(Lids) i couldn't stand the person inside me

« J’adore ta voix Lisa, surtout quand tu me susurres des trucs un peu cochon ou sous la couette, mais là, j’vais avoir la migraine à cause de toi. D’ailleurs mon ange en parlant de couette, j’crois que je vais être en inaptitude pendant quelques jours. » tu souffles bruyamment. comment ça ? pas de sexe ? comment tu vas faire pour tenir sans sexe ? c'est une blague ... tu ne pourras jamais tenir, tu ne pourras jamais être sage, tu seras obligée de lui sauter dessus à un moment donné. alors tu te contentes de souffler, de soupirer jusqu'à ce qu'on vous emmène dans un bureau pour que Mads signe des papiers. qu'est-ce qu'il signe au juste d'ailleurs ? t'en sais rien. tu restes sage, comme il te l'a demandé jusqu'à ce qu'on vous propose de vous ramener. c'est déjà ça. tu t'inquiètes, pour Mads, il ne veut pas aller aux urgences et quelque part tu comprends. après ce que tu viens d'apprendre, tu t'en rends compte. « Luka doit être occupé avec les g… enfin, il est peut-être demandé pour un shooting tardif ou un truc du genre. Je suis pas encore près à mourir C’est pas grave. Je ne peux déjà pas marcher alors je ne vais pas pouvoir conduire. Est-ce que l’un de vous ou un taxi peut nous ramener sur le parking de la plage ?» ils hochent la tête et tu prends ça pour un oui. « Lisa, je vais te laisser conduire la voiture. Seulement promet moi que tu ne l’abimeras pas. J’aimerais que les choses et les personnes que j’aime rentre en un seul morceau ce soir. » tu lui donnes une nouvelle claque derrière la tête. « t'sais quoi, t'as de la chance d'être inapte, parce que si tu ne l'étais pas tu serais puni de sexe. » que tu lui lances, le plus naturellement du monde. tu te fiches parfaitement que les officiers soient là, qu'ils vous regardent avec ce petit sourire en coin. t'es pas gênée, t'es pas du genre à être gênée, vraiment pas. faire l'amour dans un lieu public ne te fait pas peur, non, c'est quelque chose d'excitant. alors finalement, un officier se dévoue pour vous ramener du côté de la plage. tu montes à l'arrière, tu laisses Mads devant, sagement et tu prends ton téléphone pour vérifier. pas de réponse de Luka, tu espères qu'il va bien. vous arrivez plutôt rapidement en silence et l'officier vous donne les dernières recommandations. "faites attention" et bla bla bla, tu n'écoutes déjà plus, tu es là, tu te jettes vers la voiture et tu ouvres immédiatement la portière pour laisser Ness sortir. il se jette sur son maître, lui fait sa fête littéralement et tu le vois grimacer. il a mal. tu t'inquiètes de nouveau. tu reviens vers lui et tu prends sa main. « t'es sûr que tu ne veux pas .. aller aux urgences Mads, tu souffres ... je ne suis pas médecin, je ne pourrai rien faire pour te soulager .. » tu as peur pour lui, réellement. « je suis crevée Mads .. donne moi tes clés on rentre. s'il te plaît, j'ai envie de rentrer maintenant, il faut que tu te reposes. » tu ne lui laisses pas tellement le choix, tu arrives vers lui, caresses tendrement sa joue, tu fais attention à ses blessures et tu viens fouiller dans sa poche avant, sensuellement. t'en sors les clés, tu te recules et tu viens ouvrir la portière côté passager. « aller hop, tu entres dedans maintenant, je sais conduire j'te rappelle, j'ai jamais eu d'accident .. tu me sous-estime. » que tu lui lances, sûre de toi.

Ton cerveau se déconnecte complètement après que tu es signé les papiers dont Lisa ignore tout. Tu ne lui as pas dit que tu avais porté plainte. Parce que tu sais qu’elle aurait surement dit non. Tu montes dans la voiture du l’officier, la main dans celle de Lisa. T’es loin, très loin. T’es plus sur terre, tu ne penses pas à la douleur qui se diffusent de plus en plus dans ton corps. Tu ne montres rien. Tu n’as pas envie d’aller à l’hôpital. Tu n’es plus allé à l’hôpital depuis que les jumeaux de Frans t’ont tabassé. Depuis que t’es en morceaux. T’as au moins la moitié de tes os fracturés ou cassés à cause d’eux. La douleur reprend quand Ness te fait la fête. Il est heureux de te revoir en un seul morceau ou en plusieurs. Il pose ses deux pattes avant sur ton estomac et attend que tu le caresses. Ce que tu fais. Ness a dû être dans le même état que Lisa dans cette voiture. Tu l’entendais aboyer quand tu avais un moment de répit. Il aurait surement voulu être avec toi pour te défendre de ses trois cons, mais tu ne voulais pas qu’il commence à montre quelqu’un. Ness s’était un peu ton bébé, enfin c’est carrément ton bébé, c’est ton fils. Il est aussi import que Lisa. C’est pour ça que dans ton moment de lucidité, tu les as fait monter dans cette voiture. « Ness, mon vieux. Aie, doucement. Oui, moi aussi, tu m’as manqué.  » Tu lui le caresse en essayant de ne pas trop grimacer pour éviter que Lisa n’insiste trop pour t’amener à l’hosto. Effectivement, elle remet le sujet sur le tapis.  « t'es sûr que tu ne veux pas .. aller aux urgences Mads, tu souffres ... je ne suis pas médecin, je ne pourrai rien faire pour te soulager ..  » tu secoues ta tête   « Non pas d’urgence. J’appellerais demain le boulot pour prendre quelques jours et j’irais au médecin. On verra bien ce qu’il me dit, mais l’hôpital c’est la dernière des options. »  « je suis crevée Mads .. donne moi tes clés on rentre. s'il te plaît, j'ai envie de rentrer maintenant, il faut que tu te reposes.   » elle ajoutes « aller hop, tu entres dedans maintenant, je sais conduire j'te rappelle, j'ai jamais eu d'accident .. tu me sous-estime. » tu n’as pas le temps de lui tendre les clefs qu’elle vient les chercher elle-même. elle te caresse sans le vouloir ou peut-être que oui au final, Lisa est parfois sadique avec le sexe. Elle te chauffe, elle te chauffe et quand t’as envie, ben elle se stoppe.   « je sais ça, mais le Monstre n’est pas ta petite voiture. Elle est un peu plus puissante et musclé. Alors même si on met des heures à rentrer fait attention. » Tu as dû t’assoupir quand tu ressens des secousses sur ton bras et que tu entends la voix de Lisa. Elle n’est plus du côté conducteur, elle a ouvert le portière et t’aide à sortir. Tu grognes entre ta barbe quand tu sors de ta voiture « si j’avais su que je finirais dans cette état-là, après t’avoir dit ‘je t’aime’, j’aurais réfléchis un peu plus » tu le dis en plaisantant, parce que tu lui aurais quand même dit ce soir quoi qu’il arrive. Tu l’attrape par la taille, tes muscles te tirent. Tu l’embrasses parce que ses lèvres te manquent depuis des heures. « Je t’aime quand même mon emmerdeuse »  

« Non pas d’urgence. J’appellerais demain le boulot pour prendre quelques jours et j’irais au médecin. On verra bien ce qu’il me dit, mais l’hôpital c’est la dernière des options. » tu hoches finalement la tête. tu sais qu'il est têtu, sûrement autant que toi, mais tu ne peux pas l'obliger à aller à l'hôpital, même si c'est toi qui conduit, même si tu diriges là, ce soir, tu ne peux pas le forcer. d'autant que tu comprends parfaitement ses raisons. « je sais ça, mais le Monstre n’est pas ta petite voiture. Elle est un peu plus puissante et musclé. Alors même si on met des heures à rentrer fait attention. » qu'il dit en s'installant finalement, tu hausses les épaules. certes, et alors ? tu as déjà conduis la voiture de ton père par exemple et c'était une voiture très très puissante, tu sais ce que c'est la puissance, tu n'as pas peur mais bon, tu lui accordes, ta voiture n'est pas la plus puissante, tu préfères mettre tes sous dans des vêtements. c'est grave ? « ne t'inquiète pas, je vais faire attention. attache toi. » que tu réponds simplement avant de démarrer le monstre. le moteur ne te surprend pas cette fois puisque tu l'as déjà entendu. tu te mets en route et tu observes Mads du coin de l'oeil. il ne tarde pas à s'endormir le pauvre. il est épuisé. tu roules, doucement, tu respectes toutes les limitations, tu te fiches d'arriver dans deux heures, il s'est endormi alors ça va, il se repose. tu te contentes de remettre doucement sa tête en place contre le siège quand celle-ci fait des siennes. tu arrives finalement à destination, Braou, et tu laisses la voiture là, dehors, tu ne sais pas s'il veut la rentrer au garage, ou quoique ce soit, tu n'as pas les clés de toute manière. tu fais le tour de la voiture, tu viens sortir d'abord Ness, sagement, qui s'assit là, devant le côté passager, attendant sagement son maître. tu viens ouvrir la porte et tu t'engouffres doucement dans l'habitacle en déposant ta main sur son bras, quelque part où il ne semble pas blessé.  « mon ange ? Mads ? On est arrivé, réveille-toi. » que tu souffles doucement alors qu'il grogne. lui et le réveil, ça n'a jamais fait bon ménage. vraiment jamais. « si j’avais su que je finirais dans cette état-là, après t’avoir dit ‘je t’aime’, j’aurais réfléchis un peu plus » tu lui offres un léger sourire, tu n'es pas vexée, c'est de l'humour, mais il raison, toi aussi, tu aurais réfléchis si c'était pour qu'il termine dans cet état. tu as mal pour lui. il attrape ta taille, tu vois sa grimace se dessiner avant qu'il ne fonde sur tes lèvres. tu réponds, avec douceur, avec beaucoup de retenu, tu ne veux pas lui faire de mal, pas un peu plus. « Je t’aime quand même mon emmerdeuse »   qu'il continue finalement. tu déposes un léger baiser sur sa joue. « je sais. » que tu lui réponds simplement avant de fermer la voiture à clé et de venir vers la maison. tu ouvres la maison, et tu le laisses rentrer. « va dans la salle de bain, directement, t'as besoin de te laver. » que tu lui ordonnes, il n'a pas le choix, il faut qu'il nettoie ses blessures. alors tu ranges les affaires, tu poses les clés, tu changes l'eau de Ness avant de venir dans la salle de bain, il est là, en train de se regarder dans le miroir. il doit se rendre compte de l'ampleur des dégâts. « viens là .. » que tu lui murmures pour le séparer du miroir. tu t'attelles immédiatement à le déshabiller, sagement il te regarde, surpris. « je sais, je vais juste te laver Mads. » que tu lui réponds, tu sais, qu'il n'est plus apte, tu veux juste prendre soin de lui. c'est tout.

tu passes le pied de la porte après que Lisa est ouvert. Ça fait du bien d’être en terrain connu. Tu sais qu’ici il ne pourra rien t’arriver ou presque. T’as envie d’aller au lit, mais Lisa t’arrête. « va dans la salle de bain, directement, t'as besoin de te laver. » t’as pas vraiment le choix, elle t’obligera même par la force à aller dans cette fichue salle de bain alors que tu meures d’envie aller de jeter – enfin en douceur - dans ton lit. Tu ne dis rien et tu t’avances vers la salle de bain, laissant la jeune DeMarchelier et Ness dans le salon. Tu vas réussir à te laver ? T’es pas sûr seulement, tu ne peux pas demander à Lisa de t’aider. Ça serait tellement dégradent pour elle. Enfin vous l’avez déjà fait l’amour sous la douche, tout en vous frictionnant avec du gel douche, mais là, ce n’est pas pareil. Tu pousses la porte de la salle de bain et tu n’allumes pas de suite. T’es sur que le résultat de ta bagarre ne va pas te plaire du tout. T’es maintenant devant le miroir et tu actionne l’interrupteur. T’es surprit de ton reflet. T’es vraiment affreux. T’as un énorme cocard qui se forme autour de ton œil gauche. T’as d’ailleurs l’œil enflait à cette endroit-là. Tu bloques sur ton visage, t’es a pris des dérouillées, mais pas comme celle-là. T’es perdu dans ton reflet quand Lisa passe la porte.  « viens là .. » qu’elle te dit, tu t’approches alors docilement d’elle. elle commence à te défaire ton pantalon. Tu comprends pas ce qu’elle fait, enfin si c’est logiquement, mais tu ne vois pas où elle veut en venir. Tu n’es pas apte à faire des galipettes ce soir.  « je sais, je vais juste te laver Mads. » tu le sais ça, tu hoches la tête. tu lui laisse retirer ton blouson et ton tee-shirt. T’as l’occasion de voir ton torse. Putain c’est tout bleu. Tu savais que ça allait être vilain, mais là, c’est affreux. Ils ne t’on vraiment pas loupé les cons. Puis tu stoppes ta copine dans ton effeuillage. Elle n’a pas l’air de comprendre ce qui t’arrive. Tu regardes Lisa dans les yeux « mouai, je sais que tu vas juste me laver, mais là en bas, il n’est pas au courant » Que tu lui dit avec un petit sourire. T’as déjà une érection qui commence à se former dans ton pantalon. T’es foutu, t’as envie de lui faire l’amour, mais tu ne pourras pas assurer comme les fois d’avant. Tu la stoppes quand elle descend un peu trop dangereusement vers ta braguette « Lisa qu’est-ce que tu fais ? »    

tu ne peux t'empêcher de le détailler, d'observer chacune de ses blessures. tu vois d'abord son oeil, écarlate, rohge et gonflé .son arcade, ce bleu qui se forme, sa mâchoire également rouge. tu viens à lui enlever son blouson, tu fais doucement, le laissant glisser le long de ses bras avec délicatesse. tu le poses sur le lavabo avant d'attraper son t-shirt pour le relever. il lève les bras, tu le vois grimacer. tu te retiens, de ne pas pleurer. tu dois êtres forte, puis ça ne servirait à rien, ce qui est fait est fait maintenant. tu vois ses blessures, ses côtes amochées, ses bleus un peu partout. putain, si tu croises ces connards, tu te jures de le venger, tu te jures de leur faire payer ce qu'ils ont fait. tu lui annonces doucement que tu vas juste l'aider à se laver. c'est tout. « mouai, je sais que tu vas juste me laver, mais là en bas, il n’est pas au courant » qu'il te répond. tu lui souris, timidement d'un seul coup, parce que tu es concentrée dans ce que tu fais. des mains descendent sur son jean mais il t'arrête juste avant que tu ne les poses sur sa braguette. « Lisa qu’est-ce que tu fais ? » qu'il te demande finalement. « je te l'ai dis .. je vais te laver Mads. laisse-moi faire. » tu libères tes mains qui se posent sur sa braguette que tu descends vivement. tu sens son érection et tu lèves ton regard sur Mads. « sérieusement ? » tu laisses un fin sourire se dessiner, un de ces sourires coquins que tu essaies de retenir. « t'es pas croyable Mads. » que tu lui souffles finalement mais tu t'en fiches, tu continues, tu descends son jean jusqu'à ses pieds en te baissant sagement. « sois sage. » que tu reprends finalement, tu remontes, il est maintenant en boxer devant toi et tu ne peux pas passer à côté de son érection. « j'en connais un qui n'est pas blessé .. enlève ton boxer, sinon c'est moi qui vais le faire. » tu lui dis, sur un ton assez autoritaire, tu files vers la douche, tu allumes l'eau chaude sans regarder Mads. tu le laisses se débrouiller. tu te retournes, tu croises une paire de fesses. il est beau Mads, il est sexy, il est .. à toi; tu te reprends doucement avant de venir lui prendre sa main pour le mener jusqu'à la douche. tu le fais entrer dedans et tu restes légèrement en retrait. tu en dis plus rien, tu fais naviguer le pommeau de douche sur son corps, lentement, tu ne peux pas t'empêcher de regarder ses blessures. « ils n'ont pas fait semblant .. »

« je te l'ai dis .. je vais te laver Mads. laisse-moi faire. » oui oui tu sais qu’elle veut te laver, mais toi, tu as l’esprit tellement tordu que tu ne penses pas à ça. toi, tu penses au fait que t’es nu comme un vers et qu’elle doit finir dans le même état que toi. « sérieusement ?  t'es pas croyable Mads. » qu’elle te lances avec ce sourire coquin qui en dit long sur ses pensées pas du tout catholique. Tu ne vas jamais t’en sortir avec Lisa dans les parages. Tu sais, enfin tu sens, que tu ne seras pas capable de faire de galipettes pendant quelque temps, mais si elle reste près de toi, tu seras tenté comme pas possible. Seulement, tu ne peux pas lui demander de partir, car tu l’as veux près de toi. tu n’es pas près de la lâcher  « c’est pas ma faute, t’es qu’à être un peu moins tactiles et un peu moins désirable. » autant lui rejeter la faute dessus. Elle aurait été moins jolie ou pas ta copine, ça ne te serait pas arriver. Tu l’as désiré de tout ton être et de tout ton corps cette femme, ton corps le pauvre encore ce soir  « sois sage. » tu la regardes se baiser. Bordel Mads, reprend tes esprits. Ne pense pas à la position dans laquelle Lisa se trouve. Pense à des petits chats, des petits chats tout mignons. Et merde, ça ne passe pas. « j'en connais un qui n'est pas blessé .. enlève ton boxer, sinon c'est moi qui vais le faire. » tu hoches la tête, dans ton malheur tu as la chance de ne pas avoir été touché à cette endroit.  « heureusement d’ailleurs, j’aurais aimé que tu me l’enlèves, mais on va éviter pour ce soir. » tu entends l’eau coulée et tu enlèves le boxer bien docilement comme elle te l’a demander. Tu te retournes et tu vois qu’elle avait le regard fixer sur ton derrière. Alors comme ça ton petit fessier l’intéresse, même si elle dit qu’il ne fait pas. Tu souris bêtement. T’as de mauvais idée qui te passe dans le cerveau en se moment  « la vue te plait mon amour ? » que tu lui demande avec un brin d’humour avec les sourcils qui montent et qui redescende. Enfin, tu ne le fais pas longtemps parce que t’as ton arcade qui te pique. C’est déjà pas mal, tu souffres, mais tu n’as pas oublié comment sortir de blague à deux balles. Tu prends la main que Lisa te tends et avec celle qui te reste tu te caches les parties. Enfin, tu l’enlèves rapidement, elle a déjà vu ton entrejambe depuis le temps. Tu passes sous la douche et elle te passe le jet d’eau sous tout le corps.   « ils n'ont pas fait semblant ..  » tu ne l’écoutes plus vraiment. Tu t’imagines que le jet doigt qui parcourt ton corps, ses les mains de ta copine. Tu émets un petit grognement avant de lui dire « Lisa, je sais que ce n’est pas une bonne idée, mais j’ai envie de toi, là maintenant. » tu t’approches un peu plus d’elle, tu l’avertie alors gentiment « soit tu me rejoins immédiatement, sinon, c’est moi qui te mets à poil » toujours aussi romantique.  

« c’est pas ma faute, t’es qu’à être un peu moins tactiles et un peu moins désirable. » du coup, c'est ta faute ? il est vraiment pas possible ce type, mais il te fait rire, vraiment. « genre c'est ma faute, t'es pas croyable, je vais me mettre un sac sur la tête si tu veux. » que tu lui lances doucement. tu finis par mater ses fesses, sans aucune gêne après tout, c'est on homme, tu fais ce que tu veux n'est-ce pas ? « la vue te plait mon amour ? » tu souris, simplement. « toujours. » que tu réponds simplement avant de le mettre dans al douche pour le laver. tu laisses l'eau couler sur son corps que tu ne peux t'empêcher de regarder. il est marqué, blessé, et tu sais que demain ça sera pire. tu sais que demain il y aura plus de couleurs, plus de marques, tu le sais très bien. il émet un léger bruit, tu le regardes, tu lèves ton regard, tu croises le sien. « Lisa, je sais que ce n’est pas une bonne idée, mais j’ai envie de toi, là maintenant. » il s'approche de toi alors que tu es bloquée dans ses yeux. tu sens ce feu ardent qui l'habite. ses mots te retournent, t'as envie de céder, t'as envie de le rejoindre sous la douche mais tu sais que c'est une mauvaise idée. « soit tu me rejoins immédiatement, sinon, c’est moi qui te mets à poil » qu'il te balance, qu'il te prévient et tu ne peux que sourire devant sa pseudo-menace. alors tu t'approches, tu entres dans la douche tout en remettant le pommeau de douche en place contre la paroi; il t'a demandé de venir, il ne t'a pas demandé de te déshabiller. alors tu entres et tu viens encercler son visage avec douceur. « Mads, tu es blessé, c'est une très mauvaise idée. » que tu lui balances doucement alors que l'eau ruisselle sur toi, sur tes vêtements. « laisse moi prendre soin de toi, laisse moi te laver, désinfecter tes blessures et ensuite on verra. j'ai .. j'ai peur de te faire encore plus mal, j'ai peur de te faire du mal. » que tu lui confies en plantant tes yeux dans les siens. tu ne veux pas lui faire mal, oui, tu as peur d'aggraver son cas. tu poses doucement le bout de tes doigts sur ses côtes rougies. « regarde-toi Mads. » que tu souffles finalement, tentant de le convaincre même si tu sais quelque part que s'il en a vraiment envie, s'il ne veut que ça, tu sais qu'il l'aura parce que tu seras faible devant Mads, tu l'es toujours quand il s'agit de galipettes.

elle s’approche finalement de toi, Lisa en a surement envie elle aussi. Elle prend ton visage avec douceur, elle te dis finalement « Mads, tu es blessé, c'est une très mauvaise idée. laisse moi prendre soin de toi, laisse moi te laver, désinfecter tes blessures et ensuite on verra. j'ai .. j'ai peur de te faire encore plus mal, j'ai peur de te faire du mal. regarde-toi Mads. » tu lèves les mains au ciel tout en t’écartant de son contact. Tu dois t’éloigner parce que sinon tu auras envie de plus. Tu auras envie de sentir sa peau contre tes mains. De sentir tes lèvres sur des parties encore bien trop couverte. De sentir son souffle chaud et alletant dans ton cou. Tu te fais déjà ton petit film. Elle a peut-être raison, seulement toi quand t’as une idée ou une envie comme celle-là, il faut que tu l’assouvisses.   « Bon, bon très bien j’abandonne. Pas de sexe. Pas de Lisa pendant un moment. J’ai compris » tu capitules finalement où àa fait juste partie de ton plan diabolique ? Tu ne sais pas, tu sais plus, ton cerveau tourne au ralenti depuis que tu as pris des coups. tu l’as laissé finalement finir de te laver. Tu sors de la douche. Elle t’essuie vigoureusement, un peu trop même, parce que la douleur revient petit à petit. T’es neutre, elle ne doit rien voir. Elle essaie de t’aide, tu ne vas pas faire la grimace parce qu’elle te sèche un peu trop fort. Tu noues la serviette autour de tes hanches, tes fringues sont dans ta chambre. Puis tu relances le sujet « seulement quand tu en auras toi envie, je dirais peut-être non, parce que l’adrénaline que j’ai encore dans les veines sera partie et j’aurais trop mal à ce moment-là. » tu fais ton caprice d’enfant. Ta répartie est à deux balles et Lisa vient de finir de désinfectés tes plaies. Tu te redresses alors et tu t’éloignes vers la porte   « Tu rates ta chance chérie. J’vais au lit. Rejoins-moi si tu veux» que tu lui lances en laissant tomber ta serviette sur le sol. Elle profitera de la vue et peut-être changera-t-elle d’avis. T’aimes bien la provoqué la petite. Tu te rends jusqu’à ton lit et te glisse entre les draps nu comme un vers. Tu l’attends dans ta chambre qui est dans le noir, les yeux fixant le plafond.

« Bon, bon très bien j’abandonne. Pas de sexe. Pas de Lisa pendant un moment. J’ai compris » qu'il capitule. pas de sexe pendant un moment, toi, ça ne te plaît pas, vraiment pas. tu n'as pas honte d'avoir envie de lui, tu n'en as pas honte, ce n'est pas quelque chose qui te gêne. tu sais que si ça dure plus d'une semaine tu vas commencer à être réellement en manque, tu sais que tu ne tiendras pas tant que ça, et pourtant il va falloir, pour son bien avant toute chose. pour le moment, tu te contentes de ne pas trop y penser. tu prends soin de le laver, de faire doucement, du mieux que tu peux. tu en deviens presque perfectionniste et exigeante sur les bords. quelques minutes plus tard il est propre et pratiquement sec. il enroule la serviette sur sa taille alors que toi tu es déjà en train d'en prendre une autre pour te sécher. tu as tes vêtements qui collent sur ta peau, ton jean qui en devient trop lourd mais tu t'en fiches. « seulement quand tu en auras toi envie, je dirais peut-être non, parce que l’adrénaline que j’ai encore dans les veines sera partie et j’aurais trop mal à ce moment-là. » tu souris doucement, il revient sur le sujet, il ne lâche pas, et quelque part tu te sens désirée et c'est un sentiment qui te donne des ailes. réellement. ce qu'il ne semble pas comprendre c'est que tu es comme lui, tu en as toujours envie. « Tu rates ta chance chérie. J’vais au lit. Rejoins-moi si tu veux » tu laisses un petit rire s'échappe quand il laisse tomber la serviette sur le sol. tu l'admires, le matte, tu ne peux faire autrement jusqu'à ce qu'il disparaisse. il est pas possible. tu finis par retirer tes vêtements trempés et tu les étends comme tu peux dans la salle d'eau. tu ranges vite fait la salle de bain, mets les affaires de Mads dans la panière de linge et tu viens également ramasser sa serviette qu'il a laissé au sol. finalement, tu ne tiens pas longtemps et tu files vers la chambre. tu entres et tu le vois là, dans le lit, du moins tu le devines sachant que la pièce est plongée dans le noir. tu te mets au bout du lit et tu montes doucement sur ce dernier. tu avances vers Mads à quatre pattes, tu passes par dessus son corps enveloppé dans les draps et tu arrives finalement jusqu'à son visage. tu trouves ses lèvres immédiatement et tu l'embrasses avec passion. « je ne suis pas du genre à rater ma chance. » que tu murmures contre ses lèvres. pourtant tu ne le touches pas tant que ça, parce que tu ne sais pas où est-ce que tu peux poser tes mains sans lui faire mal. c'est ce qui te chagrine le plus, tu ne sais plus comment faire. ses lèvres, tu les captures une nouvelle fois, bravant la barrière de ses lèvres pour y mêler ta langue avec douceur. il n'a toujours pas poser ses mains sur ton corps qui est également nu, ça, il ne l'a pas encore remarqué. « si je te fais mal, il faut que tu me le dises. » t'as pas envie qu'il joue les supers héros, t'as pas envie qu'il prenne sur lui, tu veux qu'il te parle, qu'il te confie si ça lui fait mal. tu t'en voudrais dans le cas inverse.

Tu vois bien que le temps défile et qu’elle n’est toujours pas là. Il va surement falloir que tu ailles la chercher ou que simplement elle ne veut pas. T’as les yeux dans le vide, tu es perdu dans tes pensées. T’es en train de te faire le film de la soirée. Ton premier texto. Puis le sien, celui où elle te parle de Frans. Celui où elle te dit avoir peur de toi. Celui où elle te dit je t’aime. Celui auquel tu ne réponds. Tu l’aimes toi aussi, seulement, tu avais préféré lui dire en face. Tu lui as fait par de tes sentiments, mais aussi de tes tourments. Elle a compris que tu avais été blessé et l’a également vu. Cette soirée a été un ascenseur émotionnel. T’as cru la perdre, t’as cru qu’elle ne voudrait pas de toi. Finalement, ça ne se passe pas comme tu le prévois, elle a de la peine pour toi. Vous passiez un moment magique et là, dur retour à la réalité. « je ne suis pas du genre à rater ma chance. » tu l’avais sentis avant de l’entendre. Elle venait de grimper sur toi. Elle était à califourchon sur toi. Tu laisses un doux grognement sortir de ta gorge. Elle est là, à quelques centimètre de toi, de ta peau, encore quelques couches de tissus en trop et elle sera tienne. Parce que si elle vient aussi prédatrice sur toi, c’est qu’elle ne veut surement pas te raconter une histoire avant de dormir. Non, elle a une autre idée en tête. « si je te fais mal, il faut que tu me le dises. » tu acquiesce et tu la rassures en même temps. Enfin avec tes mots bien à toi « Ne t’en fais pas Lisa, je ne suis pas en sucre. Tu me feras que du bien mon ange.  » tu passes tes bras sur ses avant-bras   « ta peau est si douce» puis tu descends un peu plus bas vers ses hanches. Tu constates qu’elle est nue ta copine. T’es comme le loup dans Tex Avey. Tu serais la langue bien pendue, de la fumée qui sort de tes oreilles, les yeux hors de leurs orbites et le cœur qui bat la chamade. Oui, tu serais comme ce chien-là, ton cerveau ne calcule plus rien ou presque, enfin t’as un moment de lucidité « bordel mais t’es à poil. Vient ici, tu vas chopé froid » tu la fais passer sous la couette, enfin, tu l’as couvre du mieux que tu peux pour qu’elle soit couverte. Bien que vous allez avoir bientôt très chaud. « j’vais te laisser le contrôle cette fois-ci » puis tu laisses Lisa s’empaler sur ta masculinité. Pas te préliminaire, t’as déjà bien trop tendu. […] tu l’embrasse tendre, cette fois-ci tu as pris un plaisir fou. Habituellement c’est tellement sauvage entre vous. Vous ne prenez jamais le temps, vous êtes toujours pressés. Tu prends quand même ton pied, mais l à, tu as apprécié, tu as savouré. C’est bon, elle t’a fait l’amour, vous n’avez pas vulgairement baisé. C’est peut-être l’une des seule fois où ça été aussi long, tu as pris ton temps. Enfin, Lisa essayer de ne pas de faire mal, du coup, ça a ralenti les choses, mais t'as aimé. C’était comme faire l’amour à la femme que t’aime, t’es con Mads, c’est ce que tu viens de faire.   « Reste près de moi, reste là. je  t’aime Lisa, ne pars pas, j’ai besoin de toi.» que tu lui murmure avant de t’endormir, t’es k.o