Dans l'genre, on fait des conneries. + Mino le petit minou

« Tout ne sera plus pareil! » Cette phrase tourne en boucle depuis qu’elle est sortie de la salle de bain. Non, c’est bien ça le problème. Rien ne sera plus pareil. Vous deux ça ne sera plus cette amitié folle que vous avez depuis sept ans. Pendant sept ans, tu n’as vu qu’une amie, une sœur. Là, à cet instant, tu vois une femme que tu désires. Tu te dis qu’en un seul baiser, toute une vie peut changer. Une amitié peut changer. Demain, il est possible que vous regrettiez votre acte. Demain, votre amitié ne sera plus là même. Seulement, vous êtes à ce soir. Ce soir, vous vous désirez. Tu la laisse franchir le pas, elle se colle à toi nue. C’est vraiment une première pour toi. Tu vas coucher avec ta meilleure amie. Tu vas lui faire des choses que tu fais à de pauvres filles qui en redemandent encore toujours plus. Sauf que Gaby n’a connu qu’Edouard. Elle te l’avait dit, il avait pris sa virginité et tout le reste. « Je sais que rien ne sera plus pareil. Gaby, putain, j’en ai envie… » Tu passes ta main sur sa hanche, l’autre remonte doucement sur son cou. C’est étrange comme sensation pour toi. Tu l’attrapes une fois de plus par les hanches, les enroules ses jambes autour de tes hanche, de ton bassin. Elle est la près de ton paquet. Paquet qu’elle a si souvent menacer. Tu commences par poser des baisers dans son cou. Petit à petit, tu sens l’humidité de la douche de son corps près du tiens. Tu t’avances alors vers son lit. Lit qu’elle a partagé avec son ex-copain. Lit qui va connaitre un autre homme. Qui sera le spectateur de leur première nuit ensemble. Tu laisses glisser tes mains sur le corps tatoué de ta meilleure amie. Enfin de ton amante. C’est étrange pour toi de penser à elle comme ça. Tu la poses délicatement sur le lit. Tu l’observe. Tu rives ton regard au sien. Tu observes ses réactions. Tu effleures la peau de sa hanche pour revenir vers son épaule. Tu as du mal à avaler ta salive. Tu embrasses une fois de plus Gaby et tu lui demandes « Tu es sûre, si tu veux, je peux arrêter. Je peux partir… » oui, tu pourrais partir si elle te demande. Tu pourrais arrêter tes caresses, si elle te demande de les stopper. Tu pourrais continuer si elle te le demande. Ce soit, c’est Gaby qui décide. Tu es venue prendre soin de ton amie. Tu ne t’attendais pas à finir dans son lit. Tu ne t’attendais pas à avoir un désir animal pour elle. Tu es là pour elle, tu feras ce qu’elle te demande. Tu ne fais pas de la même manière qu’avec les autres filles. Habituellement, c’est très vite fait. Tu te ‘vide’ le paquet. Tu ne penses pas à leurs plaisirs. C’est juste une banale partie de jambes en l’air. Là, tu veux que Gaby apprécie ce que tu vas lui faire.

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Mino & Gaby

Bien sûr qu'elle voulait de lui, qu'ils le fassent. Elle ne pensait à rien d'autre, elle le voulait en elle. Découvrir de nouvelles choses, avec du plaisir. Elle frissonnait à chaque contacte de ses mains sur son corps. Elle voulait être sienne à ce moment, elle voulait oublier tout le reste. Elle voulait que le monde s'arrête pour qu'ils puissent profiter de ce moment ensemble. Elle voulait ressentir tout ce que ces filles ressentent quand il les prend. Elle n'avait plus rien à faire de leur amitié! Elle dénoue le nœud de sa serviette pour laisser apparaître son corps, qu'il puisse la toucher sans être dérangée. Oui, demain ne sera plus pareil, leurs regards auront changé, mais tôt ou tard, cela serait arrivé. Une amitié entre un mec et une nana ne durent jamais autant. Oui, ok! Cela fait sept ans qu'ils sont amis, mais au fond, ils se désiraient tout de même sinon ils n'en seraient pas là. Ses mains sur son corps sont à présent une douce caresse de bonheur. " Tais toi!" Dit elle simplement, elle ne voulait pas qu'il gâche ce moment, même si c'était une belle connerie. Elle passe ses mains sous le t-shirt de Mino, caressant lentement son corps, passant sur chaque tatouage qu'elle connaissait par coeur. Elle remonte le t-shirt pour le lui enlever. " Ne t'arrêtes pas!" Elle voulait lui crier de la prendre comme si qu'il prenait une fille pour la dernière fois, elle voulait être la dernière qu'il toucherait. La seule et l'unique qu'il retoucherait un jour. Edouard était bien long dans ses pensées, elle n'y pensait plus. Mino réussissait à le faire oublier par ses caresses, les affaires encore présentes d'Edouard étaient invisibles. Une simple petite lumière éclairait la chambre, suffisant pour attiser le plaisir et pour dévoiler un minimum le corps de l'un et l'autre. Elle caressa tendrement le lobe de Mino avec sa langue, elle faisait ce qu'elle connaissait, ce qu'elle pense qui peut exciter un homme. Elle voulait découvrir de nouvelles parties de son corps, des parties qu'elle n'avait pensé être érogènes. Elle était sa proie ce soir, elle voulait se laisser faire, elle était sous son emprise et compte bien que cela dure toute la nuit. Enfin une pause clope ou bière entre temps ne la dérangerait pas.

elle te demande de ne pas arrêter. Gaby te demande indirectement de continuer. Tu reprends ta respiration. Tu attendais sa réponse. Elle te demandait de lui faires ses choses, enfin, tu comprenais qu’elle te demandait ça. Gaby et toi, vous avez ce lien de compréhension. De se comprendre sans se parler. Tu es presque soulagé qu’elle te dît oui ! Puis là, tu ne penses plus, tu laisses le désir sortir de sa cachette. Un désir que tu éprouves pour Gaby. La veille alors que Gaby entrée dans l’église, on t’aurait dit que tu éprouverais du désir pour elle, tu aurais ris au nez de la personne. Toi et Gaby, c’est impossible. Enfin, ça l’était. Tu n’y avais jamais pensé. Enfin quand tu l’avais rencontré, tu avais pensé que si tu devais la mettre un jour dans ton lit, ça ne serait pas de refus. Puis avec le temps, son couple, tu n’y avais plus pensé. Seulement, maintenant que tes mains sont sur son corps, c’est une autre histoire. Elle te retire ton tee-shirt. Elle caresse chacun de tes tatouages, comme si elle contemplait son travail ou comme si c’était la première fois qu’elle les découvre. Ton échine frisonne. Ton bas ventre commence à s’activer. C’est étrange de se dire que tu vas faire l’amour à ta meilleure amie. Parce que oui, là, ce n’est pas simplement de la pure baise, Gaby mérite autre chose. « Laisse-moi faire, Gabriela » Oui tu emploies son prénom au complet pas son diminutif. Tu veux faire la différence. u attrapes ses deux mains entre ta main. D’un geste, tu lui fais passer ses bras au-dessus de sa tête. Son corps se tend. Tu l’observes doucement. Tu aimerais faire les choses autrement, mais tu ne connais que la baise sauvage, brutale. Tu ne sais pas comment elle va réagir. Tu ne sais pas ce qu’Edouard lui à fait. Tu veux qu’elle oublie Edouard, tu veux qu’elle ne pense plus qu’à tes mains sur elle. Tes lèvres sur son cou. Ta main libre remontant du milieu de sa cuisse, jusqu’à sa hanche. Tu l’observes, tu observes ses réactions. Elle a l’air d’aimer, d’apprécier, alors tu continues. Tu remontes vers sa poitrine. Tu effleures son sein avec le bout de tes doigts. Tu la sens frissonner, un sourire se peint sur ton visage. Tu es heureux. Demain, tu le seras moins, car ça ne sera plus pareil. Tu t’en fou, tu veux vivre l’instant présent. Tu fais des mouvements circulaires sur sa poitrine. Tu ne fais qu’effleurer, tu veux qu’elle ressente des choses encore inconnues.

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Mino & Gaby

Elle était devenue cette petite chose fragile à qui on pouvait faire tout ce qu'on voulait. Elle s'abandonnait aux bras de Mino, il avait libre accès à son corps et il pouvait laisser faire ses envies. Elle était sa chose! Elle voulait découvrir ce côté bestial de son meilleur ami. Ce qu'il avait de si spécial pour que toutes les filles lui courent après. Elle ne les avait d'ailleurs jamais comprise, mais elle se mettait à présent à leur place. Elle devenait une bombe à retardement dans ses bras, le minuteur en route. Elle allait bientôt succomber de tout son être à lui, lui qui était si mystérieux d'un côté, mais si facile à comprendre en un seul regard. Aucun mot n'était nécessaire, ils savaient lire dans le regard de l'un et l'autre. Elle voulait le laisser faire pour ne pas paraître novice, prude, car finalement c'était ce qu'elle était. Elle joue la grande gueule, mais elle n'y connaît rien. Après tout, on dit qu'on a qu'une seule fois dans sa vie, mais quand c'est un nouvel homme, cela reste une première fois. Il faut apprendre à connaître le corps de l'autre, savoir ce qu'il aime, ses zones érogènes. Il faut tout réapprendre dès le début, oublier le passé sans vraiment l'oublier. Il faut tout de même garder des bases sur le sexe.

Gabriela ? Il l'appelle par son prénom, entièrement ? Elle ne le reconnaissait pas, il était différent dans ce genre de situation. Elle se laisse faire, se tait et l'observe du regard. Elle accepte qu'il soit un tantinet dominant, qu'il prenne les choses en main. Au fond elle, elle compris qu'elle apprendrait des choses avec lui. Lui avec son palmarès de filles dans le lit. Elle se cambre, frissonne à son contacte. Elle apprécie tout simplement, un rictus naît sur son visage. Elle est sienne pour un soir, sans doute qu'ils remettront cela un autre soir, peut-être qu'ils regretteront demain et ne voudront plus du tout le refaire. " Fais comme tu as l'habitude!" Murmure-t-elle, elle ne voulait pas qu'il joue un rôle. Elle voulait sans doute voir sa vraie nature, celui qu'il était avec les autres. Même si, elle pense qu'il ne la traitera jamais comme les autres, qu'il voudra la respecter. La sensation de ses doigts sur ses seins, est spéciale! Les percings y sont pour beaucoup! Ils sont à la fois sexy sur un corps d'une femme, mais ils permettent beaucoup comme doubler le plaisir qu'on ressent quand on les caresse, c'est un monde si merveilleux quand nous avons des percings! Elle était sous emprise, mais elle réussit à lui voler un baiser, ouais, elle en avait envie. Elle n'avait jamais goûté d'autre lèvre que celle d'Edouard, elle voulait découvrir autre chose. Découvrir une autre part d'elle, une part un peu plus sauvage, plus assoiffée de sexe. Elle a toujours été trop sage à ce niveau, pourtant elle n'en parait pas! En se cambrant un peu plus sous ses mains entre ses cuisses, elle arrive à approcher sa bouche de l'oreille de Mino, son souffle se veut chaud et saccadé, elle attendant le moment fatidique. Le moment où il oserait passer le cap que du simple effleurage. Un souffle qui criait " je te veux en moi!" et " n'y vas pas par quatre chemins!" Elle ne voulait pas qu'il hésite, qu'il regrette ou qu'il calcule ses gestes pour savoir si c'est bien ou mal. Elle voulait qu'il soit lui!

elle te demande te faire comme tu as l’habitude de faire avec les autres. C’est la seule chose que tu sais faire, que tu peux lui offrir. Parce que tu ne connais pas la tendresse. Tu l’observes une dernière fois. Ce soir ça changera tout, toute votre amitié sera différence. Demain ou le surlendemain, vous remettrez peut-être ça ou pas d’ailleurs. Tu ne penses plus à ce que sera demain, tu ne penses qu’à faire hurler Gaby. Car oui, c’est ton but, te lui faire hurler de plaisir. Qu’elle cri ton nom tes va-et-vient. Qu’elle te dise et qu’elle pense que tu es bien meilleur que son ex. parce que oui, tu as dû être jaloux de lui, il te la prise pendant trop de temps. Pendant une longue période, vous vous ne vous êtes plus vu. Edouard était jaloux de toi, il pensait que vous pourriez franchir le cap du sexe. Vous lui aviez ri au nez, vous deux impossible ! Et pourtant, il a raison. Tu reviens à la réalité quand elle te souffle à l’oreille. C’est surement le moment où tu chavires, que tu ne veux plus rendre la chose spécial. Que tu deviens le Mino sauvage et brutal. Tu attrapes plus fermement sa poitrine. Tu t’en fou qu’elle est mal sous la pression de ta paume sur son sein. Tu es comme ça ! Gaby ne connait pas cette facette de toi. Elle va le découvrir. Peut-être elle aura peur, mais tu veux essayer au moins une fois de coucher avec elle. Tu veux voir ce que ça fait. Tu poses tes lèvres sur son cou, tu déposes des baisers jusqu’à la naissance de sa poitrine. Tu attrapes la pointe qui se dresse devant ta bouche. Les piercings sur les seins, c’est une première pour toi. Tu passes outre, tu fais comme à ton habitude. Tu laisses ta langue titille cette pointe qui se durcit à ton contact. Tu le mordille, tu le meurtrir, tu l’embrasses. Ton autre main s’agite sur l’autre sein. Tu relâches alors ta main de ses poignets et tu la fait parcouru le corps de la tatoué. Elle descend vers son bas-ventre. Elle caresse l’intérieur de sa cuisse, sans s’aventurer vers le triangle d’amour. Tu l’as tyrannise. Tu sais qu’elle aimerait que tu t’y approche un peu, mais tu sais que plus tu l’as fait languir, plus elle appréciera le reste. Puis comme un connard, tu l’as laissé là gisante sur le lit, elle attend qui tu assouvie son envie. Tu retires ton pantalon. Tu te libère toi aussi. Tu te redresse du lit, da là, tu peux observer son corps qui t’appelle. Tu retires le dernier rempart de leur que vous allez commettre. Ton boxer rejoint la serviette mouillé et ton pantalon. En revenant vers elle, tu vois qu’elle essaie de te caresser, mais tu n’as pas envie qu’elle te touche. Enfin pas pour le moment, pour le moment, tu veux rentrer en elle. Parce que oui, tu aimes les parties de jambes en l’air brutal. Tu ne t’éternise jamais avec les préliminaires. Ça sera pour plus tard, pour le second round. Tu lui écartes un peu plus les jambes avec ta main et tu rentres enfin en elle. C’est comme si c’était une évidence. Toi, en elle. Tu l’observes, d’une main, tu attrapes une de ses jambes. L’autre, tu viens la poser près de son visage. A cette instant, commence la folle danse de vos corps emmêlé l’un à l’autre. Tu ne te tiens pas, tu t’enfonces…

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Mino & Gaby

Edouard, c'était le mec qui faisait toujours la même chose. Toujours la même position, il était fréquent qu'ils le fassent souvent à la même heure, il était réglé comme une horloge. Une minute avant, ce n'était pas l'heure, une minute après ce n'était plus l'heure. C'était monotone, la routine! C'était presque devenu chiant, mais elle l'aimait! Elle avait accepté ce comportement, ne parlons pas non plus des préliminaires. Il n'aimait presque rien, elle ne pouvait rien lui faire. Il était tactile, mais sans plus. Il aimait faire son affaire et se retourner ensuite pour s'endormir. C'était ça d'être avec le même mec pendant autant d'années, elle avait pourtant peur de la routine et c'est ce qui s'était passé entre eux. A croire que l'amour change les gens ou les rend aveugle. Je ne sais pas trop... Mais là! Ce n'était pas Edouard et c'était bien différent.

Il la narguait, la faisait languir. Elle n'en avait pas l'habitude, elle voulait passer à l'acte. Elle n'en pouvait plus d'attendre. Elle était surprise de son comportement, elle ne connaissait en rien de cela. Elle ne savait pas ce qu'il se passait. Elle était sa soumise, elle en n'aurait certainement pas dû lui demander de faire comme à son habitude, elle avait l'impression d'être une chose en fait. Elle attendait ce moment depuis le début de la soirée, enfin depuis le baiser sauvage qu'il lui avait offert contre la porte, mais elle ne s'attendait pas à cela. Elle ne pouvait plus le toucher, elle se sentait vexer. Elle le laisse tout de même faire. Il est devenu un animal en soif de sa proie, elle était donc sa proie. Il voulait assouvir donc son devoir. Un râle de plaisir jaillit de sa bouche lors de la pénétration, elle ne s'attendait pas à si vite. Elle pensait qu'il y aurait des préliminaires. Elle ferme les yeux, elle ne veut pas regarder, elle ne veut pas voir, elle veut simplement sentir. Il se montre bestial, comme elle lui a demandé. Elle découvrit ce que cela veut dire, mais elle ne savait pas que c'était cela. Elle est un peu étourdie par cela, mais elle prend bizarrement du plaisir. Elle apprécie et compte bien en profiter. Elle le laisse faire, mais elle décide de donner le coup de grâce. Quoi? Elle peut bien le piégé à son propre jeu. Elle prend toutes ses forces en elle, coince son autre jambe sur lui et pivote pour parvenir au-dessus. Elle pose ses mains sur le torse de Mino et décide qu'elle prend les règles en mains, et oui, tu vas perdre à ton propre jeu Mino! Elle le bloque de son poids et lui assomme le coup fatale! Elle veut gagner, elle veut prendre l'emprise sur lui. Il l'avait jusqu'à présent, mais un éclair de lucidité lui dit de faire la loi elle, pour ce premier round. La petite prude Gaby devient une femme, oui ok, c'est un peu gros. Mais elle a bien le droit de rêver. Elle exerce des vas-et-viens, elle donne le rythme, l'augmente encore et encore. Elle l'oblige à poser ses mains sur ses hanches, à la regarder dans les yeux. Elle se baisse légèrement sur lui, donne enfin le coup de grâce. Il perd, il était temps, elle commençait à se fatiguer. Oui, c'était long, il était athlétique pour cela. Elle ralentit, s'arrête tout en étant sur lui. Le regarde, pas un baiser, rien. Elle attend un peu avant de se retirer en attrapant une couverture qui traîne à côté du lit. Se lève et le désigne de la tête. " Cigarette?" Elle ne fumait pas dans la chambre. Hors de question! La couverture recouvrait que la moitié de son corps, il faisait nuit noire par la fenêtre. Elle allume donc une lumière, attrape une clope et tire une taffe dessus. C'était bien, mais c'était bizarre. Elle avait chaud, elle avait pris du plaisir, mais elle trouvait tout de même cela bizarre. Son meilleur ami!

Gaby prend le dessus. Tu ne t’y attendais pas du tout à celle. Tu l’observes sur toi. Tu l’observes te chevaucher. Tu apprécies chacun de ses mouvements. Puis d’un seul coup tout s’arrête. Tu es déçu ! Enfin pas le genre de déception, ma meilleure amie est un très mauvais coup. Non, loin de là. T’es déçu que ça se termine aussi rapidement. C’est comme si tu avais une immense faim, que tu crèves la dalle et qu’on te tant une simple pate à mâcher pour repas. Non, toi tu as faim du corps de Gaby. Si ça ne tenais qu’à toi, tu l’aurais à nouveau plaqué sur ce putain de lit et tu aurais remis la chose. Seulement, Gaby n’est pas les filles que tu ramenés chez toi. Elle n’a connu qu’Edouard. Elle n’a dû connaitre que le sexe vanille. Le sexe emballé s’est peser. Vous deux, vous ne parliez jamais de sexe. Enfin, de sexe pour déconner, mais pas de vos vies sexuelles. Tu sais que Gaby n’aime pas que tu parles de tes nuits avec ses filles. Elle aime te charrier, mais jamais elle ne te demander conseils. Non, le sexe –enfin votre vie sexuelle – c’était presque tabou. Tu en riait parfois. Gaby et sa grande gueule. Gaby qui ne veut pas parler de sa vie sexuelle, qui rougit quand on en parle. T’aimais bien la taquiner avec ça. Elle se retire de toi. « Cigarette? » Elle ne dit pas un mot de plus. Voilà, maintenant, c’est le grand changement dans votre amitié. Le après sexe, le après amitié et plus si affinité. Tu ne sais pas comment ça va se passer. Tu te redresse, tu es en position assise sur son lit, tu attends quelle sorte de la chambre pour te passer une main sur le visage. Et merde ! Qu’est-ce que vous avez fait ? Tu te sors du lit. Chez toi, tu es souvent à poil enfin plus maintenant. Gaby piquerait une crise si elle savait que tu te trimbales le paquet à l’air devant sa sœur. Tu tiens trop à ta vie donc tu enfiles un bas de survêt en général. Là, tu attrapes ton boxeur. Tu l’enfiles rapidement, tu reviens vers le salon. Tu attrapes deux bières et tu rejoints ta meilleure amie. Tu as eu le temps de décapsuler sa bière et tu lui tends. Tu attrapes une clope qui traîne sur la terrasse. Ton paquet, son paquet ? Tu t’en fous, il te faut une clope et de la bière. Tu poses tes avants bras sur le balcon et tu observes la nuit noire. « Alors ? » que tu lui lances « Tu crois que ça va changer quelque chose ce qui s’est passé ? » avec un petit rire nerveux, tu ajoutes « parce que si ça ne changes pas, je ne suis pas contre recommencer. » Tu tires une nouvelle taffe

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Mino & Gaby

Elle ne change pas de comportement envers son ami, mais quelque chose s'était déclenché en elle. Une chose interdite entre deux vrais amis, elle se sentait un peu coupable de vouloir ressentir sa peau contre la sienne. De vouloir à nouveau goûter ses lèvres, d'être auprès de lui. S'endormir dans ses bras pourrait être un pêcher, mais elle le désirait. Elle désirait un second round, mais un peu plus vanille que hard. Elle voulait voir une part de douceur en lui, elle savait qu'il cachait cela, un macho! Il voulait faire l'homme beau et fort auprès de sa meilleure amie, mais elle voulait en connaître plus, bien plus que cette baise. Oui,c'était une baise pour elle et non faire l'amour. C'est ironique, mais elle se considérait comme un nouveau numéro à sa liste de prétendante. Elle profite du calme, de la noirceur de la nuit, de la fraîcheur qui caresse tendrement sa peau, qui la ramène sur Terre. Elle ferme les yeux en relevant légèrement la tête, fumant tranquillement sa cigarette. Elle sent son ami, elle sent qu'il s'approche d'elle. Il lui tend une bière, elle accepte poliment. Une gorgée précieuse qui la rafraîchit de cette folie. « Alors ? » Alors quoi, chéri? Tu attends qu'elle te félicite de ton ébat sexuel avec elle. Non, elle ne le ferait pas, elle hausse simplement les épaules en regardant à nouveau face à elle. Alternant bière et cigarette qui allait bientôt se finir. « Tu crois que ça va changer quelque chose ce qui s’est passé ? » Elle ne sait pas trop elle-même, il faudrait voir cela par la suite.« Beaucoup d'amis couchent ensemble. » Elle voulait faire un peu d'humour pour cacher sa peur de l'inconnu, ne pas savoir ce qui se passerait par la suite entre eux. Elle ne supporterait pas entendre qu'il couche avec une autre nana dans deux ou trois jours. La fidélité et lui, cela fait deux! Donc, pour le moment, elle n'espère pas grand chose. « En partant du principe que tu n'es pas un si bon coup que cela... Faut des preuves! Tu es sois disant un le top of the top!» Elle le taquine, elle voulait une seconde partie, voir de quoi il est capable. Sans le vouloir, elle se met contre lui, le toise du regard tout en se blottissant contre son torse. Au fond, elle espérait fortement qu'elle soit la seule personne qui le voit dans cette nuit, en gros, que sa petite soeur n'ait pas la chance de voir ce corps. Un corps qui l'attire bizarrement un peu plus maintenant. Elle relève légèrement la tête pour le regarder.« Quand on goûte à Gaby, on y prend goût!» Un petit sourire aux lèvres en attendant sa réaction.

« Qui a dit que j’étais un top of the top ? je n’aurais jamais dit ça de moi Gaby. » Tu l’observes du coin de l’œil. Ton cœur se resserre en attendant que tu n’es pas un si bon coup que ça. Ta fierté de mal en prend un coup « Je fais les choses comme je sais les faire, j’me suis jamais venté d’être le meilleur » oui tu es vexé d’entre que Gaby te dis que tu es soit disant un mec qui fait l’amour comme un dieu. Non, tu ne te considères pas comme ça. Ton physique et ton bagou t’aide pas mal. Ça fait tout, mais tu ne te dis pas un expert du sexe. Tu es loin de tout connaitre. Tu n’as pas tout pratique. Tu n’as jamais fait des trucs à trois. Tu as trop peur que l’autre fille soit meilleure que toi. Donc tu préfères le sexe avec un seul partenaire. « Hum, c’est peut-être vrai. Je n’en ai pas encore eu le gout à vrai dire. » Tu baises la tête pour pouvoir la regarder dans les yeux. Tu as envie de retourner dans ce lit. Si ça ne tenait qu’à toi, tu la prendrais là, sur le balcon. Seulement, tu te souviens de son regard quand tu la fait tienne aussi rapidement. Sans préliminaire. Sans tendresse. Tu l’as prise en urgence. Tu l’as prise comme si c’était le dernier moment que tu vivais. Tu balances ta clope dans le cendrier. Tu attrapes une nouvelle fois Gaby par la taille. Tu commences à faire parcourir tes mains sur son corps. Corps que tu découvres, corps que tu désires plus qu’un autre. C’est tous nouveau pour toi. Ça. Cette situation. De la vouloir. De la désirer. Alors que dans un coin de ton cerveau, il y a une petite voie qui te dis que ce n’est pas bien. Tu la presses un peu plus contre toi. Qu’elle comprenne l’effet qu’elle te fait. Tu la presse un peu plus contre ton sexe. Tu fais glisser des baisers sur son épaule, sur sa clavicule. « Je veux te prouver que je ne suis pas aussi mauvais que tu le prêtant. » tu la soulèves, tu la portes vers le canapé qui demander rien à personne. Oui, tu n’as pas envie de faire ça dans son pieu. Tu aimes le changement. Tu l’allonges sur le canapé et tu repars à l’aventure. Où passent tes mains, tes lèvres suivent. Tu la taquine. Tu la chatouille. Tu l’explores. Tu finis ton chemin vers son triangle d’amour et là, tu commences les préliminaires qu’elle attendait temps tout à l’heure.

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Mino & Gaby

Elle ne veut pas vexer, Mino. Elle ne veut pas piquer son ego de mec, elle veut simplement le charrier, mais il prend tout au premier degrés. Il n'a pas d'humour sur certains sujets. Il est un peu frigide par moment, ça a tendance à l'agacer quand il se comporte de cette façon, mais elle n'en prend pas compte. Elle le laisse se justifier, ne l'écoutant que d'une oreille en étant blottit contre lui. Il pouvait bien dire ce qu'il voulait, elle profitait simplement du moment. Y'a-t-il un bouton stop? Un simple arrêt sur image pour que ce moment continue bien plus longtemps qu'une microseconde. Elle sentait son envie, l'envie de la prendre à nouveau, mais elle veut y aller doucement. Ce n'est pas dans ses habitudes de faire des nuits de sexe entières. Elle a pour habitude un petit coup comme ça et bonne nuit. Elle n'a pas le temps de souffler, ce soir, avec Mino. Il la veut minutes après minutes, secondes après secondes et cela allait certainement durer toute la nuit. Une nuit entière avec Mino sous un autre angle, une nuit torride sans qu'elle ait à demander quoi ce soit. Elle se perd dans ses pensées, elle s'imagine ce que serait d'être en couple avec lui. Lui, former un couple? Il n'est pas du genre à se foutre éternellement avec quelqu'un. Il est bien plus facile, pour lui, de tirer un coup et de demander rien en retour. Aucun sentiment, aucune attache. Elle n'a pas le temps de dire ouf quand elle sent l'érection de Mino contre elle, elle reste un peu sur le cul. Elle ne pensait pas faire cet effet à son meilleur ami, jamais! « Mino...» Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase sans qu'un petit rire s'échappe sous les chatouilles de Mino, oui, elle était chatouilleuse par endroit et il les avait trouvé! Les doigts de Mino caressant le triangle de l'amour lui fait échapper un petit gémissement. Elle ne s'attendait pas à cela, pas si tôt. Elle avait une question à poser, une simple question pour savoir où cela va les mener. Elle voulait en savoir un peu plus, mais il n'avait pas réellement envie de parler, elle se tait, profite un instant. Mais cette question lui brûle terriblement les lèvres. Elle voulait aussi profiter de cette expérience, de nouvelles aventures avec lui. Oui, avec lui, il était le seul en qui elle avait confiance donc elle acceptait de s'offrir à lui. Un souffle chaud s'échappe de sa main et elle voulait lui faire voir ce qu'était aussi les préliminaires, elle pense qu'il ne connaît pas non plus cela. Il n'était pas du genre à faire cela avec ses conquêtes, il n'avait pas envie de s'attarder sur ça. Elle descend délicatement sa main sur le caleçon de Mino, caressant doucement tout en le scrutant droit dans les yeux. Elle voulait voir chacune de ses réactions. Elle passe délicatement l'élastique du caleçon pour se retrouver en dessous, la main sur son entrejambe. Elle exerce une pression douce puis un peu plus vite, une pression qui voulait lui donner du plaisir. Il n'était pas question qu'elle seule prenne du plaisir.

cette fois-ci ses mains explore ton corps. Tu l’as laisse faire. Ses caresses n’ont pas le même effet que lorsqu’elle pose ses mains gantées sur toi. Ses douces mains qui parcoure ton corps avant que l’aiguille ne pénètre ta peau pour y injecté l’encre. Aujourd’hui ses une autre sensation. Une sensation que tu aurais pensé ne jamais ressentir. Tu n’avais jamais vu Gaby sous cet angle. Enfin, tu l’avais déjà vu à poil lors d’une soirée à la plage. Lors d’un bain de minuit arrosé. Seulement vous n’aviez jamais aussi proche et aussi peu vêtu jusqu’à la. Tu caresses à ton tour sa peau assombrit à certains endroits. Gaby et ses tatouages. Gaby et ses courbes. Gaby qui laisse glisser ses douces mains jusqu’à ton caleçon. Tu étais trop occupé à t’occuper de ton exploration que tu ne remarques pas qu’elle passe sa main sous le tissu déjà bien sous tension. Un grondement sort de tes lèvres. Le plaisir tu là. De deux de putain façons. D’abord physique, mais aussi moral. « Merde Gaby… qu’est ce … qu’est-ce que tu fais ? » tu l’as regardé toujours penché sur elle, tu es surprit de son geste. Agréablement surpris, mais quand même perplexe. « Je croyais que les femmes n’aimaient pas faire ce genre de chose dégradante. » tu ne lui as pas retiré pas pour autant sa main de sur ton membre. C’est une sensation nouvelle pour toi. Habituellement, les filles que tu ramènes chez toi, ne veulent pas passer entre tes cuisses. Te faire plaisir, bien souvent tu les explores elle, mais toi, t’es frustré. Tu baises avec elle de manière sauvage et brutale, parce que tu n’as jamais eu le droit à ça. La première jeune fille avec qui tu as couché t’avait annoncé que c’était dégradent pour une femme de toucher un mec là. Les autres qui avaient suivi avait fait que confirmer ses dires. Quelques-unes avaient essayé, mais avec des troches à faire peur, que tu avais vite fait ton affaire et tu t’étais cassé. Là, Gaby le fait de son propre chef. Tu ne sais pas comment réagir. Seulement, ses caresses ne font qu’augmenter ton désir. Désir pour elle. Tu laisses glisser tes mains de plus en plus en elle. Tu veux qu’elle ressente la même chose que toi. Qu’elle ne pense plus à ce que son ex lui fessait. Egoïstement tu n’as envie qu’elle ne pense qu’à toi. Que demain quand tu seras chez toi, qu’elle ne pense plus qu’à ce que tu lui as fait. Tu ne la veux que pour toi. Même ses pensées. Tu ne sais même plus ce que tu racontes mon pauvre ! tu laisses ta langue, ta bouche effleurait sa peau moite

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Mino & Gaby

Elle oublie Edouard, elle se laisse vivre, respirer dans les bras de Mino. Chaque parcelle qui caresse avec ses mains effacent Edouard de sa tête, elle ne pense plus à lui pendant cette soirée. Elle a besoin de Mino dans sa vie, mentalement et émotionnellement aussi. C'est un peu son pilier, une partie d'elle. Il est là, en-dessous d'elle, il la caresse, elle apprécie simplement. Il a toujours su être là pour elle tout simplement, il l'apaise, la console, la protège et lui permet de changer les idées qui la bouffent de l'intérieur. Mais cela change d'avoir ses bras autour d'elle, différemment qu'en tant qu'amis. Ses doigts qui se répandent une vague de chaleur au gré de la peau de Gaby et sa bouche qui dévaste délicatement chaque morceaux de sa peau. Tous ses sens sont en ébullition, elle a envie d'exploser. De revivre cette sensation chaque instant de sa vie. Son regard avait changé, elle ne considérait plus Mino comme son meilleur ami, mais bien mieux. Certes, ils pouvaient se contenter d'une amitié améliorer en partie de jambe en l'air, mais elle sentait son coeur se dérober, s'arracher de sa poitrine en imaginant que cela ne se produira que cette nuit. Une part d'elle en désire encore plus, elle veut être sienne.Elle aimerait plutôt, elle ne peut pas parler si vite. Mais c'était comme ci qu'ils répondaient à une question qui était encrée en eux depuis bien longtemps. « Je croyais que les femmes n'aimaient pas faire ce genre de choses dégradante. » Elle le fait simplement taire en l'embrassant délicatement, elle ne voulait pas l'entendre dire cela. Après tout, elle n'était pas comme toutes ces filles. Elle était elle ! Elle ne connaissait peut-être presque rien sur le sexe, mais elle savait ce qui pouvait amplifier le plaisir d'un homme. Elle voulait partager la sensation qu'elle ressentait, elle voulait qu'il ressente ce qu'elle a au fond d'elle. Le plaisir ne va pas que dans un sens unique. Elle se met sur lui, dégageant toutes mains baladeuses de son corps, elle avait une petite idée en tête. Elle était à califourchon sur lui, le scrutant du regard. Un petit sourire aux lèvres, elle se sentait elle, elle se sentait vivre. Un regard qui voulait dire "fais moi confiance." Elle glissa délicatement vers son entrejambe, elle voulait expérimenter cela. Elle n'en avait presque jamais fait. Elle baisse délicatement le caleçon de ce dernier laissant découvrir son anatomie. Elle relève légèrement le regard vers lui, il était perplexe, curieux. Elle ne dit rien, elle commença délicatement à lui faire une fellation, elle voulait que celle-ci soit parfaite. Qu'il se souvienne chaque jour de ce qu'elle venait de faire, qu'elle hante ses rêves comme ses cauchemars. Qu'il se réveille en pleine nuit en sueur, cherchant Gaby à côté de lui. Qu'il tombe tout simplement sous son charme, qu'il soit à elle et rien qu'à elle. Elle veut qu'il lui succombe.

tu l’observes descendre cers le seul endroit qu’elle ne connaissait pas de toi. Tu avais des tatouages partout sauf sur ton sexe. Tu n’en avais jamais fait et tu n’avais jamais pensé à t’en faire là. Ça doit être bien trop douloureux. Puis jusque-là, tu en voyais Gaby qu’en tant que meilleure amie. Tu n’avais jamais pensé à elle pencher sur ton entre-jambe. Tu ne l’avais jamais imaginé comme ça. Puis c’était plus agréable de la voir faire, que d’y penser. Tu es certain que si tu en avais rêvé un jour, tu te serais réveillé bouillonnant dans ton lit avec une putain d’érection. Seulement aujourd’hui, elle te fait ce genre de chose inimaginable jusque-là. Plus sa douche s’avance sur toi, plus tu te tends. Tu grogne de plaisir, c’est la première fois qu’une fille te fait ça. Pas n’importe quelle fille. Enfin, femme ! Tu l’observes faire, ton plaisir va arriver trop vite si ça continue comme ça. Bien trop vite, oui. Tu ne veux pas être le seul à avoir du plaisir. Malheureusement, elle a fait en sorte que tu ne puisses toucher aucun centimètre de sa peau, tu ne peux qu’attraper ses cheveux. Tu sens que tu vas exploser. « Gaby j’veux pas faire ça dans ta bouche » Tu arrives à te redresser, tu arrives à lui faire lâcher prise. Tu la fais passer sous toi. Tu écartes ses jambes pour te mettre entre. Tu l’observes, tu attends qu’elle soit prête. Un signe de tête et tu pénètres enfin en elle. Cette fois-ci, tu l’embrasse. Tu l’embrasse comme si c’était la dernière fois que vous allez passer la nuit ensemble. Tu l’embrasse, tu la sers fort contre toi. Tu veux que Gaby se souvienne de toi. Tu veux qu’à chaque fois qu’elle couche avec un autre, elle ne pense qu’à toi. Enfin, égoïstement, tu ne veux qu’elle couche avec toi. Tu as même envie de reste avec elle, tu penses à tant de choses impossible pour toi. Totalement incohérent avec ta personne. Après de nombreux va-et-vient parfois lent parfois rapide, tu exploses enfin en elle. Tu t’écroule sur sa poitrine, sur son corps. Ton corps s’emboite une fois de plus parfaitement à son corps. « Putain Gaby, c’était si … si bon… » Oui, c’était si bon de coucher avec elle … enfin pour toi, tu n’avais pas couché avec Gaby, non tu venais de lui faire l’amour. Tu venais de faire l’amour pour la première fois de ta vie à une femme que tu aimes. Cette nuit-là, c’est terminé avec deux nouvelles tentatives. Deux tentatives pour voir si ce n’était pas juste un truc banal qu’on fait entre amis. Vous avez fini la nuit dans son lit. Tu t’es endormi avec Gaby dans tes bras. Comme tu l’avais prédit, tu te réveilles en sursaut le lendemain matin avec une érection et Gaby endormi dans tes bras. Tu pensais que ce n’était qu’un rêve, vous l’avez vraiment fait.

Invité

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Mino & Gaby

Si elle pouvait arrêter le temps pour pouvoir en profiter un peu plus, elle le ferait. Elle ferait défiler le temps, secondes par secondes, comme les scènes grotesques au ralentit qu'on voit dans les films. Une part de son coeur s'ouvre, il s'ouvre envers Mino. Elle ressens un étrange sentiment qui la rend assez bizarre. Elle se sent libérée d'un poids, elle se sent libre comme un papillon. Elle se sent à lui, elle lui appartient le temps d'une nuit, le temps qu'ils voudront que cela dure. Elle ne savait pas vraiment combien de temps cela durera, combien de temps ils joueront les amants. Elle ne sait pas si il aura suite à cette nuit, est-ce qu'un amour naîtra entre eux? Est-ce qu'ils resteront simplement amis ? Toutes les questions qui seront élucidées par le temps, par l'envie des deux. Elle n'avait pas envie que cela se finisse sur une touche de fellation, elle ne voulait pas non qu'il le fasse dans sa bouche. Elle veut un peu plus de romantique, oui, c'est le seul côté fille qu'elle a en elle. Il parvient à se hisser au-dessus d'elle, elle le laisse faire. Elle se laisse à sa merci, elle lui appartient pour ce cour instant. Un signe de la tête suffit à lui signifier qu'il pouvait, qu'il avait libre champ. Qu'elle s'abandonnait à lui, qu'elle était sienne. Elle laisse échapper des petits bruits de plaisir, elle n'avait pas ressenti cela depuis bien longtemps. Elle se laisse enivré par le plaisir que lui offre Mino, elle y a goûté, à présent. Elle en voudra à nouveau, s'abandonner à lui. Il se laisse tomber sur elle, elle sent sa chaleur se mélangeant à la sienne. Elle sourit, se bloque en voulant lui caresser la tête. Elle ne savait pas si elle devait le faire, mais elle le fait quand même. Elle se montre douce et délicate envers lui. « Putain Gaby, c'était si … si bon… » Elle sourit, reprenant sa respiration. Oui, elle était assez essoufflée, mais pas autant que lui.« Nous sommes pleins de surprises! » Elle était suprêmement de bonne humeur. Mais la fatigue se faisait sentir, autant d'exercices, ce n'était pas dans ses habitudes. Elle dépose un baiser sur les lèvres de Mino se retrouvant dans son lit, sans gêne, pour lui dire bonne nuit. Elle s'endort paisiblement contre lui, contre son meilleur ami qui a la nouvelle étiquette d'amant. Une nuit douce et paisible, peut-être un peu trop courte. Elle sent Mino se réveillant en sursaut, elle se retourne délicatement dos face à lui. Non, elle ne voulait pas ouvrir les yeux, elle voulait dormir encore un peu, mais trop tard. Dès qu'on la réveillait, elle se sentait obligée de bouger, elle ne pouvait pas se rendormir comme ça. Elle ouvre délicatement les yeux, ne sachant pas comment réagir. Comment se comporter avec lui, quoi lui dire, si elle devait l'embrasser ou non. Cette nuit n'était pas en rêve en vue de leurs tenues, elle sourit, surprise de le faire. Elle se lève du lit en attrapant une chemise bien trop grande pour elle et un petit short qui lui servira de culotte. Elle se tourne vers Mino, la tête un peu dans le cul. « Tu veux un café? Je vais en préparer...» Elle ne fuyait pas, mais elle avait terriblement envie d'une cigarette et d'un café. Elle se dirige vers la cuisine, allumant une clope sur le trajet. Elle met la cafetière en route et se surprend à repenser à cette nuit. Elle ne pensait pas que cela était une erreur, non. Mais peut-être que si. Elle tapote sa cigarette contre le cendrier, allumant son ipod sur l'enceinte, un peu de musique ne ferait pas de mal. Elle sent encore les mains de Mino sur son corps, le fait qu'elle lui ait succombé en un claquement de doigt. Elle se sent un peu coupable, elle a joué de sa séparation pour coucher avec... Elle se penche, les coudes sur le comptoir et la tête dans les mains avec la cigarette. Elle regarde le café coulant goûte à goûte dans la cafetière. Le café chaud était une de ses odeurs favorites dès le matin.

tu l’observes quitté le lit. Tu profites de la lueur du jour pour voir une nouvelle fois de plus le spectacle qu’offre son corps. Tu n’en es pas déçu. Tu ne regrettes même pas ce qu’il vient de se passer entre vous. Tu n’as pas envie de passer le pas de la porte comment tu l’aurais fait pour tes conquêtes précédente. « Ouai d’accord… » L’odeur du café te fais sortir de tes songes. Tu te redresses du lit plus que confortable, tu le quittes à regret. Tu enfiles ton tee-shirt de la veille et ton boxer. Tu ne vas quand même pas faire les placards de Gaby, pour trouver un vêtement à Edouard qui puissant t’aller. Enfin tu es un peu plus gaillard que lui, la boxe t’a pas mal épaissi les muscles. Puis vous ne fessiez pas du tout la même taille. Tu étais bien plus grand que lui. Puis tu ne veux pas que Gaby t’engueule pour ça. Tu la rejoins dans la cuisine. Tu es tenté par son fessier. Tu aimerais bien y déposer une petite fessée, mais tu te ravise. C’est de Gaby qu’on ne parle pas de n’importe quelles autres nanas. Vaut mieux pas la mettre en rogne alors que son petit cul te tente. Tu attrapes une clope. Tu l’allumes et tu te mets dans la même position qu’elle « Tu sais Gaby, je te connais par cœur, je sais que tu dois te dire que tu as ou que j’ai un peu profité de la situation pour coucher ensemble. Seulement, ne vas pas à regretter ce qui c’est passer. » non, il ne faut pas quel regrette. Tu ne veux pas qu’elle pense que la nuit qu’il y a eu entre vous est une grosse connerie. Tu ne veux pas de ça. Tu veux même qu’elle y pense très souvent. Tu serais même du genre à accepter de refaire la chose avec elle. Tu serais même prêt à… prêts à quoi ? Tu ne sais même pas quel mot mettre sur ce que tu as en tête. Pas à te mettre en couple avec Gaby. Non, ça serait trop rapide et sincèrement, est-ce que vous seriez prêt à vivre tous les deux ensemble une histoire ? Peut-être ! Seulement, elle vient de se faire larguer, ça ne serait pas la bonne solution. Tu serais prêt à être un peu plus à elle. A ce que quand elle en a envie et besoin, tu lui prête ton corps pour qu’elle se défoule, qu’elle craque. Enfin, tu serais prêt à beaucoup de chose pour elle. Seulement, tu ne lui diras jamais. Vous êtes égaux tous les deux. Deux grosses gueules, mais qui taisent leurs sentiments. «je pense que c’est une chose que se serait produit depuis un moment si tu avais été libre. » tu le penses sincèrement. Si c’est arrivé cette nuit, c’est que ça se serait passé bien plus tôt, si elle n’avait pas eu de mec. Ce n’était pas prémédité, mais vu comme ça été explosif entre vous, c’est que c’était voulu. Peut-être pas réfléchis, mais c’était une éventualité dans un coin de vos cerveaux.