-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal
anipassion.com

Partagez
 

 (+18) strong. (leeo)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Airlie Adamo
Airlie Adamo
member ◊ cute little coral

messages : 1237 pseudo : spf avatar + © : romee strijd + mags + endlesslove
(+18) strong. (leeo) Atelophobia

âge : dix-neuf ans.
statut civil : célibataire.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyDim 26 Juin - 18:28

tu ne peux t'empêcher de repenser à la fois où vous êtes restés tous les deux dans son entreprise. au moment où vous étiez rien que tous les deux dans son bureau. tu es fautive. tu es la seule fautive. tu as changé d’avis comme une girouette, mais tu as fait ça pour son bien. pourtant il t’en tient rigueur. parce que tu ne lui as pas dévoilé les vrais raisons de ton refus. tu as prétexté que tu n’avais pas les épaules assez solide pour assumer cette relation. la vérité c’est qu’il n’était pas malheureux avec sa femme. si ça avait une chance de fonctionner avec sa femme, tu ne pouvais pas te mettre entre eux. le mariage c'est un sacré engagement. tu n’avais pas d'autre choix. tu ne devais pas agir égoïstement, tu comptais et tu comptes toujours rompre avec sam. tu devrais te sentir apaisée, mais tu te sens faible, épuisée et drainée. tu as fait le choix à sa place. pour lui. sans penser une seule seconde à toi. alors que ton âme et ton corps le désire plus que tout. le principal, pour toi. c’est qu’il soit heureux. sa femme est vraiment belle et très intelligente. tu ne pourras jamais être aussi belle et intelligente que cette dernière. cela faisait autant de nuits que tu ne dormais pas bien. tu enchaînais les mauvais rêves. tu te réveilles toutes les heures. ça ne te ressemblait pas du tout. tu es quelqu'un de posée, du genre à avoir la tête sur les épaules, à savoir ce que tu veux, ce que tu veux faire. mais depuis ce petit échange avec leeo. dans son bureau, tu ne savais plus où donner de la tête. cela faisait une deux semaines que tes relations avec leeo sont tendues depuis la dernière fois. il t’en voulait. il le faisait bien comprendre. toi aussi. tu lui en voulais. il a été trop sec dans ses paroles. il ne s’est rien passé ce soir, rien du tout. qu'il t'a lancé. ce n’était pas une question. loin de là. il a réussi à te froisser encore plus. c’est rare que quelqu’un arrive à te mettre dans un tel état. tu as essayé d’arranger la situation avant votre départ. il n’a pas voulu. tu lui as bien fait comprendre que s’il se montrait aussi exécrable, il valait mieux qu’il ne t’adresse pas la parole. tu ne savais pas où tu en étais. tu es complètement perdue. quand il est loin, tu lui en voulais et une fois dans ton champs de vision, tu ne pouvais t’empêcher de ressentir à nouveau ces papillons qu’il t’avait injecté dans le ventre. tu voulais t’habiller simplement, mais vu les températures actuelles ce n’est vraiment pas possible. tu as enfilé un caraco, un short en lin et des converses. tu as tout de même placé ton sweat sur tes épaules. cheveux relevés en un chignon et lunette de soleil sur le nez. tu regardes une nouvelle fois le contenu de ton sac. tu as vérifié une bonne vingtaine de fois déjà. le cardigan en laine de gary dans lequel tu pourras te blottir qui fera aussi office de couverture ou de coussin. tu n'en sais rien. des lingettes. ton téléphone. ton ordinateur. tes écouteurs. du déodorant. ton portefeuille. des chaussettes molletonnées. des affaires de rechanges pour demain. un gilet point mousse et ton doudou. enfin plutôt tes doudous un petit renard accroché à un lange. le lange, c’est ton doudou et le renard appartenait à ton frère jumeau. tu n’as jamais dormi sans ton lange et depuis le départ de ton frère, tu dormais toujours avec les deux sous ton coussin, dans tes mains ou à côté de toi. dix heures de vol. soit quelques heures en moins que dans un avion commercial. leeo t’a expliqué que c’est grâce à trois réacteurs propulsant le jet à une vitesse supérieure à celle d'un avion commercial. le voyage se fera de nuit et ça t’arrange vu l’ambiance pesante qu’il risque d’y avoir. leeo arrive alors que le pilote venait tout juste d’ouvrir les soutes. leeo le salut d'une poignée de main. il prend son bagage et ta petite valise. il fait un petit signe de la tête à ce dernier, pour le remercier. tu es en bas de l'escalier qui t’amène vers l'intérieur du jet. six sièges noirs. certains en tissus d’autres en cuirs. quelques détails en bois, d’autres détails en métal. tu as beau avoir déjà voyagé avec lui à bord de ce jet, tu es à chaque fois impressionnée. lui ne l’est pas ou ne semble pas l’être. tu n’as toujours pas pris l’habitude. tu n’en prendras certainement jamais l’habitude. « installe-toi où tu veux. » te dis leeo. tu connais sa place habituelle qui se trouve sur la première rangée tout à droite. d’habitude, tu t’installes sur la même rangée sur le siège se trouvant tout à gauche. mais pas cette fois. tu restes sur les sièges de gauche, mais tu te mets totalement au fond. tu sors ton téléphone, tu branches tes écouteurs. le pilote se montre alors et fait un signe à leeo avant de monter dans le cockpit. on peut y aller, monsieur strand ? « on attendait plus que vous. » tu lances la musique en mettant volume assez élevé. l’air est plus frais tu enlèves tout de même ton sweat que tu poses sur ton sac. tu prends ton doudou. tu boucles ta ceinture. il est dix neuf heures. tu n'as pas du mal à trouver le sommeil ce soir. tu t'endors rapidement. le ventre vide, mais ça c'est devenu habituel.


Dernière édition par Airlie Adamo le Lun 18 Juil - 19:47, édité 6 fois
Revenir en haut Aller en bas
Leeo Strand
Leeo Strand
member ◊ cute little nemo

messages : 219 pseudo : manon avatar + © : tobias sorensen (tag)
âge : vingt-sept ans
statut civil : marié depuis quatre ans.
job/études : strand enterprises holding inc.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyJeu 30 Juin - 18:27

Tout est prêt pour le jour J, tu pars à Los Angeles dans quelques heures maintenant et tu t’avoues une certaine impatience, même si tu es déjà allé dans la cité des anges, elle est de loin ton endroit favori dans le monde, sans doute parce que tu y es né. Tu voue une véritable passion à cette ville, tu aimes chacune de ses rues, tu connais des endroits magiques que certaines personnes ne soupçonneraient même pas. Et comme tu es né là-bas, tu t’y rendrais souvent plus jeune surtout avec ta mère et tes souvenirs avec elle sont de loin les plus précieux. T’es encore chez toi, il est encore tôt et tu n’as pas fait ta valise, tu adores voyager mais cette partie du voyage t’ennuie profondément, malgré tout tu t’y lance, tu attrapes ta valise et tu y glisse tes costumes favoris, des chaussures, des produits d’hygiènes et de beauté - t’es du genre à prendre hyper soin de toi, contrairement à certains mecs - et des tenues plus décontractées, tu espères toujours pouvoir profiter de la plage et de la ville même mais tu n’as jamais le temps, tu accordes bien trop d’importance à ton boulot. Les heures défilent, tu prends une douche assez rapide et contrairement à d’habitude tu optes pour une tenue beaucoup plus décontractée que ce que tu portes d’habitude, tu aimes le voyage, c’est clair et net mais les avions ce n’est pas un chose que tu adores, tu as tendance à vite t’ennuyer dans ce genre d’endroit, alors tu choisi un sweat noir de ta marque favorite, Nike, un jogging de la même couleur et ta paire de basket préféré. Tu es sur le point de partir quand Thelma rentre, tu ne vas la voir pendant plusieurs jours et tu n’éprouves pas réellement de tristesse ou de manque mais malgré tout tu lui souris et dépose un chaste baiser sur ses lèvres « Je t’appelle dès que j’arrive » elle te sourit, son sourire est un chose que tu aimes chez elle, il est doux et assez sincère. Pas de disputes aujourd’hui, pas de crises depuis quelques jours et tu as la sensation que les choses s’arrangent peu à peu entre vous-même si dans le fond tu penses encore beaucoup à Airlie, beaucoup trop. Elle t’embrasse une dernière fois et tu prends un taxi en direction de l’aéroport, le trajet se passe rapidement, une bonne vingtaine de minutes plus tard t’es devant ton jet, t’es vraiment fier de cet engin, quand tu as débuté tu t’es dit que si tu réussirais, si tu avais la chance de réussir et de réaliser tes rêves tu t’offrirais un jet privé blanc avec ton nom écrit en noir dessus et il est la devant toi, d’un blanc brillant avec écrit Strand Entreprises en majuscule noires. Tu échanges rapidement avec le pilote et le co-pilote avant de la voir arrivée, il y’a de la tension entre vous, tu ne sais pas quoi lui dire, t’es encore furieux, tu as encore du mal à réaliser qu’elle ne cesse de jouer, de dire oui, de dire non dès que l’envie lui passe. Tu montes, elle te suit de très près « Installe toi ou tu veux » tu lui dis avant de prendre ta place habituelle, elle est toujours libre, elle t’est un peu réservée. Sans grande surprise elle se mets très loin de toi, tu te doutais qu’elle ferait ça, elle t’évite à nouveau comme tu as pu l’éviter ou te montrer froid dernièrement. Une dizaine de minutes plus tard le pilote refait son apparition « On attendait plus que vous » tu as toujours fait appel à lui, c’est un ami, une personne de confiance à qui tu confis ta vie ce soir. Tu lui souris, jette un œil à ton téléphone et tu la regardes, elle met ses écouteurs et disparaît, elle est même sur le point de s’endormir ou elle dort déjà, tu n’en est pas totalement sûr « Bonne nuit la belle au bois dormant » elle ne t’écoute sans doute même plus mais tant pis. Comme à ton habitude, tu travailles, tu revois quelques dossiers, tu te rends à Los Angeles dans le but d’établir un partenariat avec un immense laboratoire pharmaceutique, tu espères que tu sauras les convaincre de te dire oui, qu’ils accepteront d’envoyer des médicaments dans des pays dans le besoin, mais tu as confiance en toi. Le vol va être long, et tu fini par t’endormir à ton tour contre ton siège, épuisé par la journée. La lumière te l’aube te tire de ton sommeil, tu remarques qu’Airlie dors encore, elle a dû avoir une semaine interminable, elle est vraiment belle quand elle dort, tu la trouves belle quoi qu’il arrive, mais ici, dans cet endroit elle a l’air tellement douce, pure et innocente, tu aimerais l’embrasser pour la réveiller « Réveillez-là s’il vous plait » tu t’adresses à l’hôtesse de l’air qui était avec vous sur ce vol et tu sors de l’avion. Tu appelles un taxi, tu attends qu’Airlie arrive à l’intérieur et tu la regardes « Notre premier rendez-vous est à 14h, tu es libre en attendant » le taxi démarre en direction de votre hôtel. Tu as comme toujours choisi un hôtel de Luxe, tu apprécies la classe et la discrétion des Plaza. Tu arrives devant le grand bâtiment, t’es accueilli comme un roi, tu es salué jusqu’à l’intérieur, et une employée, plutôt jeune et très jolie te donne les clés de vos chambres respectives, l’une à côté de l’autre « Merci Lola » tu lui souris après avoir lu son badge « Veuillez-faire monter deux petits déjeuner complet, un pour la demoiselle et le second dans ma chambre s’il vous plait » tu meurs de faim et leurs petits déjeuner sont délicieux tu en salive d’avance. Sans un mot de plus envers ta blonde, tu montes dans l’ascenseur direction vos chambres.


Dernière édition par Leeo Strand le Dim 3 Juil - 21:19, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Airlie Adamo
Airlie Adamo
member ◊ cute little coral

messages : 1237 pseudo : spf avatar + © : romee strijd + mags + endlesslove
(+18) strong. (leeo) Atelophobia

âge : dix-neuf ans.
statut civil : célibataire.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyVen 1 Juil - 13:44

tu peux faire ce dont tu as envie jusqu’à quatorze heures. tu es totalement libre. leeo te dit. tu te contentes de hausser les épaules. tu te montres indifférente. l’optique d’avoir du temps libre est censée te faire plaisir. vraiment plaisir. los-angeles a l’air d’être une belle ville. tu n’avais jamais été là-bas et tu n’allais certainement pas y retourner de si tôt. tes frères t’ont dressé une petite liste des choses à faire et à voir ici en te conseillant de découvrir les lieux à pied ou en vélo. ça te laissait beaucoup de temps libre avant le premier rendez-vous. tu avais le temps d’observer les gens, de te perdre dans la culture et profiter de l'été dans les rues et des cafés. tu avais beaucoup de temps jusqu’à quatorze heures. c’est certainement ton passe-temps favori. t’imprégner d’une autre culture, mais là, tu n’es pas d’humeur. tu n’es vraiment pas d’humeur pour en profiter au maximum. tu es complètement déphasée même en ayant dormi durant la totalité du vol. tu paies le prix de ton sommeil hachée en menue depuis ton échange houleux avec leeo. il est si tôt en france et ici, il est presque minuit ça n’arrange rien. tu ne lui adresses pas la parole de tout le trajet. tu ne savais pas quoi lui dire alors tu préfères t’abstenir. la situation est déjà assez compliquée comme ça. vous arrivez à l’hôtel. enfin. tu laisses échapper un soupir de soulagement tu n'aurais pas supporter ce silence une minute de plus. vous entrez. il a ses habitudes ici. tu le sens. tu tends les justificatifs de réservations à l’hôtesse d’accueil, elle glisse les clefs sur la surface marbrée. lola tu as bien entendu ? il l’a réellement appelé par son prénom ? ça prouve bien qu’il s’en fiche de toi et qu’il est ici avec toi juste parce que tu es son assistante. tu fronces le nez. tu lèves les yeux au ciel. la mine dégoutée. tu ne peux pas t’en empêcher. tu es loin d’être discrète. tu n’essayes même pas de l’être. d’être discrète. de toute façon, leeo et elle ne font pas attention à toi. tu prends la clef. « pour moi ça ne sera pas la peine. » tu ne t’adresses pas à leeo, mais à cette charmante lola. beaucoup trop charmante avec leeo. tu n’avais déjà pas extrêmement faim en arrivant, mais la voir être aussi mielleuse t’as définitivement coupé l’appétit. tu ne te sentais jamais vraiment à ton aise dans les hôtels qu’il choisissait. tu sentais bien que tu n’étais pas à ta place presque à chaque fois, mais cette fois, tu te sentais vraiment mal à l’aise parce qu’elle te le faisait remarquer que tu n’avais rien à faire ici. ou c’est simplement que tu es de mauvaise foi parce qu’il la regarde et qu’il lui porte de l’attention. qu'il lui parle alors qu'avec toi il se contentait de t'adresser quelques phrases. rien que le strict minimum tout en se montrant froid et distant alors qu'il lui adressait des sourires. elle, elle n’a d'yeux et d'oreilles que pour leeo et elle te porte autant d’attention que sa femme. c’est-à-dire aucune attention. tu es transparente. il prend l’ascenseur. tu prends les escaliers. tu surchauffes. ce n’est vraiment pas le moment de te retrouver seule avec lui dans un endroit clos et aussi étroit, pas après la scène à laquelle tu viens d'assister. en étant une spectatrice impuissante. tu restes deux petites minutes juste le temps de déposer ta valise et tu sors. tu as besoin de prendre l’air. il est hors de question pour toi de rester une minute de plus dans cet hôtel. tu songes même à trouver un nouvel hôtel pour la nuit prochaine. pas pour cette nuit. étant donné l’heure. une fois dehors, tu essaies d’appeler tes frères. tu essayes deux - trois fois. en vain. alors tu erres dans les rues quelques temps. une heure ou peut-être même deux. tu n’en sais rien. tu erres assez longtemps pour te poser les bonnes questions. pour peser le pour et le contre. ressentir de telles choses pour un homme marié ça ne t’est jamais arrivée, mais il a débarqué et il a prit de la place, beaucoup sans que tu ne saches vraiment comment. peut-être qu’à force de passer toutes tes journées avec lui l’inévitable s’est produit. tu te décides enfin. tu rentres à l’hôtel. tu poses ton sac. tu ne touches pas à ta valise, tu ne te sens pas encore totalement prête. tu te douches. tu te passes de la une crème censée t’aider à trouver le sommeil sur le corps. t’ouvres ta valise sans la défaire. tu te mets en pyjama et par pyjama, tu veux dire un débardeur et une culotte. tu ne dormais jamais avec rien de plus. été comme hiver. printemps comme automne. tu ne pouvais pas dormir avec quelque chose de plus sur toi. tu te réveilles en sursaut comme tous les autres soirs depuis que leeo t’as signifié qu’il ne s’était rien passé l’autre soir. tu te voiles la face. tu as besoin de lui. tu sors de ta chambre sans prendre le temps de te vêtir un peu plus. tu toques à sa porte. « c’est juste que… enfin…. depuis tout ce temps… j’ai l’impression que tu fais comme si de rien n’était et… je suis désolée, mais ça, moi, je n'y arrive pas. je n'ai jamais été aussi attirée par quelqu'un. » tu relèves les yeux vers leeo. tu remarques qu'il n'est pas totalement habillé. peut-être il dormait. tu es désolée de lui imposer ce genre de conversation. tu avais envie de changer de sujet, d'éviter au maximum des conversations sans fin et des questions qui resteront probablement sans réponse. alors tu décides de faire dans la synthétique. « on profite de la semaine, sans se prendre la tête ? juste toi et moi. » tu le penses vraiment. tu es sincère s’il accepte, tu ne comptes pas lui demander des explications ou des comptes. tu le regardes plein d’espoir. tu n’attends pas sa réponse, prise d'un coup une tête, tu poses tes lèvres sur celles de leeo. « je ne vais pas changer d’avis promis juré. si je t’ai dit non la dernière fois, c’est parce que tu m’as dit que tu n’étais pas malheureux. je n’avais pas envie d’être un obstacle à ton mariage... à ton bonheur, mais je n’y arrive pas. je sais que c’est égoïste ce que je suis en train de faire. j’ai essayé, je te le jure, mais j’ai besoin de toi, trop besoin de toi. » tu lui confies, pour la première fois. tu veux lui prouver que tu ne changeras pas d'avis. parce que tu as vraiment besoin de lui. tu ne te poses plus aucunes questions. tu arrives à lâcher prise totalement. tu as juste envie de profiter de leeo, de sa liberté et d’une semaine complète sans aucune encombre. d'une semaine sans ombre au tableau. tu sais qu’il ne quittera jamais sa femme et tu l’acceptes. ça te permettra de garder contact avec sam. tu sais bien comment ça marche des tas de patrons couchent avec leurs secrétaires. bon, toi, tu es son assistante, mais avant tu étais sa secrétaire. certes tous les patrons n'emmènent pas leurs secrétaires à los-angeles, mais tu vas assumer cet avantage. à biarritz, tu étais son assistante. à los-angeles, tu pouvais être n’importe qui d’autre pour lui. dans une semaine, vous serez de retour à biarritz, mais tu n’y penses pas une seule seconde. tu es bien décidée à profiter de cette semaine. tu entends une porte s’ouvrir. tu te rends soudainement compte de la tenue dans laquelle tu te trouves et tu réalises que tu es sortie sans ta clef. tu es presque certaine d'avoir entendu la porte se claquer. tu rougis légèrement. « est-ce que je peux rentrer ? promis je ne te parlerai pas d’elle et encore moins de vous. » tu lui demandes, tu n’as pas envie de t’imposer. tu croises tes bras sur ton thorax et tu poses tes mains sur de tes épaules.
Revenir en haut Aller en bas
Leeo Strand
Leeo Strand
member ◊ cute little nemo

messages : 219 pseudo : manon avatar + © : tobias sorensen (tag)
âge : vingt-sept ans
statut civil : marié depuis quatre ans.
job/études : strand enterprises holding inc.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyDim 3 Juil - 22:39

Le vol est vraiment calme, en dehors du fait que tu n’échanges aucunes paroles avec ton assistance, la météo est très clémente, le ciel est dégagé, d’un bleu incroyablement sombre ou les étoiles se fondent parfaitement. La nuit et en particulier l’astronomie t’ont toujours fasciné, enfant tu pouvais rester des heures allongées dans la pelouse du jardin à admirer ses astres brillants et encore aujourd’hui ça t’arrive même si tu ne l’avoueras sans doute jamais. Puis tu t’endors, deux, trois heures, peut-être plus, tu es épuisé et tu ne t’en rends même pas compte. Quand tu ouvres les yeux, le soleil brille déjà dans le ciel, il doit faire une bonne vingtaine de degrés et tu sens déjà la légère brise fraîche du vent sur ton visage quand tu sors de l’avion confiant le soin de réveiller ta belle au bois dormant à ton équipe de bord. Dans la voiture, tu jettes un coup d’œil rapide à tes mails avant de voir la jeune femme entrer dans la voiture, comme pour le vol, le silence s’installe entre vous deux, pas un mot, a peine un regard, t’as l’impression d’être à vos débuts, quand tu ne la connaissais pas encore, quand vous étiez deux inconnus, quand elle te vouvoyer encore et t’appeler monsieur, bien que tu lui répété sans cesse d’arrêter avec ça. Tu ressens ça aujourd’hui, elle et toi, deux inconnus. Ton hôtel favori se dessine sous tes yeux, tu t’arrêtes toujours dans ce genre d’hôtel, tu t’y sens bien, tu t’y sens chez toi d’une certaine façon. A l’accueil, tu tombes sur Lola, tu l’as eu au téléphone plusieurs fois cette semaine, elle est très agréable, gentille et professionnelle, ce que tu apprécies réellement, tu commandes deux petites déjeuner mais Airlie ne semble pas décidé à manger, tout en souriant Lola lui annonce qu’elle est à sa disposition, si toutefois elle changeait d’avis, tu lui adresses un sourire « Je vous appelle tout à l’heure pour régler les détails concernant mon déplacement, merci Lola » tu es très poli avec elle mais aussi sympathique tentant de te montrer le plus gentleman possible. Elle te répète une nouvelle fois qu’elle est à ta disposition à n’importe quelle heure et tu montes dans l’ascenseur ; tu n’es pas vraiment surpris quand elle décide de prendre l’escalier, en réalité elle est aussi têtue que toi, c’est une des nombreuses choses que tu aimes et que parfois tu déteste chez elle. Mais tu ne dis rien, tu n lui accordes pas vraiment d’attention puisque si tu le fais, d’une certaine façon elle sera satisfaite et tu refuses de lui donner ce plaisir. Quelques secondes plus tard, tu rentres dans ta chambre, une suite plutôt immense, un lit qui pourrait accueillir facilement quatre personnes, une salle de bain, une baignoire plus grande que ton bureau, et tout le confort et le luxe que tu aimes. Tu retires ton sweat, tu as chaud et tu n’as qu’une envie prendre une douche froide pour te changer les idées et te réveiller avant la journée qui s’annonce chargée. T’ouvre ta valise, tu sors deux trois choses, ton chargeur, quelques dossiers, ton ordinateur et tu attrapes ton IPhone composant ensuite le numéro de Thelma, tu attends quelques secondes et elle décroche, tu reconnaîtrais le son de sa voix parmi milles « C’est moi, j’viens juste d’arriver, tu avais raison, le temps est magnifique, tu aimerais » elle adorerait en effet mais elle n’a pas pu se joindre à toi puisque son travail la retiens, en ville, tu le sais, et ce n’est pas plus mal, tu n’aurais pas voulu te retrouver ici entre Airlie, ton assistante, le fruit de tes fantasmes et ta femme. Vous discutez quelques minutes, c’est assez rapide, elle est sur le point de se rendre à un déjeuner avec ses parents « Embrasse les de ma part, j’essaye de t’appeler dans la semaine, je t’embrasse » contrairement aux autres couples, tu ne lui dis pas que tu l’aimes en raccrochant, ce n’est pas dans tes habitudes, ce n’est pas une chose que tu dis souvent, sans doute parce que dans le fond tu ne penses pas. Tu raccroches juste après tes mots, tu mets ton téléphone à charger et tu fonce directement dans la salle de bain, tu t’accordes une bonne et longue douche, ça faisait longtemps que tu n’avais pas eu autant de temps devant toi. Il se fait tard, tu savoures ensuite ton repas devant un reportage sur la finance, tout en travaillant sur ton ordinateur, et en plein milieu d’un rapport, on frappe à ta porte, tu n’attends personne « J’arrive… » tu termines ta phrase, et pose ton ordinateur sur la table de chevet avant de te diriger vers la porte. Tu jettes un œil rapide à l’heure, il est tard, tu ouvres, tu tombes sur Airlie, en petite tenue, tu arque un sourcil ne comprenant pas du tout ce qu’elle vient faire ici à cet heure de la nuit et dans cette tenue surtout « Je te signale que c’est toi qui voulait faire comme si de rien n’était, mais tu changes tellement d’avis qu’il est difficile de te suivre » c’est un petit pic, tu te remémore avec une certaine amertume votre dernier échange. Tu l’écoutes à moitié, tu es concentré sur ses longues jambes, sur cette petite culotte, sur son débardeur qui moule parfaitement son buste et tu sens une bouffée de chaleur te gagner. Tu jettes un œil dans le couloir et tu attrapes son bras pour la faire rentrer dans ta chambre, tu n’es pas vraiment ouvert à l’idée que quelqu’un puisse la voir dans ce genre d’accoutrement « Viens » tu refermes la porte derrière elle et tu passes ta main dans tes cheveux. Si tu t’écoutais réellement tu la raccompagnerais dans sa chambre, tu es persuadé que le problème ce n’est pas ta femme ou le fait que tu ne souhaites pas la quitter mais plutôt que ce n’est pas ce qu’elle veut au plus profond d’elle-même, mais quand tu la voix si belle et si attirante dans ta chambre, ce n’est plus ton cerveau qui réfléchis, tes envies sont sur le point de parler d’elle-même « Et puis merde » tu lâches prises, tu n’avais pas dans l’idée de craquer à nouveau, tu voulais installer une distance entre vous pour être sûr qu’il n’y ai pas de problème entre vous. En une seconde, ton regard se rempli de désir à son égard, tu la plaques contre la porte, ton corps se colle au sien, tu sens la chaleur de sa peau « Une semaine… » sans prise de tête, sans questions, sans problèmes, une semaine de bonheur. Tu l’embrasses, passionnément, comme si ta vie en dépendait. Tes mains glissent derrière sa taille, sur ses fesses, et tu la soulève, la pressant encore plus contre toi, ta bouche ne quitte pas la sienne, ta langue danse avec sienne, tu brûles de désir à son égard.
Revenir en haut Aller en bas
Airlie Adamo
Airlie Adamo
member ◊ cute little coral

messages : 1237 pseudo : spf avatar + © : romee strijd + mags + endlesslove
(+18) strong. (leeo) Atelophobia

âge : dix-neuf ans.
statut civil : célibataire.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyLun 4 Juil - 17:55

« je te signale que c’est toi qui voulait faire comme si de rien n’était, mais tu changes tellement d’avis qu’il est difficile de te suivre. » tu lèves les mains admettant de cette façon ta culpabilité. tu as tes torts. tous les torts. son désir d’oublier cette fameuse soirée est le résultat de tes paroles. tu en as conscience. bien conscience, mais tu n’avais jamais souhaité qu’il oublie ce qu’il s’était passé dans son bureau. il a décide alors tu as essayé. tu as essayé d'oublier. mais, toi, tu n’y es pas arrivée. tu n’arrives plus à faire comme si ça ne s’est pas produit. c’est lui qui en avait fait le choix alors tu as essayé de respecter ses besoins. « je plaide coupable, mais c’est toi qui voulais oublier ce qu’il s’est passé l’autre soir dans ton bureau, tu ne m’as pas laissé le choix. mais, moi, je n’y arrive pas. je n'y arrive plus. » tu entends une porte s’ouvrir ou se fermer, tu n’en sais rien et tu réalises que tu es dans le couloir en tenue légère. en culotte et débardeur. tu essayes de te couvrir du mieux que tu peux. même, si maintenant ça ne sert à rien. tu demandes si tu peux rentrer promettant que tu ne lui parlerais pas de sa femme ou de son couple. il t’attrape par le bras. « viens. » tu entres. il ferme la porte derrière toi. il ne parle pas. tu regardes autour de toi. tu vois son ordinateur ouvert. tu comprends qu’il était en train de travailler. ça ne t'étonne pas. tu n’avais pas vraiment choisi le bon moment pour venir le voir. tu t'apprêtes à t'excuser de l'avoir dérangé, mais tu n'en n'as pas le temps. « et puis merde. » tu l’observes attentivement et tu sens son regard changer du tout au tout, mais tu n’as pas le temps d’analyser plus en détail la situation. la chaleur de ton corps contraste avec la froideur de la porte. sensation assez particulière très vite chassée de ton esprit quand son corps se colle au tien. « une semaine… » tu hoches la tête pour confirmer. « oui rien qu’une semaine. » une semaine sans questions, sans réponses. sans ombre au tableau. loin de biarritz. sans copain. sans femme. une semaine pour vous deux. il t’embrasse ses mains passent de ta taille à tes fesses. il te soulève aisément. tu as besoin de sentir que c’est réel. tu en as réellement besoin. tu veux le sentir encore plus contre toi. alors naturellement tu enroules tes jambes autour de sa taille. il t’embrasse comme si c'était naturel, comme si vous vous chauffiez depuis des heures. résultat des semaines où il s'était montré froid et distant avec toi. il n'avait pas besoin de faire beaucoup ni besoin de beaucoup de temps pour te faire perdre le contrôle. il n'avait pas besoin de faire beaucoup ni besoin de beaucoup de temps pour te rendre complètement folle. il rompt le baiser. juste quelques secondes. juste quelques secondes. secondes te laissant le loisir de reprendre ton souffle. tu perds le contrôle. c’était prévisible. la tension était trop forte entre vous depuis ce qu’il s’était passé dans son bureau. tu l’embrasses. tu as vraiment perdu le contrôle. ça ne pouvait que te faire du bien. lui réussissait à te rendre désirable. c’était la première fois que ça t’arrivait. jamais tu ne t'étais sentie désirable avant qu'il se montre plus entreprenant avec toi. il se détache. te laissant reprendre ton souffle. souffle que tu récupères doucement. ton cœur menace de se faire la malle. c’est nouveau pour toi. c’est la première fois que tu ressentais ce genre de chose. tu es facilement impressionnée tu n’as connu qu’un homme et il n’avait rien à voir avec leeo. le jour et la nuit. l'eau et le feu. sam n'a vraiment rien avoir avec leeo. tu ne pouvais plus te passer de ses lèvres et de sa peau. dans ses bras tu te laisses totalement aller. tu te laisses complètement faire. tu te sens prête. « cette fois c’est toi … c’est toi qui as absolument tous les droits pendant cette semaine. » tu lui laisses officiellement le contrôle. tu lui prouvais une nouvelle fois que tu ne comptais pas changer d’avis. tu ne voulais pas de limite. tu n’en voulais plus des limites. considérant cette semaine comme une parenthèse. parenthèse où vous étiez tous les deux libres comme l’air. cette semaine est la vôtre. tu en avais marre d'attendre. tu avais envie de te donner entièrement à lui. te donner à lui avec envie et passion. comme tu ne l’avais jamais fait auparavant. tu souris. il s’empare de tes lèvres. il s’en empare à nouveau. pour t’embrasser. tu retiens ton souffle et tu te laisses aller. tu passes tes bras autour du cou de leeo. tu as besoin de ce contact. tes pieds touchent à nouveau le sol. leeo se détache de toi, et tu n’as pas pu t’empêcher ne put retenir une petite moue. laissant complètement voir ta frustration. tu lèves les yeux vers lui. tu t’es mise à rougir en souriant, tu le fixes intensément. « je… dernièrement j’ai beaucoup pensé à… la dernière fois... tu sais… dans ton bureau... j'ai eu le temps d'y penser. » tu dis tout doucement. rougissante. tu laisses ta main glisser le long du bras de leeo, suivant son mouvement du regard. lorsque ta main se retrouve sur la sienne, tu lèves les yeux vers lui. « ça m’a ... vraiment beaucoup plu… » tu chuchotes une nouvelle fois, avant de te mordiller la lèvre inférieure. tu ne savais pas comment lui dire plus directement que tu en voulais encore. tu voulais ressentir à nouveau ce plaisir. tu aspirais à plus, à beaucoup plus. ta main reste à sa place, pendant que l’autre vint se poser sur la joue de leeo, caressant du délicatement sa barbe. tu passes ta langue sur tes lèvres avant de reprendre la parol. « je ne suis pas très douée pour… » tu t’interromps. tu le regardes. il comprendra certainement de lui-même. tu n’es plus vierge, après tout ça fait presque six ans que tu es avec sam. tu avais cédé une seule fois pensant que ça pourrait le motiver à venir s’installer à biarritz, mais ça n’a pas vraiment marché bien au contraire puisqu’il n’est même plus venu passer quelques jours en france et qu'il t’a demandé de le rejoindre. tu reprends. « ... mais je me disais que peut-être enfin ... on... tu pourrais m’apprendre... si tu veux bien. » tu n'avais vraiment pas l'habitude. tu cherchais trop tes mots. tu ne voulais pas commettre d'impair. tu clos avant de l’embrasser chastement. tu es inexpérimentée, mais avec lui tu arrivais à te laisser aller et à te montrer audacieuse. jamais tu n'oserais parler de cette façon à sam. tu arrivais même à le faire sans te sentir ridicule. tu voulais qu’il se sente bien avec toi, tu espères que ce soit le cas. « j’ai envie de toi… » tu oses lui chuchoter à l’oreille, avant de sourire. « je suis certaine que c’est beaucoup plus sympa à dire quand on vouvoie l'autre personne. j'essaye. » tu ris légèrement. « j'ai envie de vous ... c'est effectivement beaucoup plus sympa de le dire de cette façon. » tu l'embrasse une nouvelle fois.
Revenir en haut Aller en bas
Leeo Strand
Leeo Strand
member ◊ cute little nemo

messages : 219 pseudo : manon avatar + © : tobias sorensen (tag)
âge : vingt-sept ans
statut civil : marié depuis quatre ans.
job/études : strand enterprises holding inc.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyJeu 7 Juil - 14:36

Tu es tiraillé, le bien, le mal, ta relation avec Airlie n’est clairement pas une bonne chose, sur le papier du moins, parce que quand tu la regardes, quand tu sens les battements de son cœur, tu te sens bien, presque heureux et ce n’est pas un sentiment que tu as l’habitude de ressentir avec ta femme. Alors tu seras sans aucun doute catégorisé dans la rubrique connard si ça s’apprend mais ça t’est totalement égal, au moins pendant une semaine, pendant sept jours, tu auras fait ce que tu as envie. Elle te sourit, ses jambes s’enroulent autour de ta taille, et même si tu l’embrasses pleinement, tu essaie de ne pas trop t’emballer, tu ignores qu’elles sont ses limites cette-fois et tu ignores si elle ne changera malgré tout pas d’avis. Tu profites juste, elle t’embrasse à son tour et tu la serres dans tes bras de toutes tes forces, tu ressens des dizaines d’émotions différentes mais la plus forte reste l’envie, l’envie d’elle. La chaleur s’installe entre vous, votre baiser prend fin, t’as le souffle coupé, ton cœur s’emballe comme s’il allait s’échapper de ta poitrine, tu la regardes dans les yeux, ta main glisse dans ses cheveux « Tu es magnifique… » tu murmures sans la quitter des yeux, elle est si belle, elle a le visage d’un ange, mais le corps d’une diablesse, ses courbes sont parfaites, elle t’appelle et tu es incapable de lui résister, tu en rêve secrètement, de pouvoir la toucher et l’avoir à toi le temps d’une nuit. Tu déposes un furtif baiser sur ses lèvres puis tes lèvres glissent dans son cou pour y déposer de nombreux baisers chauds et tendre ; tu lèves ton regard vers le sien et tu te mords la lèvre « Tous les droits ? » tu demandes pour être sûr que c’est ce qu’elle veut, tu te détesterais si elle regrettait finalement ce moment en ta compagnie. Ses bras glissent autour de ton cou, tu n’es pas du genre tactile, tu as du mal avec ce genre de geste, enfin sans doute parce que tu n’as plus l’habitude avec ta femme, vos moments ne sont plus tendre, vous n’agissait plus vraiment comme un couple elle et toi. Tu lui souris, dépose un baiser sur le bout de son nez avant de te détacher légèrement. Ton regard se balade sur son corps, elle est tellement sexy dans cette petite culotte qui épouse ses formes et qui te donne vraiment chaud. Tu respires calmement, comme pour contrôler tes envies et elle te parle, du moins elle essaye, sa maladresse et sa timidité te font sourire, elle te plait aussi pour ça, parce qu’elle peut se montrer timide, elle ne te cache pas sa gêne ou son appréhension et elle ne joue pas la fille sûre d’elle juste pour te plaire. Elle évoque votre moment dans le bureau et tu y repenses, vos baisers, son contact, sa bouche, ton excitation et le désespoir quand elle t’a repoussé ; mais malgré tout, tu as oublié, à partir du moment où elle a frappé à ta porte, tu as tout oublié « Ça m’a beaucoup plu aussi, tu m’as beaucoup plu » tu as envie qu’elle le sache, que c’est elle qui te fait de l’effet et pas n’importe qu’elle fille qui pourrait passer devant toi. Elle a se pouvoir sur toi, elle seule. Tu lui souris, comme pour la rassurée, en l’entendant tu comprends aisément que ta vie sexuelle et la sienne sont totalement différentes, tu été passé à l’acte très jeune avec une fille un peu plus âgé de l’école et tu avais batifolé à droite et à gauche avant de te marier et d lui jurer fidélité. Bien entendu, tu avais partagé de bon moment au lit avec ta femme, elle était belle et attirante mais tu ne savais pas ce que ça faisait de faire l’amour en étant amoureux ou en étouffant de désir. Tu hoches la tête en l’entendant, tu es sur le point de lui répondre quand elle te murmure ses mots, elle a envie de toi, ses quelques lettres agissent sur toi comme une décharge électrique, elle le redit en te vouvoyant et tu sens envie brûlante te posséder « J’ai très envie de vous moi aussi » si seulement elle savait à quel point. Tu prolonges son baiser en glissant ta main sur sa joue, tu te presse contre elle rendant se baiser encore plus intense et tu murmures à ton tour « Tu me fais confiance ? » c’est essentiel pour toi, tu te refuses à faire quelques choses qu’elle n’a pas envie et tu veux lui donner du plaisir, tu veux qu’elle se souvienne de cette nuit comme un moment magique entre vous, tu veux qu’elle sache que le sexe peut-être quelque chose de fabuleux. De nouveau tu la soulève sans pour autant quitter ses lèvres, lentement tu te diriges vers ton lit ou tu la fais tomber avec douceur, tu te penches au-dessus d’elle et l’embrasse avec tendresse, tu adores l’embrasser, tu pourrais passer des heures à le faire. Tu te redresses, le temps d’enlever ton t-shirt, tu le laisses rejoindre le sol, et tu t’allonges à nouveau sur elle, sans l’écraser prenant appui sur tes bras, tu déposes de chaud baiser dans son cou, et tu glisses ta main sous son débardeur, découvrant sa peau, caressant son ventre, tu quittes son cou, tes lèvres se posent sur son nombril, sur son ventre, sur chaque parcelle de sa peau « Dis-moi, si tu veux que j’arrête » tu prends ton temps pour qu’elle sache à partir de quand elle souhaite de te dire stop. En attendant, tu continues de remonter son débardeur et tu découvres finalement sa poitrine, exactement comme tu l’avais imaginé, son haut rejoint le tien sur le sol et ta main passe sur ses seins lentement avant de laisser tes lèvres explorer cette zone de son corps, tu l’embrasses, ta langue passe dessus, tu sens ses tétons durcir sous tes caresses et l’excitation te gagne peu à peu. Ton regard se pose dans le sien, tu as envie d’elle, tu ignores ses pensées à cet instant, ta bouche s’amuse toujours sur sa poitrine, sa délicieuse poitrine et lentement ta main glisse entre ses jambes, caressant son intimité par-dessus sa culotte, tu n’iras pas plus loin, pas si elle ne te le demande pas.
Revenir en haut Aller en bas
Airlie Adamo
Airlie Adamo
member ◊ cute little coral

messages : 1237 pseudo : spf avatar + © : romee strijd + mags + endlesslove
(+18) strong. (leeo) Atelophobia

âge : dix-neuf ans.
statut civil : célibataire.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyJeu 7 Juil - 22:36

il passe sa main dans tes cheveux. il te regarde. « tu es magnifique… » qu’il te murmure. tu rougis. tu ne sais pas si tu le mérites vraiment même si son compliment te fait plaisir. tu ne doutes pas de sa sincérité, mais pour le moment, il n’est peut-être pas très objectif. il t’embrasse furtivement. ses lèvres se posent sur ton cou. parsemant de baiser. tu lui laisses le contrôle. il se stoppe. te regarde ses dents sur sa lèvre inférieure. il te demande confirmation. il te connaît trop bien. seulement cette fois vous êtes loin de biarritz et tu as décidé que cette semaine rien ne t’empêchera d’en profiter pleinement. tu lui souris. tu n’hésites pas une seule seconde à lui confirmer. « tous les droits. oui. » tu as besoin de sentir sa peau au maximum et d’être collée à lui. alors tu passes tes bras autour de son cou. tu es attentive à ses expressions et pour l’avoir côtoyé depuis tes seize ans tu sais pertinemment que ça ne lui convient pas. alors tu les enlèves et tu places tes mains sur tes cuisses. il t’adresse un sourire. sourire que tu lui rends. ses lèvres se posent sur le bout de ton nez. il se détache. tu fais la moue. tu sens son regard sur toi. en plus d’être particulièrement pudique tu n’es pas très à l’aise avec ton corps. tu abordes votre dernière entrevue. tu n’es pas très douée pour en parler. tu bafouilles. tu hésites. tu tentes de trouver les bons mots. il sourit. tu tentes de lui faire comprendre ce que tu avais ressenti. tu n’as pas eu l’occasion de lui dire vu comment la soirée s’est terminée. tu reconnais que tu n’es pas douée. tu connais tes faiblesses, mais tu ne demandes qu’à apprendre. il hoche la tête. ça lui a plu aussi. tu souris. il rajoute que tu lui as plu. tu te demandes quelques secondes comment est-ce que tu pouvais lui plaire. sa femme est si jolie et il y a tant de femmes qui voudraient se trouver à ta place et puis tu réalises que tu as beaucoup de chance et que tu devrais accepter ses compliments au lieu de toujours te demander pourquoi il te le fait. tu as envie de lui. tu lui dix deux fois sans sourciller. « j’ai très envie de vous moi aussi. » tous tes sens sont en éveils et ton baiser qu’il prolonge en plaçant une main sur ta joue et en se pressant contre toi le rende moins innocent et fait réagir l'intégralité de ton corps. « tu me fais confiance ? » il murmure. tu hoches la tête de haut en bas. « je te fais confiance. » tu ne passes pas par quatre chemins. tu lui dis. tu lui fais confiance. tu lui as laissé le contrôle. tu ne t’imposes plus de limites. « entièrement confiance. » tu précises. il te soulève aisément, mais cette fois il te déposes délicatement sur son lit. il t’embrasse avant de se redresser. il enlève son t-shirt. étonnement tu ne détournes pas les yeux. une fois son t-shirt à terre sa bouche retrouve vite ton cou tandis que sa main est passé sous ton débardeur. sa main découvre délicatement, mais avec assurance ton ventre. puis sa main est très vite remplacée par ses lèvres. il est bienveillant. il prend sont temps. tu sens ton débardeur remonter progressivement. il te débarrasse de ton débardeur. tu l’aides soulevant ta tête et levant tes bras. tu sens ses mains sur ta poitrine. tu fermes les yeux. tu retiens ton souffle. tu sens sa bouche marquant ta poitrine. ta respiration se fait de plus en plus difficile, tu déglutis difficilement. l’impression que ta gorge est enflée. sa langue passe sur ton téton puis sur l’autre. tu gigotes. des gémissements t’échappent. tu essayes de te contenir. il est tard des gens dorment. tu serres les draps dans tes poings. tu te pinces les lèvres. tu résistes autant que tu peux. c’est nouveau pour toi, mais tu te sens bien. tu te sens presque à l’aise alors que tu te trouves juste en culotte devant lui. tu ne penses pas au nombre de femmes qu’il a pu fréquenter. tu ne complexes pas. tu ne penses même pas à te couvrir. tu ne le fais pas parce que tu es incapable de penser ou d'agir. il s’attarde sur tes seins et tu sens son bras descendre. sa main qui descends progressivement jusqu’à se retrouver entre tes jambes. ton ventre se tord encore un peu plus sentant sa main qui te caresse par-dessus le tissu. tous tes sens sont en éveils. tu as l’impression étrange de ne plus avoir aucun souffle, alors qu’il venait tout juste de commencer. « en comptant celle-ci je n’ai eu que trois fois dans ma vie autant envie de faire l’amour et c’était toujours avec toi. » tu lui avoues. tu sens que c’est le moment de lui dire. tu as toujours été très attirée par leeo. ce n'est pas vraiment étonnant. il est charismatique. il est bosseur. il est beau. il est généreux. il est parfait. il te faisait te sentir vivante et belle. tu cherches son regard avant de prendre la parole. « je te fais confiance et tu as tous les droits. » c’est loin d’être compliquée pour lui. de prendre des décisions. il le faisait tous les jours avec brio. tu lui rappelles.
Revenir en haut Aller en bas
Leeo Strand
Leeo Strand
member ◊ cute little nemo

messages : 219 pseudo : manon avatar + © : tobias sorensen (tag)
âge : vingt-sept ans
statut civil : marié depuis quatre ans.
job/études : strand enterprises holding inc.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyLun 11 Juil - 19:33

Les battements de ton cœur se font de plus en plus rapide, tu respires pour ne pas perdre le contrôle mais dans ses bras tu lâches totalement prise. Tu oublies ton monde, ta vie, tes priorités pour te concentrer uniquement sur tes envies et ton envie elle est allongé sous ton corps, elle est sur le point d’être tienne, si douce, si belle, si innocente. Elle t’accorde sa confiance et c’est une chose qui compte plus que tout à tes yeux, tu te lances, tu t’amuses, tu la découvre peu à peu. Tes lèvres se balade sur elle, tu prends ton temps, tu veux qu’elle ressente le désir, tu veux la voir ressentir chaque étape du plaisir que tu lui offres « Détends toi » tu lui murmures, elle est stressée, ce que tu comprends puisqu’elle t’avoue qu’elle n’a pas eu énormément de relations sexuelles, du moins elle le sous-entend et ça te plait, contrairement à beaucoup d’hommes tu n’es pas fan des filles faciles, celle qui se donne trop facilement, qui rendent le sexe banale, à tes yeux, le sexe est un plaisir mutuel qu’il faut faire durer pour qu’il soit encore meilleur, elle n’est que plus parfaite à tes yeux. Tu ressens la chaleur de son corps, elle te fait déjà beaucoup d’effet, tu frisonnes, tu soupires, ton membre commence à grossir dans ton boxer ; elle soupire, c’est fou ce qu’elle est belle lorsqu’elle prend du plaisir, tu ne comptes pas en rester là bien entendu, tu remontes quelques instants ta bouche sur la sienne, tu l’embrasses avec passion mêlant ta langue à la sienne, tu lui mords la lèvre, tu ne veux pas lui faire mal, au contraire. Ta bouche retrouve rapidement la route vers sa poitrine, tu la torture gentiment, passant ta langue sur ses tétons alors que ta main, tes doigts, caressent son intimité par-dessus le fin-tissu de sa culotte, elle est réactive et ça ne fait qu’augmenter ton excitation. Ton regard se plante dans le sien, ce qui se passe entre vous, tu ne le ressens avec personne d’autre, il y’a une alchimie incroyablement dans son regard, elle t’attire comme un aimant, ses mots, coquins sortant de sa bouche te rende fou, elle a fantasmé sur toi, pendant que tu fantasmais sur elle et l’idée qu’elle ait autant envie de toi, t’arrache un sourire « Tu aurais dû m’en parler… » tu n’avais rien dit ou rien tenté parce que tu étais persuadé que tes envies était uniquement à sens unique. Mais aujourd’hui, tu te rattrapes, tu es décidé à faire en sorte que cet instant reste à jamais graver dans sa mémoire. Tu embrasses furtivement le coin de ses lèvres avant de descendre sur son ventre, tu déposes de tendre baiser autour de son nombril avant de descendre entre ses jambes. Tu continues de prendre ton temps, tu embrasses l’intérieur de ses cuisses, de léger baiser pour commencer, juste pour la faire frissonner, et tu remontes lentement vers son intimité sans jamais la toucher ; tu ressens sa chaleur et son excitation à travers le bout de tissus. Quelques secondes plus tard, tu fais glisser très lentement cette culotte le long de ses jambes découvrant finalement son sexe. Une bouffée de chaleur t’envahi, ta main glisse sur cette dernière de haut en bas, la caressant pendant plusieurs minutes avant de laisser la place à ta bouche, ta langue se faufile entre ses jambes, embrassant, dévorant, léchant, suçant sa féminité. C’est bon, la voir aimer ça, te donnes à toi aussi du plaisir, tu la laisses jouir une première fois, tu meurs de chaud, tu remontes à ses lèvres plutôt lentement et lui vole un baiser « Je te veux » plus que tout au monde. Tu te penches un instant et attrape de quoi vous protéger, tu ignores si elle prend la pilule puisque vous n’avez jamais évoqué ce sujet, et l’idée d’avoir un enfant ne t’attires pas plus que ça. Tu le déchires avec tes dents et l’enfile, tes yeux se plongent à nouveau dans les siens avant de ne faire qu’un avec elle. Lentement et tout en douceur tu entames des vas et viens, les choses sont naturelles entre toi et elle, cet instant est presque magique, ton rythme s’accélère au fils du sien, ta respiration se saccade avec la sienne, son prénom sort ta bouche quand tu gémis, elle n'a peut-être pas beaucoup d’expérience, mais elle te comble. Les minutes défilent, vous touchez l’un comme l’autre la jouissance, puis tu t’écroules à ses côtés, le souffle coupé tu passes ta main dans tes cheveux, tentant de reprendre peu à peu une respiration normale alors que les images de votre ébats défilent dans ta tête. Pendant une seconde, tu n’oses pas la regarder, et si elle regrettait ? si finalement les choses n’avaient pas été aussi bien que ce que tu avais promis ? si elle pensait à Sam finalement ? ton cœur se serre mais tu te tournes timidement vers elle « Ça va ? » tu demandes, sincèrement inquiet par sa réponse.
Revenir en haut Aller en bas
Airlie Adamo
Airlie Adamo
member ◊ cute little coral

messages : 1237 pseudo : spf avatar + © : romee strijd + mags + endlesslove
(+18) strong. (leeo) Atelophobia

âge : dix-neuf ans.
statut civil : célibataire.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyMar 12 Juil - 20:03

« détends toi. » qu’il te murmure. tu te mordilles la lèvre inférieure avant de sourire. tu as une totale confiance en lui, mais tu es tendue puisque tu appréhendes un tout petit peu quand même. tu crains de ne pas être à la hauteur tout simplement. tu n’as pas envie de le décevoir. ce n’est ta première fois, mais c’est la première fois que tu en as aussi envie, ce qui t’avait poussé à sauter le pas avec sam c’était une manière de lui montrer que tu tenais à lui, que tu souhaitais vraiment qu’il s’installe ici. loin d’être une réussite ça a même eu l’effet inverse. ce soir, tu ne te forces pas et tu te sens bien avec leeo. « désolée. » tu laisses de côté tes doutes. tu profites pleinement de ses mains et de sa bouche sur ton corps. ta température corporelle a grimpé de trois ou quatre bons degrés. tu essayes d’être discrète vu l’heure, mais tu n’y parviens pas vraiment. tu ne le vois pas de ce fait tous tes autres sens sont en éveils et il en joue. il retire ta culotte. ça devient concret, mais tu ne changes pas d’avis. tu en as vraiment envie. tu sens sa main qui caresse ta féminité. ton désir monte en flèche. tu halètes et tu gigotes. tu n’en pouvais plus. tu avais définitivement trop envie de lui. tu t’apprêtes à lui dire, mais tu sens sa bouche prendre la place de ses mains. tu te cambres de plaisir sous cette nouvelle sensation. tu soupires son prénom entre deux gémissements. tu perds le contrôle. « leeo … tu me rends folle. » ton corps se tend. se tend de plus en plus avant de se détendre à nouveau. tu n’as même pas le temps de réaliser que sa bouche se retrouve sur la tienne. il t’embrasse trop rapidement. tu n’as pas pu en profiter assez. « je te veux. » tu lui adresses un sourire en guise de réponse. toi aussi. tu es bien incapable de formuler une phrase correcte. il se penche et réapparaît avec le petit emballage carré tu prends la pilule, mais ça te touche qu’il fasse attention à ce genre de détails alors tu ne dis rien. il s’est déjà débarrassé de son boxer. tu aurais aimé lui enlever toi-même. tu le laisses faire. il se positionne à nouveau sur toi. tu n’appréhendes pas vraiment. tu lui fais confiance et tu en as envie. il te regarde droit dans les yeux. petit à petit, il entre en toi. tes mains se posent instinctivement, mais délicatement sur ses bras. tu veilles à ce que ça soit délicat pour ne pas le marquer. vous êtes en parfaite harmonie. vous êtes en phase durant de longues minutes. ton corps se tend. se tend de plus en plus tout comme tes muscles. ton souffle se fait de plus en plus court. ta vue se brouille. ta tête retombe durement sur le matelas tu es en nage tandis qu’il trouve place à côté de toi. ton corps retrouve peu à peu sa souplesse. tu te sens plus légère. tu as l’impression de flotter sur un petit nuage ou d’être entièrement constitué de coton. tu souris. tu tournes ton regard vers lui quelque chose cloche il ne te regarde même pas. tu fixes le plafond. « arrête de réfléchir. tu réfléchis beaucoup trop. » c’est l’hôpital qui se fout de la charité, mais là il n’y avait aucune raison de réfléchir à cet instant précis tu ne t’es pas barrée en courant. tu le sens inquiet. il te demande si ça va. tu connaissais bien leeo et ses expressions faciales n’avaient plus aucun secret pour toi. tu souris. ça te touche qu’il se préoccupe de toi, mais tu avais l’impression qu’il se posait un peu trop de questions. tu es nue, mais agréablement à l’aise. tu ne te couvres pas. après tout maintenant il connaît ton corps. tu te tournes sur le côté pour lui faire face. « je n’aurais pas pu rêver mieux leeo. » tu veux le rassurer, tu aimerais lui dire tellement plus. lui dire qu’il a été doux. qu’il a été tendre. tu aimerais lui dire qu’il a été parfait, mais tu t’abstiens. tu te redresses. tu plantes un bisou sur sa joue et tu t’allonges à nouveau. tu ne veux pas le brusquer que ce soit dans tes paroles ou en l’embrassant sur la bouche, même si tu en crèves d’envie tant que tu n’es pas certaine qu’il se sente à l’aise avec ce qu’il vient de se passer entre vous tu ne le feras pas. « et toi comment tu te sens ? » tu as compris que c’est la première fois qu’il trompait sa femme. toi ça allait et tu ne regrettais pas, mais tu voulais t’assurer que ce soit pareil de son côté.il est marié toi tu as juste quelqu’un dans ta vie depuis longtemps, mais vous n’étiez même pas fiancés alors ça n’a pas un impact aussi fort que pour leeo. tu te dis que ça doit être plus difficile pour lui, même si son mariage est arrangé. s’il regrette tu t’effaceras tout simplement. tu attends sa réponse pendant ce temps tu regardes autour de toi attentivement. la télévision allumée un reportage sur la finance, son ordinateur et son repas. tu n’avais vraiment pas choisi le bon moment pour faire irruption dans sa chambre. tu souris légèrement. « tu ne t’arrêtes jamais. » ce n’est pas un reproche un simple constat. « je peux partir maintenant si tu veux travailler. » tu n’as pas envie de le mettre mal à l’aise, même si vous aviez partagé un moment intime tu ne voulais vraiment pas t’imposer.
Revenir en haut Aller en bas
Leeo Strand
Leeo Strand
member ◊ cute little nemo

messages : 219 pseudo : manon avatar + © : tobias sorensen (tag)
âge : vingt-sept ans
statut civil : marié depuis quatre ans.
job/études : strand enterprises holding inc.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyVen 15 Juil - 17:37

Tu inspires, cette fille te fait perdre tous tes moyens, elle te contrôle comme un vulgaire robot, elle fait de toi son pantin sans même en avoir conscience. Tu rêves, dans ses bras, tu es dans un rêve, dans un de ses endroits ou rien de mal ne peut arriver, ou les bonnes choses existent, ou les cauchemars ne sont que des légendes urbaines. Oh, si seulement ce moment pouvait durer pour le reste de l’éternité, tu pries intérieurement pour que le temps s’arrête, pour que tu puisses profiter encore un peu de sa présence sans te poser de questions. Ton regard se plonge dans le sien, tu meurs de chaud, le plaisir est bientôt à son apogée, elle est divine, aussi belle et sensuelle que ce que tu avais imaginé, elle est nue dans tes bras, tu lui fais cet effet, le plaisir que tu lis dans son regard, c’est toi qui lui procures. Les minutes défilent, tu étouffes, tu exploses, tu ne connais à cet instant rien de meilleur, ta bouche se presse contre la sienne, ta main serre sa cuisse et l’orgasme vous consumes tous les deux. Tu tombes, non, tu t’écroules à ses côtés, ta respiration est rapide, les battements de ton cœur intense, ta peau est perlée d’eau, tu inspires, du mieux que tu peux pour calmer les choses réalisant peu à peu ce que tu viens de vivre avec elle, encore meilleur que dans tes plus profonds fantasmes. Doucement, ton rythme cardiaque se rapproche de la normal, tu te sens bien, mais tu ne peux pas t’empêcher de te demander si elle ressent la même chose ou si elle se sent coupable, si elle regrette, si elle te déteste. Tu demandes, elle ne sait pas mentir, elle en est totalement incapable, du moins elle ne sait pas te mentir alors si elle essaye, tu la verras dans son regard ; d’ailleurs ce regard, ce fameux regard que tu aimes tant, tu le croises, il est doux, calme, serein, sincère, ça te rassure, elle te rassure avec ses mots « Hm, c’est toi qui dis ça ? » c’est elle la compliquée de vous deux, c’est elle qui se pose des dizaines de questions avant d’agir, alors que tu es du genre tête brulé, du moins tu l’étais avant de te marier et de te ranger. Mais elle a raison, tu l’as vu prendre du plaisir, tu as vu qu’elle aimait ça, elle ne t’aurait pas menti sur ça, elle n’aurait pas fait semblant juste pour flatter ton égo d’homme. Elle n’aurait pas pu rêver mieux, là, elle le flatte ton égo d’homme sans même s’en rendre compte, tu t’approches d’elle et dépose un chaste baiser sur ses lèvres, ses joues sont légèrement rosies, ses cheveux sont en batailles et tombent sur ses épaules, elle te fait totalement craquer. Ta main passe dans ses cheveux, et tu passes ton bras autour de frêles épaules afin de la ramener contre toi, un sourire étire tes lèvres « Je me sens bien, vraiment » ça faisait une éternité que tu n’avais pas ressenti ce genre de chose. Tu déposes un baiser dans ses cheveux blonds puis joue avec l’une des mèches rebelles de ses cheveux, tu ne sais même pas comment tu pourras à nouveau la regarder sérieusement au boulot, tu ne pourras pas t’empêcher de la voir nue, de la toucher, de la caresser ou de vouloir l’embrasser. Tu te chasses ses pensées de la tête, pour le moment tu as une semaine en sa compagnie, une longue semaine ou tu l’intention de faire en sorte que chaque soir de la semaine se termine ainsi. Un bruit attire ton attention la seconde suivante, avec ce qui vient de se passer tu avais totalement oublié, la télévision, ton émission et le reportage qui te passionné un peu plutôt, il te semble tellement dérisoire désormais « Jamais, tu le sais » tu te crèveras au boulot un jour ou l’autre, tu le sais. Tu secoues la tête, tu ne veux pas qu’elle parte, même si l’idée de la voir marcher nue te plait, tu veux la garder avec toi, pour toute la nuit « Non, reste » tu te redresses, tu attrapes la télécommande de la télévision et tu la coupe. L’écran devient noir, la pièce aussi, tu te penches au-dessus d’elle, tu lui voles un baiser et tu allumes la lumière de la table basse. De nouveau tu t’allonges à côté d’elle, faisant en sorte qu’elle ne soit ni couverte, ni loin de toi, tu as envie de l’admirer, dans cette légère lumière « En revanche, je ne suis pas contre une douche, ça te dit ? » tu as besoin de te rafraichir, vraiment besoin et tu ne peux t’empêcher de penser à un autre moment intense dans ses bras. Tu te demandes si elle a envie d’un nouveau round, si votre ébats là totalement rassasié ou si elle en veut encore, parce que tu la veux, encore, encore et encore. Mais tu ne peux pas la forcer, et tu ne veux pas qu’elle pense que tu n’es intéressé que par le sexe avec elle « Ou, on commande un manger et on traine au lit… » cette option te convient aussi parfaitement.
Revenir en haut Aller en bas
Airlie Adamo
Airlie Adamo
member ◊ cute little coral

messages : 1237 pseudo : spf avatar + © : romee strijd + mags + endlesslove
(+18) strong. (leeo) Atelophobia

âge : dix-neuf ans.
statut civil : célibataire.
(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) EmptyDim 17 Juil - 0:34

leeo contrôle complètement la situation. allongé au-dessus de toi. il sait y faire. il sait gérer. il est parfait. il sait y faire et gérer largement assez pour te faire rougir bien que la honte n’avait rien à voir là-dedans pour une fois, tu rougissais de plaisir. tu arrives au bout. tu le sens. tu aurais voulu qu’il continue pendant des heures, mais tu n’étais pas capable de résister plus longtemps. tu sens ton corps se tendre, il ralentit un peu sa bouche se presse contre la tienne sa main s’agrippe à ta cuisse, puis plus rien. il s’écroule à tes côtés. tu respires tranquillement, pour retrouver ton souffle. tes paupières sont lourdes, mais tu le sens songeur. tu ouvres doucement les yeux. tu lui demandes d’arrêter de réfléchir. il réfléchit trop. il te demande si ça va. tu ne te contentes pas d’un banal ça va. il s’approche de toi et dépose un chaste baiser sur tes lèvres. baiser que tu prolonge un petit peu. sa main passe dans tes cheveux, avant de te ramener contre lui. tout ce dont tu as besoin. tu distingues son sourire. un sourire communicatif comme d’habitude.il n’a pas de questions à se poser, c’est même plutôt à toi de te poser des questions puisque c’est toi qui as débarqué en pleine nuit, vêtue très légèrement. c’est aussi toi qui lui as proposé cette semaine parenthèse et encore toi qui lui a dit que tu avais envie de lui. « hm, c’est toi qui dis ça ? » tu ris légèrement. tu l’embrasses dans le cou. « oui c’est moi qui dis ça. je pense que tu n’as pas de doutes à avoir, ni de questions à te poser, mais si tu n’es pas convaincu, on peut toujours y remédier. » tu le regardes malicieusement. tu lui poses la question qui te brûle les lèvres. tu as besoin de savoir comment il se sent. la dernière fois il n’avait pas l’air convaincu que vous deux ce soit une bonne idée. « je me sens bien, vraiment » tu souris légèrement. il se sent bien et toi aussi du coup. « c’est vrai ce mensonge ? » tu le taquines. « bon alors si tu te sens bien et même si je suis loin d’être une experte en la matière, je crois que je peux te le dire tu as été parfait, que tu as été tendre et doux. » tu n’as pas beaucoup de points de comparaison. tu ne sais pas si ton avis comptera vraiment pour lui, mais tu lui dis quand même. « je prends la pilule. » tu glisses l’air de rien. autrement dit il n'a pas besoin de mettre de préservatifs. tu supposes qu’il n’en n’a pas d’autres sur lui et il ne couche qu’avec sa femme. tu en es certaine après la conversation que vous aviez eu dans son bureau. il ne couche qu'avec elle et toi ta première expérience remonte un peu et il s'était protégé puisque tu ne prenais pas encore la pilule. « j’apprécie beaucoup l’attention. » tu le soulignes parce que ça te touche. ça te touche vraiment. il dépose un baiser dans tes cheveux puis il s’amuse avec une petite mèche. tu profites de ce moment. tu fermes les yeux c’est tellement agréable. tu ouvres les yeux tu regardes un peu autour. la télévision allumée sur un reportage financier, l’ordinateur et son économiseur d’écran et son repas qui ne doit plus être très chaud. « tu n'as même pas eu le temps de terminer. j’ai vraiment mal choisi mon moment. » tu soulignes. tu le connais leeo. tu sais qu’il ne s’arrête jamais. il confirme forcément. il ne peut pas réfuter. tu le connais trop bien. « je sais bien leeo, mais cette fois est-ce que tu peux faire un effort en dehors des rendez-vous ? » tu l’embrasses délicatement. « juste un petit effort pour moi. » tes lèvres se promène dans son cou avant de reprendre la parole. « je n’ai jamais été ici tu sais ? » tu le regardes dans les yeux. tu souris malicieusement. il le sait étant donné le nombre de fois que tu lui as dit. tu as plus voyagé avec lui qu’en seize ans. il le sait, mais tu lui répètes quand même. « j'aurais certainement jamais l'occasion d'y retourner tu sais. » tu veux lui faire passer un message. tu avais sien organisé la semaine. les rendez-vous n'étaient pas trop éparpillés dans la semaine donc c'était propice aux visites. « tu avais mon âge quand tu as créé ton entreprise et j’espère qu'à ton âge je serai toujours aussi passionnée que toi quel que soit le métier que je choisis. » tu lui en avais parlé, mais tu n’es toujours pas certaine de vouloir poursuivre tes études. tu n’es plus certaine de vouloir travailler dans la communication. tu as déjà eu de nombreuses propositions d’entreprises depuis que tu as commencé ta licence. certaines avaient voulus ou voulaient te prendre en alternance d'autres étaient prêtes à t’engager à la fin de ta dernière année. tu es major de ta promo depuis la première année, alors forcément tu avais reçu des propositions. tu hésites depuis trois ou quatre mois, même si tu en as parlé récemment à leeo. continuer ou arrête. mais tu en fais toujours autant, tu ne relâches pas la pression. tu aimes vraiment travailler. ton mémoire est pratiquement bouclé. si tu décides de poursuivre la seule échéance restante c’est l'épreuve de la soutenance orale. tu lui proposes de partir. il réagit simultanément en secouant la tête. « non, reste. » il se redresse. il coupe la télévision, se penche aussi de toi, t’embrasse et allume la petite lampe de chevet. il s’allonge à côté de toi, mais ça ne te suffit pas. « tu n’étais pas obligé d’éteindre, en plus j’étais bien moi. j’étais bien tout contre toi. » tu t’interromps quelques secondes. tu reprends avec un ton malicieux. « je crois que j’ai trouvé le moyen de te faire lever un peu le pied, malgré toi … et tu peux compter sur moi pour en user et même en abuser durant cette semaine. » il te propose une douche. tu n’as pas le temps de lui dire oui qu’il te propose de commander à manger et de trainer au lit. tu ne l’imagines pas vraiment trainer au lit. il part le dernier et il est là deux bonnes heures avant tout le monde. pas un jour ne fait exception à la règle. il n’a jamais été absent du moins depuis que tu travailles pour lui. tu as entendu qu'il s'est absenté un seul jour, un samedi pour son mariage. « on peut faire les deux. je suis vraiment impatiente de te voir trainer au lit sans travailler ça me paraît irréaliste … par contre j’ai un petit problème ... enfin deux pour être précise à régler avant d’aller sous la douche et pour les deux je vais avoir besoin de toi. » tu te mordilles la lèvre inférieure avant de te lancer. « tu m’as épuisé, vraiment épuisée je crois que je pourrais m’endormir tout de suite, mais j’ai encore envie de toi. » tu regrettes de ne pas savoir plus de choses sur le sexe et ne pas être capable de rendre à leeo le plaisir qu’il t’a donné. « j'ai pas été trop nulle ? » tu lui demandes. c'est une question à double tranchant. si ça se trouve tu as tellement été nulle que c'est pour ça qu'il ne te propose pas de remettre le couvert. tu as besoin de savoir même si tu n'es pas forcément très à l'aise avec le sujet. « j’ai un petit problème de clef et l'idée de faire de l'exhibitionnisme pour aller dormir dans ma chambre ça ne me tente pas vraiment même si ma chambre est à même pas cinq pas de la tienne. » tu te voyais mal remettre le débardeur et la culotte que tu avais mis en venant dans sa chambre, même si tu t'étais douchée il n'y a pas si longtemps. tu as tes habitudes et tu as aussi besoin de ton shampoing, de ton gel douche, de tes serviettes et de ta brosse à cheveux. tu sais pertinemment que les hôtels fournissent presque tout les objets que tu veux récupérer, mais ce ne sont pas les tiens. « il est quelle heure ? »
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

(+18) strong. (leeo) _
MessageSujet: Re: (+18) strong. (leeo)   (+18) strong. (leeo) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
(+18) strong. (leeo)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» (leeo) confusion in my mind.
» you're right. (leeo)
» leeo strand
» leeo strand
» leeo strand

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Laughing Out Loud :: La vie en rose :: rps-
Sauter vers: