préfère prévenir que guérir. » tu souris contre sa peau, tu souris et tu ris doucement. « oups ? » que tu lui sors, sagement alors que déjà elle prend ta main et te demande te la suivre, tu t'apprêtes à le faire alors qu'elle s'arrête dans son mouvement. « il faut vraiment qu’on pense à ton pull. j'ai failli oublier. tu ne peux pas sortir sans rien sur les épaules demain matin. tu peux attendre cinq minutes ? » qu'elle te souffle alors qu'elle s'écarte de toi et qu'elle s'en va devant le lavabo, tu bouges pas alors qu'elle, elle ne fait que bouger. tu ne la laissera pas faire, oh non. « oui bien sûr » que tu souffles avant d'avancer vers elle, tu enlèves ses mains de l'eau, tu remplis le lavabo, tu mets du savon dedans et tu la prends dans tes bras sans ménagement. tu te fiches de ta jambe, des bonnes choses, de tout tu la portes là, dans tes bras et tu l'emmènes immédiatement vers sa chambre. « c'est pas mon pull qui m'intéresse et j'en ai pas besoin pour là où je vais. » que tu lui souffles en capturant ses lèvres, sauvagement et en l'emmenant dans sa chambre. une fois là-bas, tu la déposes avec douceur dans son lit, très doucement avant de venir embrassant son corps, son ventre, tu évites soigneusement ses seins, tu remontes sur ses épaules, sa mâchoire, ses lèvres, tu ne t'arrêtes pas.