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 Un premier mensonge est cette boule de neige qui crée les avalanches. (ismaël)

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Ismaël Desjours
Ismaël Desjours
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MessageSujet: Re: Un premier mensonge est cette boule de neige qui crée les avalanches. (ismaël)   Un premier mensonge est cette boule de neige qui crée les avalanches. (ismaël) - Page 2 EmptyLun 26 Sep - 21:32


Cover your eyes, the devil inside
Loukaël



Même si la situation ne prête pas à sourire, je me sens heureux. Vraiment heureux. Parce que ça aurait pu être bien pire. Tu aurais pu faire demi-tour et claquer la porte derrière toi. Alors je m’estime heureux que tu sois resté. De toute manière, je ne peux que reconnaître mes fautes et les assumer du mieux que je peux. Et puis je dois bien vivre avec, ce n’est pas comme si c’était invisible non plus. On allait devoir composer avec ça, et même si ça fait déjà un moment pour moi, je n’y suis toujours pas habitué. Tout comme je garde l’hérésie de pouvoir retourner un jour dans cet appartement parisien. Mais, comme toujours, je suis un sentimental, j’ai toujours eu du mal à me séparer des choses matérielles, qui représentent bien plus que ça à mes yeux. Je pose ma tête sur ton épaule avant de soupirer. « Je sais mais… C’est dur. De me séparer de cet endroit. J’ai du mal à concevoir d’autres personnes dedans, et…ouais je ne veux simplement me séparer de cet appartement. » je fais une moue digne d’un gamin, paraît que j’excelle dans ce domaine. Mais je fais ça pour éviter de me laisser submerger par le flot d’émotions que déclenchera sans aucun doute la vente de cet appartement. Alors je n’osais même pas imaginer ce que tu pouvais ressentir. Je me rappelle encore comme si c’était hier quand on a signé l’achat de cet appartement, notre première signature ensemble. Et si on n’a plus cet appartement, je peux m’en prendre qu’à moi-même. Je me contente simplement de hocher la tête. Après on évite de peu les remontrances, la douleur des mots, la rancœur, on remet ça à plus tard, on efface pour une soirée la souffrance, l’inéluctable douleur. Pas ce soir. Ce soir, c’est notre moment, nos retrouvailles. On se doit de profiter de ça. Ne pas se perdre, pas ce soir en tout cas. On y parvient, du moins en surface. La douleur intime est toujours là, mais je l’ignore, et je sais que tu fais pareil. Alors que je ne méritais pas ça, tu m’offres cette soirée de répit. Je souris alors qu’on aborde le sujet de l’équitation, j’ignore délibérément la douleur au creux de mon cœur, celle de voir une grande partie de ma vie d’envoler, partir en miette. Je souris alors que tu me fais saliver d’avance. « hum tant que c’est sans viande pour moi, je serais heureux de te voir de nouveau aux fourneaux. » je souris malicieusement en glissant mes doigts dans les tiens. « Et tu sais que tu peux manger de la viande, même devant moi, ça ne me gène pas » Je ne suis pas de ceux qui oblige les autres à se conformer à leurs idées. La seule chose que j’exige c’est pas de cheval dans son assiette, pour le reste ça m’importe peu. Mais j’avoue qu’il me tarde de te voir dans ce fameux pantalon. Je ne doutais pas un seul instant que la vue serait plus que parfaite. Même si maintenant ce ne serait que dans un sens. Je hausse un sourcil avant de sourire mystérieusement. « J’ai hâte de voir ça. Et surtout de te voir au boulot, et de voir ce qu’horian va te faire comme conneries… » j’éclate de rire en imaginant la scène, je sens que la première séance va être drôle. Très drôle et très lubrique aussi. Je hausse les sourcils plusieurs fois de manière suggestive avant de remonter mes mains dans ton cou « Tout à toi. Toujours » Je te dévore du regard avant de me laisser emmener dans la chambre, clôturant ainsi définitivement la discussion pour passer aux choses sérieuses.

Je redécouvre avec envie ton corps, parfait, fort, sécurisant. Mais j’ai besoin de plus, maintenant. Je souris en grognant pour simple réponse. Pas besoin de paroles, mon corps bouillant de désir parle pour moi. Je suis à ta merci, et j’aime ça. Je te laisse maitre de mon corps et mon cœur. Les gémissements se transforment en râle de plaisir alors qu’enfin tu m’emplis pleinement. Et surtout avec plus de force. Je me fonds tout contre toi et m’accroche à tes bras, serrant es doigts compulsivement. Je me perds entre tes bras, laissant le plaisir grimper encore et encore. Je gémis à plusieurs reprises ton prénom. La sueur couvre désormais mon corps. Mes muscles se bandent tandis que le plaisir commence à faire son chemin. La délivrance n’est plus très loin, mais, comme toujours je veux que l’on atteigne l’extase ensemble. Mais ça ne sera pas long ce soir, un an d’absence à combler. Je relâche ma tête en arrière tout contre ton épaule. Je ferme les yeux et frissonne, mon corps est pris de secousse sous le plaisir étourdissant. Tes lèvres m’électrisent et je ne peux que gémir un pitoyable « viens » car je suis au bord du gouffre. Il ne me faut qu’une seconde pour que j’explose, en même temps de toi. Je me contracte autour de toi dans un cri, griffant inconsciemment tes avant-bras sous le plaisir. Je me laisse retombé, essoufflé par cette étreinte. Une fois que tu t’es éloigné, je me remets sur le dos. T’accueillant avec félicité tout contre moi, je pose ma main dans tes cheveux. Je soupire doucement, retrouvant le bonheur de ce contact de l’être aimé tout contre soi. J’embrasse amoureusement ton front avant de sourire « et ce n’est que le début, tu n’es pas au bout de tes surprises, amour. » je resserre mon étreinte avant de bailler d’épuisement « je t’aime aussi » je ferme doucement les yeux, me calant un peu plus contre toi. « Je suis tellement désolé… » mais seul un léger ronflement me répond, prouvant que tu es tombé entre les bras de morphée. Je m’y soumets aussi avec plaisir.
© ACIDBRAIN
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