Come back to me (oliac) waring on parle de fesses ici

If we burn, you burn with us

On est de nouveau ensemble. J’allais beaucoup mieux, en tout cas je remonte la pente. Je me sens bien mieux, maintenant que tu es revenu dans mes bras. Je ne te lâchais pas beaucoup, simplement parce que la peur de te perdre est encore trop présente. Je n’avais toujours pas repris le travail, mon patron ne le voulait pas et m’a donc prescrit de nouveau un arrêt, le temps que je me retape. Du coup je passais le plus clair de mon temps en ta présence, ou seul dans ton appartement quand tu devais bosser. Je te laissais d’ailleurs partir avec réticence. Même si nous n’avions toujours rien fait, pour le moment. On profitait simplement l’un de l’autre, et c’était suffisant.

Il est à peine 7h du matin et je suis pleinement réveillé, je n’ai pas beaucoup rattrapé d’heures de sommeil, mais depuis que l’on redort ensemble, je dors nettement mieux, c’est déjà ça. Pour une fois c’est moi qui suis posé sur ton torse et qui profite pleinement de la chaleur que tu dégages. Je me redresse en faisant attention de ne pas te réveiller, prenant le temps de t’admirer, de profiter de l’image parfaite que tu dégages. Ce visage fin, aux traits harmonieux, ce corps longiligne mais terriblement attirant que le tee-shirt cache. Ces doigts que j’adore sentir sur ma peau et qui crée des milliers de frissons. Cette bouche parfaite à en damner un saint, surtout avec ce fichu sourire auquel je suis incapable de résister.

Après plusieurs minutes à t’observer en silence, je ne résiste pas à l’idée de te réveiller en douceur, et surtout d’en profiter un peu. Me glissant contre toi, j’entame des baisers d’abord dans ton cou puis je remonte sur ta mâchoire, doucement, mes mains tranquillement posé contre ta hanche. Je ferme les yeux, je laisse les effluves effleurer mon nez, m’enivrant de ton parfum. Il n’est que 7H20 et donc trop tôt pour toi, mais j’avais envie et besoin de plus. Glissant mon corps contre le tien, j’effleure doucement tes lèvres. « Il est l’heure de se réveiller marmotte. » J’attends paresseusement que tu te réveilles, appuyé nonchalamment sur toi, déposant des baisers sur tes joues et aux commissures de tes lèvres. Mes mains cajolent tes hanches en attendant que tu te réveilles.

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Tu remontais gentiment la pente, enfin presque. Disons que retrouver Suliac t'as fait un bien fou mais tu as l'impression de n'avoir qu'une plaie à peine cicatrisée au niveau du coeur. Tu te sens encore fragile et tu n'as pas pu cesser de prendre tes cachets. Tu ne luttes pas contre, tu ne cherches pas à arrêter. Tu as un peu perdu confiance en toi à ce niveau là. Quand tu avais arrêté, tu pensais sérieusement que ça en serait fini de l'oxy que ça ne serait plus qu'un mauvais souvenir. Mais d'avoir rechuter t'as fait comprendre que non, tu es et restes un drogué, un mec qui galère H24 pour contenir ses émotions et ses crises de manques. Et au final, ça te fait plus de bien qu'autre chose, enfin pour le mental parce que physiquement c'est clairement pas très bon, tu le ressens d'ailleurs. Parfois ça te coupe l'appétit voir même ça t'empêche de dormir. Et ça c'est ce qu'il t'arrive de moins pire. C'est sans compter les absences et les évanouissements que tu as parfois surtout au travail. Oui d'ailleurs tu as repris le travail, tu n'as pas eu franchement le choix en faite... Ton compte en banque était vraiment à plat et tu ne comptais pas trop sur le fait de retourner trainer dans un système de prostitution... Pas avec Suliac près de toi. Même sans lui en faite. Tu ne recommenceras pas ça, simplement. Tu ne parles pas de ton addiction avec Suli, tu fais comme si ce n'était rien alors que c'est tout sauf rien mais tu ne veux pas qu'il y ait de dispute entre vous à cause de ça. Quand tu es avec lui, tu en prends le moins que tu peux, vraiment la plus petite dose pour être le plus conscient possible. Tu ne veux plus qu'il te revoie mal en point comme quand vous vous êtes retrouvé il y a peu de temps à la librairie. Ton problème ne doit pas de venir le sien. Enfaite c'est devenu un peu ta phrase depuis votre dispute. Tu veux faire plus attention à lui, quitte à laisser ta vie de côté. Tu as décidé de faire de lui le centre de ton univers. Et ça te rend de plus en plus accro à lui...

Tu es encore endormi, dans un sommeil sans crise depuis que vous êtes à nouveau ensemble, avec Suliac contre toi quand tu le sens bouger doucement et venir t'embrasser dans le cou puis sur la mâchoire. Tu sens son corps glisser contre toi, ses mains se balader sur tes hanches et encore à moitié endormi dans les bras de Morphée tu souris doucement. Tu sens encore quelque baiser sur ta joue et au coin de tes lèvres tandis que tu émerges gentiment grommelant de fatigue. Mais tu as été bien trop gentiment réveillé pour pouvoir réellement lui en vouloir. Tu jettes un coup d'oeil endormi au réveil et tu vois qu'il est vraiment trop tôt pour se réveiller. Tu te lèves en général pas avant 8h voir 8h15, la librairie n'ouvrant qu'à 9h... et encore ! Tu grommelles doucement à nouveau « Mmmh.. il n'est pas encore l'heure bébé... t'abuses... » mais tu souris, comment tu ne pourrais pas être de bonne humeur après un réveil si doux ? Tu passes une main dans son dos l'attirant plus contre toi et tu attrapes ses lèvres l'embrassant tendrement tout en laissant ta main trainer paresseusement dans le creux de ses reins sous son t-shirt. Il est beau ton Suliac, même au réveil. Les cheveux à moitié ébouriffé, ses traits encore légèrement endormi bien que l'effet soit déjà un peu estompé ce qui te fais réfléchir à depuis combien de temps il est réveillé, puis sont corps, fin mais un peu moins que le tien, qui aurait grandement besoin d'un peu moins de médicament surement, et un peu musclé, bien que tu crois pas qu'il soit du genre sportif... c'est juste naturel ? Tout en ton Suli est juste parfait. Et on ne parle pas de la couleur de ses yeux qui te fait chavirer à chaque fois et qui ne manque pas de te donner quelque coup de chaleur... C'est instantané tu fonds, comme à chaque fois, et ton coeur s'emballe. Il te rend dingue rien qu'à te regarder. Et ça ne manque pas de réveiller la part masculine qui est en toi, ton entrejambe, et tu ne sais pas trop si c'est juste parce que c'est le fait que ça soit le matin ou d'avoir un dieu grec coucher à côté de toi qui te regarde en te faisant les yeux doux mais tu ne fais comme si rien n'était, ne pouvant de toute manière pas aller contre. Tu glisses ton autre main libre sur sa joue et tu lui voles encore quelques baisers, une de tes manières d'arrêter de te noyer dans ses yeux « Donc tu disais c'est l'heure de se réveiller... pour quoi faire ? Tu as des choses de prévus ce matin ?... »

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Depuis que je suis de nouveau à tes côtés, j’ai l’impression de revivre, de respirer enfin. Même si notre relation est encore fragile, je fais tout pour que tu te sentes mieux, pour que l’on répare les dégâts que l’on a nous-même créé. J’aimerais que tu arrêtes la drogue, mais, malheureusement je n’ai pas la force d’endurer tout ce qui s’ensuit, de t’aider, et puis je sais que tu arrêteras quand tu le souhaiteras vraiment. J’espère juste qu’il n’y ait pas une tragédie pour que tu en prennes conscience. Beaucoup seraient probablement partis mais moi je ne peux pas, parce que je ne veux pas revenir à cet état après notre rupture. Parce que je n’y survivrais pas une seconde fois. Et maintenant que je t’avais parlé de mes piètres expériences de couple, j’ai encore plus l’impression que l’on se comprend. Mais je me sens démunis quand je remarque que tu ne manges pas et que tu es même un peu ailleurs, je ne peux même pas t’atteindre quand tu es dans cet état. Bien sûr je m’inquiète, mais je ne dis rien, je ne veux pas te risquer de te perdre encore. Mais j’avais bien remarqué déjà que tu baissais ta consommation quand j’étais là, c’était déjà un progrès. Et je préférais voir le côté positif de la situation, au lieu de m’attarder sur le négatif. Et puis je me dis que si tu le souhaites tu m’en parlerais de toi-même. Mais, depuis que l’on s’est remis ensemble, j’ai l’impression que chacun de nous fait un peu trop attention à ne pas froisser l’autre. Mais, un jour ou l’autre, cela craquera. Mais je sais que je serais prêt à encaisser tout ça, prêt à t’affronter et à affronter la vérité en face. Mais je ne partirais pas, plus maintenant. Même si je sais qu’actuellement tu fais tout pour ne pas me froisser vu l’état déplorable dans lequel on s’était trouvé à la librairie. Mais, parfois faire preuve de faiblesse c’est la plus grande des forces. Tu me l’as fait comprendre. Et je t’aime encore plus, chaque jour qui passe.

Depuis que l’on s’est retrouvé, j’ai aussi retrouvé le chemin du sommeil. Je me sentais plus détendu maintenant que je pouvais avoir tout le loisir de te prendre dans mes bras. Je suis déjà réveillé depuis un moment, et j’en ai quelque peu marre de me sentir seul, alors même s’il est trop tôt, je t’embrasse pour que tu émerges. Je remarque que tu souris alors je continue mon petit manège. Je ramène mon corps tout contre le tien glissant un peu plus ma main le long de ta hanche. J’embrasse de nouveau ton cou, je ne veux pas que tu te rendormes. Surtout que tu n’es pas vraiment du matin. Mais j’avais bien l’intention d’occuper ce temps d’une certaine manière. Et pour ça j’avais bien sûr besoin de toi, sinon je t’aurais laissé sagement te rendormir. Je laisse échapper un rire avant de secouer la tête « non, il est l’heure de se réveiller la marmotte. » Seconde fois. J'adore ce surnom. je glisse mon nez tout contre ta peau avant de me rapprocher de toi, comme tu l’exiges, mêlant nos jambes ensemble et collant nos torses ensemble. Je prolonge le baiser tout aussi tendrement et glisse mes mains dans tes cheveux. Je frissonne, le contact de ta main à même ma peau est comme un courant électrique. Je me colle davantage à toi, ne lâchant pas tes lèvres, sauf pour reprendre mon souffle. Mais je ne reste jamais bien longtemps loin de tes lèvres. Si j’ai hésité pendant quelques minutes avant de te réveiller, tergiversant sur le fait si oui ou non c’était le moment, maintenant je n’ai plus aucun doute. Glissant ma main le long de ton corps, je passe la barrière de tissus qu’est ton tee-shirt, touchant ta peau douce et brûlante. Je glisse doucement au-dessus de toi, ne te laissant aucune échappatoire possible. Je continue encore et encore de t’embrasser, plus avidement cette fois-ci. Je m’installe entre tes jambes, grognant de plaisir en te sentant parfaitement réveillé. Je n’étais pas mieux de mon côté. « B’jour... » Je souris, me redressant légèrement pour t’admirer. Tu es tellement parfait à mes yeux, tellement fragile aussi que j’ai envie de te protéger. Je mordille ma lèvre inférieure, mon regard chavirant sur les courbe de ton corps encore caché mais plus trop par ton tee-shirt et ton boxer. J’embrasse le creux de ton poignet, à portée de mes lèvres. « humhum.. Oui, mais il n’y a pas besoin de bouger d’ici. » je souris malicieusement avant de reprendre possession de tes lèvres, collant nos deux corps ensemble, ne laissant que peu de doutes sur mes intentions matinales. « J’ai l’intention de t’aimer Oli, que tout le monde le sache. » je vais t’embrasser avec passion tandis que mes mains remontent ton tee-shirt. M’arrachant avec un gémissement de frustration, je retire ce bout de tissu bien trop gênant. « Bordel Oli, tellement beau. » je caresse ton torse comme si c’était la plus belle chose que je voyais. Avant que mes lèvres fassent le même chemin. Je ne te lâche pas du regard, cherchant la moindre trace de désapprobation de ta part.

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Suli et toi, dans les bras l'un de l'autre c'est tout ce que tu as toujours simplement rêvé. Depuis le jour où tu l'as rencontré jusqu'à aujourd'hui, tu n'as espéré que ça. Pouvoir devenir son homme, ça n'a pas été facile, il vous aura fallu beaucoup de temps et en tout cas une bonne grosse dispute pour vous prouver votre amour mais maintenant tu crois pouvoir clairement affirmer que plus jamais tu ne le quitteras. La dernière fois était bien trop douloureuse... tu ne peux pas te séparer de lui. C'est pour cette raison que tu es aussi attentionné avec lui, que tu essaies de le froisser le moins possible. Tu ne veux pas qu'il se lasse de toi, qu'il soit agacer par ton comportement. Tu n'es pas parfait tu en as plus que conscience mais tu essaies de lisser tes défauts pour être avec lui le plus longtemps possible...

Malgré l'heure matinale ce réveil te met de bonne humeur. C'est si agréable de se faire réveiller par des baisers et des caresses ! Surtout que Suliac si prend à merveille réveillant bien d'autres choses que ton cerveau en toi ce qu'il finira bien par remarqué à un moment ou à une autre. Il vient se coller tout contre ton torse tandis que tu l'attires plus contre toi, glissant sa main dans tes cheveux ce qui te fait légèrement frissonner. Aaah les caresses dans les cheveux et toi c'est une grand histoire d'amour, mieux que la gratouille sous le menton pour un chat. Tu pourrais aussi en ronronner si tu pouvais. Il ne te laisse que peu de répit t'embrassant tendrement, ne se reculant que pour reprendre son souffle, tu sens ses mains se balader sous ton t-shirt te tirant encore bien plus de frissons alors que ta peau est brulante. Tout collé contre toi entre tes jambes, tu peux le sentir lui aussi parfaitement éveillé et dans un sens ça te rassure tout autant que ça t'excite. Aurait-il décidé de franchir un cap en te réveillant si tôt ce matin ? Il te regarde et tu réponds à son sourire « B'jour amour ! » il s'attaque encore à nouveau à tes lèvres ne laissant vraiment plus aucun espace à vos corps tu ne réponds qu'un gémissement à sa phrase tandis qu'il te retire rapidement ton t-shirt. Tu n'es pas en panique mais ce que vous êtes en train de faire soulève un certain nombre de question dans ta tête. Dont une certaine affirmation: tu ne l'as jamais fait avec quelqu'un que tu aimes. Ça change tout pour toi, tu as l'impression de revenir à une première fois tout en ayant une certaine expérience... mauvaise expérience même. Y a rien de bien à vendre son corps, tu n'étais qu'un objet à cette époque mais tu te sens soudainement perdu, comme si tu avais d'un coup oublié comment ça se passait. Tu regardes Suli t'embrasser le torse et ça t'embrase plus que jamais mais tu rougis, soudainement bien plus timide. Mais c'est Suli, ce n'est pas n'importe qui, c'est - avec beaucoup de chance - l'amour de ta vie et ce n'est qu'une des nombreuses manières de vous prouver votre amour pas de quoi être si intimidé. Tu te redresses légèrement et attires son visage jusqu'à tes lèvres « Je crois que je sais plus très bien comment on s'y prend... » que tu chuchotes « ... enfaite je crois que j'ai jamais vraiment sur alors... me juge pas trop hum ? » tu l'embrasses à nouveau, laissant plutôt les gestes à la parole, tu lui retires à son tour son t-shirt dévoilant une partie de son corps qui te fait déjà tant rêver tout habillé. Tu glisses tes mains légèrement tremblante sur son torse, effleurant ses courbes, le découvrant enfin nu, tu souris, c'est aussi parfait que tu l'espérais voir même mieux. Tu te limites bien rapidement à son torse n'osant aller plus loin par toi-même, tu te savais pas si timide, mais c'est la nouveauté qui te fait cet effet là... et dieu sait depuis quand tu attends ce moment !

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je ne peux pas dire que j’étais impatient, parce que ce n’est pas comme si tu m’avais empêché d’aller plus loin, c’est moi-même qui prenait mon temps pour ne pas te brusquer. Finalement on prenait du temps pour beaucoup de choses. Parfois je me disais qu’il faudrait que l’on passe à la vitesse supérieure, avant de me dire que l’on était comme ça et qu’il n’y a aucune raison pour que l’on en change. Et puis au moins, on savourait le moment venu. Et puis je ne reproduirais pas la même erreur qu’au moment de la dispute, et je ferais tout pour que ça se passe bien pour nous, parce que tu es vraiment l’homme de ma vie, j’en suis intimement persuadé. Même si je remarquais que, parfois, tu te retenais dans tes gestes et ton comportement, comme si tu craignais que cela casse notre relation, mais j’étais tellement persuadé que l’on était fait l’un pour l’autre que rien ne pourrait vraiment nous séparer.

Mais aujourd’hui, c’est comme si je savais que le bon moment était enfin arrivé, sans même pouvoir vraiment l’expliquer. Mais c’était vraiment très agréable, surtout de sentir le goût de ta peau contre mes lèvres. Et nos corps emmêlés, je n’avais pas envie de me déloger de là de sitôt. Mes mains découvrent ton corps, s’en repait avec délice. J’aimais voir tes réactions, comme lorsque je m’attardais dans tes cheveux. J’avais déjà remarquer combien tu semblais appréciais ces caresses-là, et j’en profitais allégrement. Tout comme le fait de t’embrasser encore et encore. Je ne me lassais pas de toi. Je manque de souffle mais je ne peux pas résister à la tentation. Tout comme mes mains continuent leur exploration, cette fois à même la peau, sous le tee-shirt. J’étais bien installé entre tes jambes, et je sais que tu sentais bien que j’avais envie, du moins autant que toi. Mais si je te caressais ardemment, j’évitais pourtant cette zone sensible, tout à fait consciemment. Je frôlais à peine ton boxer, laissant monter doucement la pression. Je souris avant de te dire bonjour et de t’embrasser encore et encore. Passant à la vitesse supérieure, je décide de retirer ce tee-shirt qui gênait ma vue, et surtout la progression de mes lèvres. J’embrasse ta mâchoire avant de descendre dans ton cou. Mes mains, elles, s’attardent sur tes hanches. Je prenais mon temps pour descendre, pour découvrir chaque partie de ton corps. Mes mains glissent ensuite sur tes jambes que j’installe autour de mes hanches, collant ainsi un peu plus nos deux corps ensemble. Jamais je n’avais eu cette impression de ne faire qu’un avec quelqu’un, et pour une fois ne pas avoir cette impression que l’on se joue de moi juste pour mon corps, presque comme un prostitué. Et je sais que tu es le mieux placé pour savoir ce que ça fait. Pour une fois je ne me sentais pas utilisé. Et, bizarrement, c’est moi qui semblait mener la danse. Ça ne me dérangeait pas, bien au contraire. Je me surprends à apprécier les deux rôles. Je continue ma découverte avant que tu me fasses remonter pour prendre en otage mes lèvres. Je glisse mes mains dans ton dos tandis que je prolonge avidement le baiser. Je souris tout contre tes lèvres. « je suis certain que tu seras parfait. Tu l’es déjà de toute façon… » je caresse ta joue avant de t’aider à retirer mon tee-shirt. Je frissonne en sentant tes mains sur mon corps. Je colle nos deux bassins ensemble lâchant un gémissement de plaisir. Je finis par échanger nos positions, que tu te retrouves au-dessus de moi. Je rouvre à moitié les yeux, posant mes mains sur tes cuisses, remontant sur tes fesses. Je soupire d’envie. Je soupire en sentant tes mains tout contre ma peau, ça m’envoyait une onde d’électricité. « Oli… » Mon bassin va à la rencontre du tien, ne laissant maintenant aucune hésitation à ce que je désire vraiment. D’ailleurs je commence à retirer le dernier morceau de tissu qui me gène. Enfin pouvoir t’admirer dans ton entièreté. « à moi ». mes yeux étaient noircis par le désir. Je passe une main derrière ta nuque pour t’attirer tout contre moi et t’embrasser sauvagement.

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Il vous faut que peu de temps avant de vous retrouver tous les deux torses nus. Vous êtes presque comme soudé l'un à l'autre, Suliac collé tout contre toi qui t'embrasse à en perdre haleine et qui n'hésite pas à explorer la peau de ton torse de ses lèvres ce qui envoie de douce décharge électrique dans tout ton corps, se rejoignant évidemment dans ton entrejambe. Vous êtes à bout de souffle à force de vous embrasser et vous n'êtes pas prêt de vous calmer. Toi aussi tu pars à l'exploration de son corps, baladant tes mains un peu partout sur son torse et son dos nus, il frissonne et ça te fait sourire. Peut-être que tu n'as pas tout oublié, peut-être qu'au final donner du plaisir à l'autre c'est juste se laisser aller sans réfléchir à comment faire les choses. C'est comme ça que tu penses tandis qu'il vous retourne, tu te trouves à califourchon au-dessus de lui et son bassin vient à l'encontre du tiens, tu le sens parfaitement et tu te mords la lèvre en souriant d'un air un peu pervers. Il commence à te retirer ton boxeur et tu ne bouges pas, tu le laisses faire, l'observant simplement guettant sa réaction. Tu rougis un peu sous son regard brulant de désire, tu n'avais jamais vu quelqu'un te regarder avant autant d'envie. Ce que tu pensais connaître de tout ça était au fond juste que des conneries. Si il n'y a pas d'amour, il n'y a pas de plaisir, simplement. Il t'attire par la nuque et t'embrasse sauvagement et tu gémis contre ses lèves, inconsciemment tu frottes ton bassin contre le sien. Tu as terriblement envie de lui mais tu as aussi envie de lui faire plaisir. Tu ne veux pas juste que ça se fasse et puis "ok ça c'est bon c'est fait", tu veux que ça soit une première fois ensemble que vous n'oublieriez pas. Tu lâches ses lèvres, pour venir embrasser sa mâchoire puis son cou, d'ailleurs tu n'hésites pas à lui laisser une petite marque au creux de celui-ci, oui toi aussi tu sais être possessif, puis tu descends plus bas, sur son torse puis sur son ventre, tu t'attardes un petit moment sur celui-ci découvrant une peau bien plus douce que tu ne le pensais, puis tu reprends ton petit chemin, descends jusqu'à son bas ventre. Tu lui retires gentiment son boxer, passant juste après avec tes baisers mais sans jamais trop approché l'objet convoité. Tu embrasses et mordilles un moment les deux côtés de ses hanches avant de jeter un coup d'oeil à son membre gonflé puis aux yeux de Suli guettant une désapprobation de sa part. Mais tu finis par le faire quand même, tu glisses une main légère sur son membre et le caresse doucement. Ne quittant pas des yeux le visage de Suliac, puis tu finis par le prendre dans ta bouche. C'est moins désagréable que dans ton souvenir, au contraire... c'est encore tout différent, là tu veux vraiment lui donner du plaisir. Tu le regardes toujours tandis que tu attaques un lent va et vient avec ta bouche, laissant tes mains se balader sur son ventre et caresser sa peau toute douce. Tu es concentré sur une seule et unique chose, lui faire plaisir, tu t'adaptes selon ses réactions essayant de te prouver à toi-même que tu n'es peut-être pas si mauvais que ça au lit.

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C’était le moment, je ne pouvais plus reculer, ni toi. Je n’arrivais même plus à me décoller de la tentation de ton corps. Je ne me lasse pas de t’embrasser et de te découvrir de mes mains. Je descends mes baisers le long de mon corps. J’attaque le creux de tes hanches souriant en te sentant réagir. Je retiens cet endroit pour y revenir un peu plus tard. Mais tu n’es pas en reste. Et tes mains me rendent fou. Je gémis alors que tu te fais plus francs dans tes caresses, c’était franchement agréable. Je soupire de plaisir collant mon corps encore plus contre le tien. On ne pouvait pas être collé plus mais en même temps j’ai l’impression que ce n’est pas assez. J’enfouis mon visage dans ton cou, en profitant pour le mordiller et laisser une jolie trace. Je ne veux plus que l’on t’approche, et montrer ma possession, c’est ce qu’il y a de mieux. Inversant les rôles, je laisse mon regard descendre avidement le long de ton corps. Je grogne en remarquant ton sourire, ça ne fait que monter de quelques degrés la température. Retirant ce morceau de tissu gênant. Je te dévore des yeux, me mordant la lèvre inférieure. Mes mains glissent le long de ton corps avec vénération. Tu es tellement parfait que j’ai du mal à y croire. Trouvant que tu es bien trop loin de moi, je t’attire pour t’embrasser, ce qui déclenche une multitude de frissons quand nos érections rentrent en contact. J’emmêle nos jambes, accentuant ainsi le frottement. Je glisse mes mains sur tes fesses, grognant de plaisir. Je prenais le temps de te découvrir, avant d’aller plus loin. Je ne voulais pas précipiter les choses. C’était la première fois que je le faisais alors que les sentiments étaient réciproques. Et je voulais aussi te laisser la possibilité de reculer si tu en avais subitement besoin, même si ce sera effroyablement frustrant pour moi. Je gémis alors que tes lèvres parcourent le chemin de mon corps. Je glisse une main dans tes cheveux tandis que je rejette ma tête en arrière. Je suis complètement à ta merci. Je souffle alors que tes lèvres s’attardent sur mon ventre, je contracte légèrement mes muscles, c’est un endroit sensible. Je resserre mes doigts dans tes cheveux. Mes yeux sont noirs de désirs. Je suis hypnotisé par toi, par ce que tu es en train de faire. C’est tellement excitant que je grogne d’impatience alors que tu t’évertues à contourner ce que je veux. Je caresse tes cheveux pour te rassurer. Ma réaction ne se fait pas attendre alors que tu poses ta main sur mon membre, je me cambre pour encore plus de contact. Je grogne alors que je plonge mon regard dans le tien, la vision était hautement érotique. Je me cambre en poussant un long gémissement. J’appuie ma main sur ta tête, essayant, en vain, de t’imposer un rythme et surtout de ne pas flancher tellement le plaisir était bon. J’agrippe le drap de toutes mes forces « Oli… Plus... » Je laisse le plaisir monter encore et encore, serrant compulsivement mes mains. Alors que je sentais le paroxysme du plaisir arrivé, je tire sur tes cheveux pour te faire remonter. Trop tôt, je dois encore faire durer le plaisir. Je t’embrasse sauvagement tandis que j’inverse de nouveau les rôles. Frottant nos corps ensemble, je laisse une pluie de baiser le long de ton torse, avant de descendre sur tes cuisses, et d’y laisser une seconde marque à l’intérieur de celle-ci. Ma main se referme sur ton membre avant de le caresser doucement. Je lève le regard, appréciant la vue que tu m’offrais avant de prendre ton membre en bouche avec gourmandise.

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Il gémit et à en voir sa réaction il semble plutôt bien apprécier le traitement que tu lui offres. Tu le regardes intensément, guettant la moindre de ses réactions afin d'adapter le va et viens de ta bouche autour de son membre de la manière qu'il lui plait le plus. Mais il prend vite le relais, passant sa main dans tes cheveux en t'imposant un rythme. Cependant, tu essaies de ne pas aller trop vite, laissant durer les choses, il te demande plus mais tu ne lui en donnes pas trop, volontairement. Pas que tu ne veuilles pas qu'il vienne dans ta bouche, mais tu veux qu'il vienne autrement, plus tard, pas tout de suite... Il a l'air du même avis car malgré le plaisir qu'il semble prendre, il te stop après quelque temps pour t'embrasser sauvagement, ça te coupe le souffle et tu gémis. Il va te rendre fou avec des baisers pareils... et ses gémissements ton particulièrement excité en plus. Tu te retrouves à nouveau sur le dos avec Suli au-dessus de toi et il ne perd pas une seconde avant d'embrasser ton torse et de descendre plus bas sur tes hanches puis sur tes cuisses où il laisse une marque. Ça te fait rire, comme si celle-ci quelqu'un d'autre que toi ou lui allait le remarquer. Ça te fait frissonner légèrement te dire que Suliac aura, tu l'espères, plein d'autre occasion de venir revisiter la petite marque qu'il a laissé sur ta cuisse. Mais tu es bien vite coupé dans tes pensées par une douce main qui vient te caresser te tirant un gémissement de plaisir poursuivi par pleins d'autres tandis qu'il te prend dans sa bouche. Ça, c'est une première, personne ne te l'avait encore jamais fait... l'inverse oui mais pas sur toi et c'est en train de te rendre encore plus dingue. Tu te cambres, tortillant légèrement des hanches sous le plaisir tu le regardes faire et ça t'existe d'autant plus. Tu es tellement proche de venir que tu as presque envie de le laisser terminer mais tu ne veux pas que ça se termine alors tu relèves gentiment et prend son visage entre tes mains le faisant s'arrêter « Stop.. tu es en train de me rendre fou... » que tu dis haletant un peu, tu l'embrasses fougueusement te mettant à califourchon sur lui, pressant vos bassins et vos érections l'un contre l'autre, tu as envie de lui plus que jamais. Tu te sépares à peine de lui pour aller chercher l'habituelle rond en latex très peu glamour dans ta table de nuit, tu avais prévu le coup quand même, et le garde dans ta main. Puis tu lèves les yeux sur Suliac, ça te tue d'être aussi sérieux à un moment pareil mais tu te sens obligé de le faire quand même, tu rigoles pas avec ce genre de truc, pas que tu doutes de Suliac du tout mais plutôt des autres... « Heu... j'ai fait des tests après... tout ça... et j'ai pas eu d'autres rapports depuis donc heum... je sais pas si c'est nécessaire, je suis clean... » tu lui glisses le petit sachet dans la main et le regarde en lui souriant doucement « Alors, à toi de voir, mon Amour... » puis tu repars à l'attaque de ses lèvres, reprenant là où vous vous étiez arrêté pour trop de sérieux.

If we burn, you burn with us

Bordel. De. Dieu. J’en voyais de toute les couleurs. C’était trop bon, trop fort, beaucoup trop de trop. Je frappe mon crâne contre l’oreiller pour tenter de faire descendre la pression, en vain. Je n’avais jamais ressenti une telle puissance de sensation avec quelqu’un. Je roule des yeux appuyant sur ton crâne pour accentuer le contact de tes lèvres autour de mon membre. Je grogne de frustration quand tu n’écoutes pas mes suppliques. Je resserre mon emprise dans tes cheveux. Je me cambre pour aller encore plus profondément dans ta bouche, sortant des sons les plus indécents les uns que les autres. Je finis par te redresser, je ne tiens plus et je ne veux pas encore venir, c’est trop tôt, même si c’était terriblement tentant. Renversant les rôles, je découvre ton torse imberbe mais parfaitement dessiné à mes yeux. Je prends mon temps pour descendre à l’endroit tant désiré, profitant pour découvrir chaque parcelle de ton corps, et marquant ton corps à des endroits invisibles. Mais toi seul le sauras et ça me va parfaitement. Laissant une marque plus prononcée sur ta cuisse, je souris devant mon travail. Tu étais rougi à bien des endroits, sous mes assauts et, bordel, ça m’excitait carrément. Mais passons aux choses sérieuses. Ma main enserre ton membre et il me faut peu de temps avant que ma bouche remplace mes mains. Mes mains se posent sur tes hanches pour tenter de contrôler ton corps. Je ferme les yeux, me concentrant sur cette sensation. Et m’abreuvant sans vergogne de tes bruits. Mes mains remontent le long de ton torse puis glissent sur tes bras avant de lier nos doigts. J’alterne les rythmes soutenus puis plus lent. Avide de te goûter, je grogne de frustration quand tu me redresses. Je ne suis plus qu’un désir ardent pour ton corps. Je veux maintenant ne faire qu’un avec toi. Me collant contre toi, je réponds tout aussi sauvagement à ton baiser, enfonçant mes doigts dans ta chair, provoquant ainsi de nouvelles marques. Tu reprends l’avantage, mais je ne te laisse pas t’éloigner. Je lâche tes lèvres en un gémissement profond et sonore. « Bordel, encore. » Je glisse une man sur tes fesses pour accentuer le contact de nos érections ensemble. Mon bassin va à la rencontre du tien dans une danse sensuelle. Tu t’éloignes, laissant une vague de froid m’envahir pendant quelques secondes. Une de mes mains se glisse entre tes fesses, titillant cet anneau de chair qui m’attirait maintenant. J’avais beau avoir envie de toi, il était hors de question que je ne te fasse mal. Je secoue la tête négativement « Clean. J’aime pas ça. » ma voix est rauque de désir, tellement différente de ma voix habituelle. Je remonte ma main dans ton cou avant de reprendre l’avantage, profitant de mon ascension pour frotter nos érections ensemble. Lâchant tes lèvres, mes doigts passent sur tes lèvres enflées. Avant de suivre les courbes de to corps et de te préparer en douceur. « Si étroit, bordel. » on en était encore qu’aux préliminaires et j’avais déjà l’impression d’exploser. Une fois parfaitement préparé, je me redresse et t’installe confortablement, avant d’entrer en toi en toute douceur. « Oh. Mon. Dieu. » je m’accroche désespérément à tes hanches, y laissant des marques., essayant de ne pas bouger pour que tu t’habitues à mon intrusion. « Je t’aime. Bordel, si bon d’être là. »