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 (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ?

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(Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ? _
MessageSujet: (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ?   (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ? EmptySam 30 Avr - 22:37

Ce matin, tu t’étais réveillée d’excellente humeur. C’était le cas depuis quelques temps maintenant. Tu sais parfaitement le pourquoi de ce changement d’humeur. Depuis que tu avais parlé à Bastien de ton frère, de ton histoire, tu n’avais plus cette boule à l’estomac qui te rongeait. Quelques jours plus tard, tu avais appris que tu n’étais pas la fille biologique des Carricaburu. D’abord en colère, tu t’étais précipité comme une furie dans le bureau d’Eneko. Il était lui aussi au courant de tout ça, la lettre te le disait. Après la douleur avait laissé place à la compréhension. Tu ne pouvais pas en vouloir à ton père. Il n’y pouvait rien lui. Il avait perdu sa femme en premier, puis son fils seize ans plus tard et là, dans cette fichue lettre, il expliquait que sa vraie fille – celle avec qui tu avais été échangé – âgée de même pas quelques jours avait perdue aussi la vie dans les mêmes circonstances que Yon. Tous deux avaient eu la même maladie que leur mère. Peio – ton père – c’était accroché à toi, comme un naufragé s’accroche fébrilement à sa bouée de sauvetage en pleine mer agitée. Il avait fait des recherches sur ta vraie famille, tu l’avais appelé pour lui dire que tu avais regretté tes mots, que tu le remercies pour tout ce qu’il avait fait pour toi. Tu avais pris la fuite. Il y avait une carte de visite. L’adresse de ta maison. Tu avais pris le premier bus pour le Gers. Trois heures de bus plus tard, tu t’étais retrouvé dans une ville totalement à l’opposé de Biarritz. La verdure, des moutons, des vignes, l’isolement. C’était si différent de ta ville natale. Pendant une semaine, tu avais fait des recherches sur ta famille biologique sur leurs origines et leur histoire. Tu t’étais rendu compte que la famille Gestas était très importante dans la région. Une vieille famille française qui s’était fait anoblir au fil du temps. Tu avais donc du sang bleu dans les veines. Simple comment tu l’étais, tu ne sais pas si tu aurais pu supporter la vie de château, de faire partie de l’élite, de la mondanité française. Toi qui n’aimais pas la concurrence. Tu t’étais même rendue dans leur domaine viticole. Tu avais même eu la chance de tomber sur ta grande sœur. Elle te ressemblait trait pour trait, sauf qu’elle était aussi blonde que tu étais brune. Tu ne lui avais pas relevé ton identité. Tu ne voulais pas rentrer dans sa vie aussi brutalement. Une fois la visite du domaine fait, tu avais pris tes clics, tes clacs et tu avais pris le premier bus en partance pour Biarritz. Quand tu avais posé le pied sur le sol basque, tu t’étais senti revivre. La plage. L’océan. L’air iodé. Les Pyrénées à perte de vue. Ta ville. Ta famille était ici, tu n’en voulais pas une autre. Tu avais inquiété du monde quand tu étais parti. Marlow la première que tu avais revue et le norvégien, qui t’envoyait des émoticons tristes. Il t’avait fait rire tout le long de ton voyage, même à distance, il avait ce don sur toi. Monsieur s’était plaint que si tu restais là-bas, il n’aurait plus personne à embêter. C’était de la plaisanterie pure, mais tu savais que si tu restais, il te manquerait. Il ne faut pas le nier, il te manquerait un tout petit peu quand même.
On était un samedi comme les autres, enfin ce n’était pas tout à fait exact. Tu étais rentré le vendredi de la semaine passée. Le samedi midi, Ariane, une copine que tu voyais de temps à autres, elle t’avait appelé pour voir si ton envie de colocation était toujours d’actualité. Tu avais répondu par l’affirmative. Oui depuis le début de l’année, tu te sentais seule dans ce grand appartement. Appartement qui t’avait vu grandir, souffrir, rire, pleurer, c’était l’appartement de ton père. Enfin maintenant le tien, lui avait refait sa vie à Paris. Il te l’avait légué. Enfin, tu l’avais aussi appris sur la lettre, que depuis ta majorité, cet appartement était le tien. Tu étais tombée sur le cul. Toi, avoir ton propre appartement. C’était un rêve que tu n’aurais pas pu réaliser. Tu avais de l’argent, mais pas pour te payer un appartement comme celui-ci. Un appartement en duplex au dernier étage d’une petite résidence de trois niveaux. L’appartement devait faire d’un peu moins d’une centaine de mètres carrés. À l’étage se trouvait deux chambres - ta chambre et celle de Yon, enfin maintenant, il y avait ton colocataire qui l’occuper - avec une grande salle de bain en commun. Ainsi qu’une mezzanine au se trouver le coin bibliothèque. Au rez-de-chaussée, il y avait tout ce qui était lieux de vie. Cuisine toute équipée, une salle à manger bien trop grande pour toi toute seule, un salon qui pouvait accueillir une soirée entre amis, une salle de bain en plus et l’ancienne chambre de ton père avait été modifiée en bureau. Puis le top de cet appartement, c’était la terrasse. Souvent tu t’y installais le soir, pour profiter du coucher de soleil sur la grande plage et la tombée de la nuit pour voir les étoiles. Tu n’étais à même pas cinq minutes de la plage. Le paradis. Oui cet appartement était définitivement trop grand pour toi. Malgré l’arrivée de Floki, ton lapin, tu te sentais seul. Alors, quand samedi dernier, ce garçon avait emménagé chez toi, tu t’étais cru revivre. L’appartement était un peu plus en bazar, un console avait fait place à côté de l’écran plat. Une planche de surf était près de l’entrée et des affaires masculines se mélangeaient à ton linge blanc. Tu ruminais parfois, mais tu étais heureuse de ne plus être seule.  
Ce matin quand tu t’étais levé, tu t’étais souvenue de vos samedis soir avec ton père et Yon. Votre samedi mexicain. Vous alliez tous les trois aux halls faire vos achats et vous passiez toute votre journée à prépare cette fameuse soirée. Enfin, les deux hommes de ta famille t’observaient cuisiner. Tu étais le cordon-bleu de la famille. Ils t’assistaient en coupent les légumes et toutes les taches qui n’étaient pas trop difficiles à faire. Heureusement que tu étais là, sinon, ils seraient morts de faim depuis longtemps. Bref, ce samedi matin, tu étais allée aux halls. Quand tu étais rentrée, Vaea n’était plus là. Surement à la plage, puis il n’avait pas non plus à te dire où il se trouvait. Tu avais un peu révisé avant de te mettre à dix-sept heures en mode cuisinière. Après deux bonnes heures d’activité culinaire sous les rythmes de musiques cubaines et mexicaines, tu venais de réaliser que tu ne savais même pas si Vava – surnom que tu lui avais donnée  car tu avais peur d’écorcher son prénom – rentrait le soir. Tu es bête ma pauvre Oihana. Tu sais qu’Eneko est en déplacement sur Lyon, donc tu ne peux pas conter sur son ventre. Alors que tu avais de la farine sur le visage, tu envoies un texto à ton colocataire. Coucou Vava, j’espère que tu as prévu de manger à l’appartement ce soir, je t’ai pas demandé ce matin et je crois que j’ai trop fait à manger. J’espère que le mexicain fait maison te va ? Bisous Oi’. Tu attends quelques secondes avant qu’il ne te réponde de l’affirmatif, en te demandant s’il peut ramener son meilleur ami. Tu hausses les épaules, comme s’il pouvait te voir, ça ne te dérange pas du tout.
Moins d'une heure après, alors que tu es en train de mettre ton plat d'enchiladas au four, tu entends la porte s'ouvrir. Tu ne relèves pas la tête tout de suite et tu l'informes que le petit lapin blanc est en liberté dans l'appartement. Qu'il doit faire attention qu'il ne prenne pas la fuite. Vous aviez déjà couru après lui deux jours avant, quand il était venu te rendre ton portable. Vous aviez les mêmes portables et aucun de vous deux avez de code de déverrouillage. Pour ne plus faire la même erreur, tu avais acheté une coque pour les différencier. « Vava fait attention Mr Floki est en liberté. » tu te redresses en remettant un peu d'ordre dans ta tenue. Oui, tu as fait l'effort de passer un short et un tee-shirt qui fait quand même habillé. Tu portes enfin attention à ton colocataire et à son ami. Tu te bloques un instant, tu n'attendais pas à le voir. Voilà une semaine que tu ne l'avais pas vu. Enfin, il est venu à ta rescousse deux jours avant, te laissant à la porte de ton appartement. Tu es surprise de le voir ici, dans ton univers. Habituellement, tu vois Bastien à l'extérieur. Tu ne l'avais jamais vu dans un lieu aussi personnel et aussi intime. « Décidément notre monde est petit » Tu murmures cela en souriant. Après son frère, tu connais son meilleur ami sans le savoir et avoir fait le lien. En même temps, tu ne connais que Vaea depuis une semaine. Bastien ne t'a jamais parlé de sa vie, ses amies. Bref, tu ne connais pas grand chose de lui alors que lui, il en sait plus.
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(Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ? _
MessageSujet: Re: (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ?   (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ? EmptyLun 2 Mai - 15:20

t'es comme un fou. Lulu - c'est comme ça que tu t'amusais à le surnommer et c'est d'ailleurs peut-être l'une des raisons pour laquelle il s'est barré - t'as lâché. salement. il a payé le loyer pour la fin du mois, mais tu vois l'échéance arrivée et ça te met les nerfs. pas question de retourner à la maison, tu as pris goût à cette liberté qu'est l'indépendance. alors il te serait impossible de vivre à nouveau entouré de cette aura de surveillance émanant de tes parents. impossible. Lulu, il a péter les plombs. il n'a pas supporté toute cette pression sur ses épaules, celle des études de droits. tu le voyais bûcher du matin au soir et parfois, t'avais un peu de la peine pour lui. tu n'y comprenais rien, toi, à tout son charabia de texte de lois et quand le soir il parlait politique, tu faisais semblant de t'y intéresser. parce qu'il était gentil en soit le petit Lulu, tu l'aimais bien. vous n'aviez pas grand-chose en commun, mais c'était un colocataire agréable à vivre. mais il s'était barré, quelque part en Asie, rejoindre des moines bouddhistes. tu sais que c'est faux, que c'est une connerie que t'as inventé. mais tu trouves ça bien plus amusant que de dire qu'il est retourné dans la Loire pleurer dans les bras de papa maman. dans tous les cas cette histoire t'amène à te retrouver seul dans un appartement bien trop grand et bien trop cher. tu pourrais crécher chez n'importe qui, parce qu'un duvet et un sol te suffirait pour vivre. tu t'es même mis à supplier Ariane de te prêter un bout de parquet, mais t'es bien conscient que ça ne serait pas vivable. heureusement pour toi, tu te découvres une bonne étoile. Ariane, c'est ta marraine la bonne fée. elle te propose un plan, un bon plan : emménager avec une de ses amies dans un appartement encore plus grand et plus beau, à quelques rues de celui où tu vivais avant, situé à quelques minutes à peine de la plage. le paradis en somme. t'es pas assez fou pour refuser, même si cette fille tu ne la connais pas tu te dis que si elle est amie avec Ariane tu devrais pouvoir t'entendre avec elle.
t'as emménagé le weekend dernier. tu stressais un peu, parce que pour toi les filles ça aime l'ordre et la propreté. et, on peut dire, que tu es loin d'être monsieur propre. tu avais pourtant très rapidement pris tes marques. en même temps l'appartement était si grandiose. tu avais pris possession de ta propre chambre, la décorant comme l'ancienne et tu avais ajouté ta petite marque au reste de l'appartement à commencer par la console qui jonchait désormais le meuble télé du salon, ta vaisselle et ton linge sales. en réalité tu t'étais plutôt vite habitué aux lieux et à vivre en compagnie d'une demoiselle. vous aviez établit vos règles et elles n'étaient pas si difficile à respecter. tu n'étais pas du genre à ramener des gonzesses après les soirées, surtout si tu savais que l'appartement n'était pas vide. alors, c'était un point sur lequel elle n'avait pas de soucis à se faire. en réalité tu l'aimais bien, ta nouvelle colocataire. tu avais appris à la connaître un peu, et ce que tu savais d'elle te plaisait vraiment. elle était sympathique, agréable, et c'était tout ce que tu demandais. puis elle avait commencé à te surnommer Vava, comme Ariane et à peu près tout le monde finalement alors tu te disais que tu pourrais te lâcher avec elle, sans problème.
Oi - tu aimais l'appeler ainsi tout en usant de ton accent ridicule d'indien des cavernes - tu ne t'en doutais pas, mais elle n'était pas simplement amie avec Ariane. non, Oi, elle connaissait un autre de tes proches et il avait fallut que tu te trompes de téléphone pour t'en rendre compte. tu n'avais pas trop compris sur le coup, puis en parcourant maladroitement le reste de leur conversation tu avais finalement compris qu'elle en pinçait, un peu, pour ton Bastien. c'était marrant comme le monde était petit. tu n'avais pourtant rien dit de ta découverte, préférant garder cette information pour toi, observant de loin ce rapprochement que tu souhaitais peut-être. elle était bien cette petite Oi alors oui, tu l'imaginais au bras de Bastien. tu t'étais mis en tête que tu pourrais peut-être forcer les choses à ta manière. t'es lourd et insupportable parfois, tu le sais. mais c'est bien plus fort que toi, tu n'y peux rien. tu te devais de les emmerder avec cette découverte. mais pas tout de suite, tu savais être patient.
coucou Vava, j’espère que tu as prévu de manger à l’appartement ce soir, je t’ai pas demandé ce matin et je crois que j’ai trop fait à manger. J’espère que le mexicain fait maison te va ? Bisous Oi’. t'étais avec Bastien quand tu as reçu ce message de ta colocataire. étonnement tu as trouvé ça plutôt drôle, compte tenu de ce que tu savais, mais qu'ils ne savaient pas que tu savais. la situation te faisait doucement rire alors tu répondais positivement à sa question, invitant par la même occasion Bastien. t'étais malicieux, il devait bien le sentir, mais tu esquivais toute question du pourquoi du comment. il en comprendrait tôt ou tard les raisons. vous avez alors troqué votre mcdo bien fade pour un festin mexicain. vous vous êtes donc tranquillement rendu à l'appartement que Bastien n'avait pour l'instant pas eut l'occasion de visiter. tu trouvais ça bizarre d'ailleurs, que tu ne l'y est pas encore invité. à peine avais-tu ouvert la porte que tu entends Oi gueuler que son satané lapin était de sortie. automatiquement tu soulevais tes pieds tout en regardant le sol. tu l'aimais bien ce Mr Floki il était mignon, mais tu suspectait une ruse de sa part pour prendre le contrôle. paranoïaque ? peut-être bien. tu pénétrais alors dans l'appartement, vérifiant que le lapin ne s'était pas enfui en fermant la porte. puis tu te dirigeais vers le salon, précédé par Bastien qui, du coup, découvrait ta nouvelle demeure. décidément notre monde est petit. tu essayes de masquer ce sourire qui se dessine sur tes lèvres. tu les observes et t'as juste envie de les charrier, de leur faire comprendre que tu sais. j'ai ramené l'homme qu'il te faut. tu insistes bien sur tes derniers mots qui, malgré les apparences, n'ont pas été choisis à la légère. tu ne sais pas s'ils vont comprendre, mais toi tu souris bêtement, fier de ta bêtise. tu as volontairement employé leurs propres mots pour leur faire comprendre que tu faisais parti de ce petit secret, désormais.
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MessageSujet: Re: (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ?   (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ? EmptySam 7 Mai - 0:30

Bastien n'avait eu aucun combat depuis un petit moment, chose qui le mettait particulièrement en rogne. Il voulait combattre. Il voulait se défouler un peu. Se changer les idées. Laisser ses poings s'exprimer pour lui. Mais il n'avait aucun autre choix que de les laisser s'exprimer contre un sac de sable suspendu dans la salle où il a pour habitude de s'entraîner. Une salle un peu délabrée mais qu'il affectionne particulièrement. C'est sûrement pas l'endroit le plus sain du coin, ni la salle la plus fréquentée de la ville, mais il avait ses habitudes ici, il connaissait quasiment tout le monde. Il n'y avais quasiment aucun nouvel arrivant de toute manière. Tout ceux qui venaient ici connaissaient simplement le gérant de la salle et l'appréciait. Bastien était arrivé en quelque sorte par erreur ici, mais il ne voulait plus aller ailleurs désormais. Alors en ce beau matin, il était parti dans les vestiaires pour se changer et simplement ressortir vêtu d'un short assez ample. Il préférait être torse nu, au moins aucun vêtement ne venait se coller à sa peau quand il commençait à transpirer. Il était plus libre de ses mouvements aussi. C'était plus agréable.
Bref, il s'échauffa un bref instant, se contentant de faire craquer ses doigts et d'exercer quelques mouvements dans le vide. Et vint ensuite le moment qu'il appréciait tant. Le moment où ses poings heurtaient enfin le sac de sable. Au début, ses coups n'étaient pas bien violent, il s'échauffaient encore en quelque sorte. Mais au fil du temps, il y mettait de plus en plus de puissance, juste suffisamment pour que le sac parte vers l'arrière sous l'impact. Il se vidait totalement la tête. Sur le moment, il ne pensait plus à rien. Il ne pensait plus à Oihana, il ne pensait plus à ses cours, ni rien. Il pensait simplement au prochain coup qu'il allait mettre. Et c'était agréable comme sensation. Alors il en profitait, il faisait durer sa séance. Il la fit durer quelques heures. Il la fit durer jusqu'à ce que le gérant de la salle le poussa gentiment vers les douches en le charriant comme souvent. « Aller va te doucher p'tit. T'es en train de créer une marre de transpiration par terre et tu fais fuir les demoiselles avec l'odeur. » Bastien se contentait de rire. Il savait tout aussi bien que l'home qu'aucune fille ne venait ici. Aucune fille n'oserait mettre un pied dans un tel endroit. Et même si l'une d'elle entrait, elle ne se sentirait clairement pas à sa place dans cet endroit. Bastien fila alors sous l'une des douches, se dépêchant quelque peu en entendant son estomac grogner. Une fois douché, il marcha jusqu'à son sac pour enfiler des vêtements propres. Les cheveux encore humides, il sortit des vestiaires. « La prochaine fois je te prouverai que ce n'est pas moi qui fait fuir les filles. » Il brailla ceci puisqu'il ne savait pas où était l'homme avant de sortir du vieux bâtiment.
Il rentra chez lui et mangea rapidement avant d'aller rejoindre son meilleur ami quelques heures plus tard. Ils parlaient de tout et rien, comme toujours. Mais Bastien n'évoqua en aucun cas Oihana. Il n'aurait même pas su quoi dire de toute manière. Alors qu'ils étaient tranquillement installés, Vaea reçu un message et invita Bastien à venir manger à l'appartement. Bastien savait qu'il avait déménagé et qu'il vivait en colocation, mais il ne savait pas l'identité de cette personne. Alors il suivit son ami sans rechigner. Il n'allait certainement pas refuser une soirée avec son meilleur ami. Une fois dans l'appartement, Bastien entendit une voix qu'il ne connaissait que trop bien avertir son meilleur ami qu'un animal était en liberté. Le jeune étudiant eu alors le même réflexe que Vaea, observer ses pieds pour voir si l'animal n'était pas autour de ses pieds, ou pire, sous l'un d'eux. Il suivit donc le jeune homme dans l'appartement pour finalement se retrouver face à Oihana. Ce n'était pas une grande surprise puisqu'il avait reconnu sa voix. « Le monde est très petit même je dirais. » Il accompagna ses paroles d'un petit sourire, comme à son habitude. Un sourire qui laissa place à un froncement de sourcils en entendant la remarque de Vaea. Sa réponse était trop ciblée pour que ce soit un pur hasard. Il tourna donc la tête vers lui. « Où est-ce que tu as laissé traîné ton nez pour lire ça ? » Parce que oui, Bastien n'avait aucun doute. Son meilleur ami avait lu les messages qu'il envoyait à Oihana.
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MessageSujet: Re: (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ?   (Vaea&Bastien) un repas mexicain ça te dit ? EmptySam 7 Mai - 15:26

Tu observes les deux hommes rentrés à pas de loup. Tu ne sais pas où est passé ce fichu lapin. Tu aurais peut-être dû le mettre dans son parc ou sur la terrasse pour éviter une fugue ou de finir sous les pieds de ses deux-là. Tu étais retournée pour surveiller ton plat au four, tout se passer pour le mieux. D’ici un quart d’heure tout sera prêt pour passer à table. Tu te retrouves dans le salon avec les deux amis. Tu allais pour t’installer sur le canapé quand tu entends les mots de Vaea. Tu le regarde surprise des mots employés. Oh le con ! Il en a profité pour regarder tes messages. Tu n’es pas la seule à t’en rendre compte, le blond regarde alors ton colocataire pour avoir plus d’information. « Tu as vraiment fouillé dans mon portable alors ? » Tu attrapes un premier coussin et tu lui balances en pleine tête. Dans le mille, ça atterrit sur sa tête bouclée. Tu es fière de ton coup, tu n’es en général pas très adroite en lancer. Il ne devait pas si attendre à celle-là. Il venait de te tourner le dos pour répondre à Bastien. Il te regarde choqué de ton geste. Il l’a bien cherché en même temps. Tu n’es pas violente, mais tu aimes bien balancer des choses sur les gens. « ça c’est pour l’intrusion dans ma vie privée » puis tu balances alors un deuxième coussin qui cette fois-ci esquive. Tu n’es vraiment pas douée. Tu vas pour en prendre un autre, sauf que cette fois-ci c’est ton lapin que tu as entre les mains. Tu ne vas quand même pas lancer Mr Floki sur Vaea. Le pauvre lapin serait traumatisé après ça. « Tu as de la chance, je ne vais pas lancer le lapin » Puis tu t’approches de lui. Tu le regardes alors dans les yeux et lui lances alors « Je comprends mieux ton sourire suspect que tu avais quand tu me l’as rendu. Tu attendais qu’une situation de ce genre arrive pour faire ton clown » Tu ne dis pas ça méchamment, mais tu avais bien vu que quelque chose clochait depuis qu’il avait pris ton portable sans le vouloir. Il te regardait toujours avec un grand sourire quand tu étais en train d’écrire un sms ou en train de rire bêtement. Alors il le savait et n’avait rien dit. Tu avais tiré le grelot avec Vaea. Tu t’approches enfin de Bastien pour lui faire la bise. Tu ne fais pas trop la fière. Il y a deux jours, tu lui avais envoyé des messages explicits alors que tu étais totalement bourrée. Tu n’avais aucuns souvenirs ou ils étaient très vagues. Il était venue à ta rescousse une fois de plus et t’avait posé un étage plus bas. Tu avais monté le dernier étage avec difficulté. Tu avais d’ailleurs mit un quart d’heure pour pouvoir mettre cette fichue clef dans la serrure. Une fois à l’intérieur, tu t’étais diriger vers ta chambre et tu t’étais écroulée sur ton lit. Heureusement que tu fessais le pont le lendemain, car tu étais restée au lit jusqu'à quatorze heure.  Tu t’étais réveiller avec un mal de crane et quelques vagues souvenirs. Tu avais dû relire la conversation que tu avais eue avec Bastien, pour voir les âneries que tu lui avais écrite. A moins, qu’elle ne soit pas totalement fausse. Tu n’en sais pas ! il partait que ce qu’on dit et ce qu’on fait quand on est ivre est en partie vrai ? Lui a tu réellement fais cette déclaration ? Est-ce qu’elle était vraie ? Tu sais qu’il ne perdra pas son temps pour te rappeler ta nuit d’ivresse. Tu prends Bastien par la taille avec ton lapin toujours dans les mains et tu regardes Vaea « Bon maintenant que tu connais l’homme qu’il  me faut, tu as quelques choses de plus à dire ? Tu veux être le témoin de notre union ? » Tu essaies de rester sérieuse, mais tu ris malgré toi. Tu as retrouvé ta bonne humeur. Tu t’écartes de Bastien pour lui rendre sa liberté. Tu retournes vers le frigidaire en lançant aux deux jeunes hommes, tout en posant Mr Floki dans sa cage « J’ai eu le temps de faire du mojito ça vous dit ? Ou vous voulez quelques choses de plus masculin ? » Avant d'ajouter « Il y en a pour un bon quart d'heure encore, si tu veux faire visiter ton nouveau chez toi. » Tu affiches un jolie sourire, mais à l'interieur, tu es en panique. Bastien est chez toi, tu ne l'avais jamais vu dans un lieu si personnel, si toi. Toute la décoration allant des moindres photos à tes peintures sur les murs en dissent plus sur toi que ce qu'il sait déjà.
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