(marlow) soirée entre filles

Une soirée entre filles, c’est tout ce dont tu as besoin en ce moment. Une soirée sans révisions. Une soirée où tu n’es plus une étudiante en médecine parmi d’autres. Ce soir, c’est spécial parce qu’Oihana est enfin rentrée. Elle est partie sur un coup de tête. Sa vie a pris un tournant inattendu. Ses sms ne te rassurent pas. Bien au contraire. Pire ça a même eu l’effet inverse sur toi. Alors tu es contente de la retrouver. Tu avais une petite soirée révision prévue avec d’autres étudiants, mais Oihana passe évidemment avant. De toute façon, tu avais pas mal avancé ses dernières semaines. Tu n’es pas venue les mains vides. Tu as ramené des bonbons et deux ou trois dvds. T’avais même pris le temps de téléphoner pour faire livrer des pizzas chez elle. Une soirée totalement saine et équilibrée. Tu n’aimais pas te priver niveau nourriture et c’était pareil pour Oihana. Tu n’avais pas le temps de manger sainement et puis bien manger fait partie des plaisirs de la vie alors tu ne te refuses rien, tu manges ce dont tu as envie quand tu en as envie surtout quand il s’agit des pizzas. Tu as tout prévu pour lui redonner le sourire en oubliant toutes les choses qui lui sont tombées dessus en aussi peu de temps et pour toi oublier une soirée que ta vie se résume presque plus qu’à la médecine. Tu aimes tes études même si ton petit quotidien est synonyme de fatigue démesurée avec des journées interminables, te laissant que très peu de temps pour t’amuser en dehors. Tu as toujours autant envie de devenir chirurgienne et de te spécialiser dans la chirurgie générale. Même si tu en bave depuis plusieurs mois. Tu as terminé tes cours à dix-huit heures et tu t’es mise en route à dix-huit heures dix. Un quart d’heure après tu arrives devant chez elle. Une fois devant sa porte, tu n’attends pas longtemps avant qu’elle ne t’ouvre. Ça t’arrange assez parce que tu es bien chargée étant donné que tu passes la nuit là-bas, tu avais ramené de quoi tenir jusqu’à demain matin. Elle se jette directement dans tes bras. Elle te questionne. C’est certainement plus à toi de lui demander comment elle va avant. « C’est plutôt à moi de te poser la question… mais ça va... je vais bien et toi ? » Elle te fait rentrer et ferme la porte. Tu la contournes pour entrer et déposer ton sac sur le canapé puis t’asseoir. « J’ai commandé des pizzas. » Tu la préviens. Elle vient de rentrer, elle n’a certainement pas eu le temps de cuisiner alors tu as pensé que c’est une bonne idée, tu aimais et elle aimait aussi ça. « Comment ça s’est passé ? » Tu es curieuse en même temps, elle n’avait pas eu l’occasion de tout te raconter par sms alors forcément ça t’intriguait. Tu enlèves ta veste tout en l’écoutant attentivement. « Tu as pu parler à ta sœur ? à tes parents… enfin à tes parents biologiques ? » Tu avais envie de tout savoir. « On va faire plus simple… Raconte-moi tout. Je veux tout savoir. Absolument tout dans les moindres détails. »

Tu l’écoutes attentivement. Elle t’a inquiété. Tu t’es fait du souci pour elle. Vraiment beaucoup de soucis. Sa vie partait en lambeau et puis elle qui part du jour au lendemain. Tu avais eu peur, très peur parce que tu ne sais pas ce dont tu aurais été capable si tu te serais retrouvée à sa place. Certainement du pire. Alors forcément t'as pas passé les meilleurs jours de ta vie durant sa petite escapade improvisée. Apprendre du jour au lendemain que tes parents qui t’ont élevés ne sont pas ceux qui t’ont vu poussé ton premier cri. Apprendre que ton frère n’est en réalité pas ton frère. Tu n’aurais certainement pas eu la force de supporter un tel chamboulement. Hakeem a beau t’exaspérer t’en crèverais probablement. En apprenant une telle nouvelle, en apprenant qu’il n’est pas ton frère, mais pour elle ça doit être différent. T’es certaine que pour elle avoir une autre sœur ne peut-être que bénéfique pour atténuer ne serait-ce qu’un peu la perte de Yon. Comme pour sa sœur biologique, ça lui permettra d’atténuer également la perte qu’elle a connu tu en es persuadée. Tu vois qu’elle est fraichement de retour. Tu vois que c’est frais dans son esprit. Parce qu’elle parle beaucoup sans s’arrêter tu te demandes presque comment elle fait. Elle se souvient de tout en détail et elle se questionne. « Je crois que les nobles s’embrassaient comme ça avant. » Tu lui fais un smack. Sans réfléchir plus que ça comme d’habitude. Tu as fait ça sur un coup de tête. « C’était mon anecdote pour l’histoire des nobles pour les nuls. » Tu rigoles. Tu la connaissais depuis tellement longtemps qu’un petit baiser chaste ça ne te mettra ni la mettra mal-à-l’aise. Tu n’étais clairement pas attirée par les femmes et elle le savait autrement tu ne te serai pas permise et pour elle c’était pareil parce qu’encore une fois tu ne te serai pas permise. C’était clairement la seule avec laquelle tu oserais faire ça parce que c’est elle dont tu es la plus proche. C’était la première et la dernière fois de toute façon. Tu préférais clairement les hommes. « Pour répondre à ta question je suis certaine que tout comme toi tu as besoin d’elle … elle a également besoin de toi. Elle va certainement réagir de la même manière que toi quand elle l’apprendra... sur le coup, mais je suis certaine qu’elle va vouloir de toi. » Tu souris à moitié. « Du coup je dois t’appeler princesse et te vouvoyer ? » C’était un peu le rêve de toutes les petites filles d’être une princesse. Toi tu es juste l’exception qui confirme la règle jamais tu ne t’es imaginé ou même déguisé en princesse. « Plus sérieusement je suis contente pour toi. » Ça c’est bien passé et ça te rassure vraiment. « Rassure-moi tu ne comptes pas déménager là-bas ? » Tu te ravises rapidement. Tu as parlé trop vite. Tu as parlé sans réfléchir. « Tu comptes emménager là-bas ? » Non parce que clairement même si c’est égoïste de ta part tu ne voulais pas l’imaginer aussi loin. L’imaginer aussi loin de toi. Tu avais rapidement regardé et c’était à presque trois heures de route de Biarritz alors tu ne pourrais pas la voir autant que maintenant peut-être même plus du tout comme quand elle habitait à Paris. Mais après tout si elle a envie d’emménager là-bas c’est son droit et c’est même plutôt logique.

c'est un défi :

Quand Marlow t’embrasse tu es un peu surprise. Tu ne t’attendais pas ça de la part de ta meilleure amie. Depuis que tu l’as connait, elle a toujours été si pudique, si calme. Là, elle vient de poser ses lèvres sur les tiennes. Si tu ne savais pas qu’elle aimait trop les garçons, tu te serais posé des questions. Marlow homosexuelle ? Marlow bisexuelle ? Si elle est de ce genre là, ça ne te dérange pas. Tu ne vas pas la voir différemment. Puis elle te dit en rigolant que c’est un truc que se fessait les nobles, il y a quelques année « Tu es folle, tu m’as fait peur. Je sais que je t’avais manqué mais pas à ce point-là.  » Tu ris, ton rire rejoint le sien. Bon Marlow t’as fait une petite blague. C’est de bonne guerre quand même, tu l’as laissé là sans nouvelle. Tu es partie pendant une bonne semaine sans l’avertir de ton idée de départ. « Heureusement que ce n’est plus le cas aujourd’hui, tu t’imagines à embrasse des inconnus sur la bouche. Ce n’est pas très hygiénique. » La sonnette de la porte retenti dans le salon. Les pizzas sont là. Tu te redresse en passant le lapin à Marlow. Elle était venue le choisir avec toi, lors d’un moment de liberté. Elle n’était pas souvent là. Toujours à réviser, donc tu avais profité d’un temps libre, pour l’amener dans une animalerie. Tu te sentais bien seule dans ce grand appartement. Un chien aurait demandé beaucoup d’attention et avec tes études, tu n’étais pas souvent à l’appartement. Un chat aurait été malheur enfermé puis tu avais un mauvais souvenir de ton Gribouille qui avait fini sous les roues d’un van. Un poisson n’était pas assez affectif. Puis de le voir tourner en rond ce n’est pas marrant. Un lapin c’était le mieux. Enfin, mise à part, le rognage des câbles électriques. Tu avais fait le tour de ton cher toi avant de le libère. Puis quand tu partais, il allait t’attendre sagement dans son parc. Tu ouvres à la livreuse, tu lui temps les billets, qu’elle prend et te laisse avec la douce odeur du fromage fondu. Puis Marlow te parle de déménagement. «  Déménager là-bas ? » Partir vivre dans le Gers dans ta nouvelle famille qui ne sait pas encore que tu existes. Tu ne sais pas, tu ne t’as jamais posé la question depuis que tu sais. Ça serait trop bizarre, puis ta vie est ici. Ta famille adoptive. Tes amies. Eneko. Marlow. Puis la tête blonde de Bastien, te manquerais trop. Enfin, ça tu n’oses pas le dire à haute voix. Tu es déjà bien heureuse qu’il ne t’a pas laissé tomber après que tu lui ais raconté ton histoire. « Honnêtement, je ne penses pas. Je ne les connais pas, je vais ne pas partir chez des étrangers. Puis ma vie est ici. » Tu reviens vers elle. Tu lui souris avant d’ajouter. « Puis avec qui je partagerais ma pizza ? tu me manquerais trop, déjà une semaine ça été dure. Heureusement que tu m’écrivais. Je me sentirais seule sans toi. »

« Je t’aime vraiment beaucoup Oihana, vraiment beaucoup, mais quand même pas à ce point. » Tu lui avances que c’est comme ça que les nobles s’embrassaient avant. Cette petite anecdote a eu l’effet escomptée. L’ambiance est plus légère. Oihana a même rigolé. Ça en valait le coup. « Oh, mais je peux parfaitement m’imaginer le faire, il faut juste tomber sur le bon lot quoi… sinon merci, mais non merci. » La sonnette retentit. C’est certainement les pizzas. Tu l’espères parce que tu as faim. Vraiment faim. En même temps une journée de cours ça creuse et pas qu'un peu. Elle se lève. Tu te retrouves avec son lapin entre les mains. Floki. Tu entends la porte qui se ferme et tu sens directement l’odeur du fromage. Tu as visé juste en pensant aux pizzas. Elle revient avec les pizzas et tu choisis ce moment pour lui demander si elle comptait déménager à deux reprises. À deux reprises parce que tu as trop rapidement parlé la première fois. Tu n’avais pas envie qu’elle parte aussi loin certes, mais ce n’était certainement pas à toi de décider. C’est ton entièreté qui a d’abord parlé. Si elle comptait partir aussi loin, il est évident que tu respecteras sa décision et qu’elle restera ta meilleure amie. Tu ne sais pas si elle a compris ce que tu voulais dire. Alors tu préfères rajouter. « Non... Quand je te demandais si tu comptais déménager, je pensais plutôt à déménager dans le Gers pas forcément dans leur maison. » Elle te répond par la négative. Tu es un peu soulagée. Au fond de toi, tu sais que c’est mal d’éprouver de la satisfaction. Elle rajoute que la semaine a été dure pour elle sans toi et qu’elle était contente que tu lui écrives. Tu culpabilises un peu moins. Ça n’a pas été évident pour toi non plus. Son départ t’a ramené au temps où elle a habité Paris. « Bah oui sans moi, tu n’auras plus personne avec qui faire un mix étonnant et inédit de pizzas. » Tu sors de ton sac deux paquets de bonbons acidulés et un paquet de chamallows. « Et le meilleur pour la fin... pour un dessert vraiment raffiné et peu calorique j’ai nommé les sucreries. » Repas très équilibré ou pas. Tu n’avais qu’une seule vie alors à quoi bon se priver. Si tu avais envie de manger une tablette de chocolat, tu le faisais. Sans la moindre once de culpabilité. Encore moins aujourd’hui parce que demain, tu iras faire un tour à la salle de sport avant d’aller en cours. Mais pas toute seule parce que toute seule, tu ne tiens même pas une heure. « J’ai même ramené des dvds. » Tu les sors. Tu poses ton sac à même le sol. « Demain, je dois me lever tôt. Si c’est le cas, tu prendras un truc sur le chemin. Si c’est le cas, tu prendras un truc sur le chemin.

« Dans le Gers ? Moi déménagé ? » Non c’est vraiment pas une option pour toi. Partir d’ici alors que ta vie est là ne t’as même pas traversé l’esprit. Ta vie est ici, même si ta famille biologique est à trois heures d’ici. « Biarritz, ses plages, l’océan, bien que tu saches pertinemment que ma pratique du surf est nul contre un micro climat humide, des champs de partout et des vielles pierres. Je ne ferais jamais l’échange. » Tu avais passé une semaine là-bas, quand tu fessais tes recherches, tu ne voyais pas le temps passé. Seulement une fois revenue dans ta chambre d’hôtel, la solitude s’était installée. Tu ne connaissais personne ici, la ville était fantôme une fois que vingt heures était passé. Tu ne te sentais pas dans ton élément. Quand tu étais montée à Paris, cette ville si bruyante, si animée, tu avais regrettais Biarritz. Parfois, tu te plaignais que la ville était trop monopolisée par les touristes, qu’il y avait trop de monde. Sauf que venir ici à Auch, tu comprenais que Biarritz était la ville qu’il te fallait. Tu reviens vers la table basse avec les pizzas, Marlow te dis en rigolant que tu ne pourrais plus faire de mix avec les pizzas que vous preniez. Hé oui, vous aviez cette fâcheuse habitude de prendre de pizzas différentes et de faire moitié moitié. C’était ton habitude préférée. Tu ne fessais pas d’infidélité à Marlow. Non, tu ne partageais ta pizza avec personne d’autre. « Non, je n’aurais plus personne. Puis d’un côté, je ne veux avoir personne d’autre. Tu es la seule avec qui je fais ça. » tu ris quand tu vois ce qui vous servira de désert. C’était vraiment une soirée entre filles. Vous ne vous priverez pas ce soir, tu sais parfaitement que demain, tu iras courir donc ce repas maigre en calorie ne sera plus qu’un mauvais souvenir demain à midi. «  Le repas idéal. Tu as visée juste. » C’est chose là t’avait manquer. Vous ne vous voyiez plus trop. Enfin de temps en temps autour d’un café ou par sms, mais pas trop pour une soirée comme celle-là. Tu avais besoin de ça, mais bon tu ne pouvais pas demander à Marlow de venir plus souvent, car ses études de médecine sont très importantes. D’ailleurs, elle te le confirme en te disant que le lendemain, elle doit se lever tôt.   « On se couchera tôt ne t’en fait pas, la route m’a cassée. »

Oihana t’a affreusement manqué. Même si tu ne veux pas l’avouer tu te rends compte que vos emplois du temps respectifs vous écartent un peu plus au fil du temps. Pas au point de ne plus du tout garder contact et tu avais quand même plus de contact avec elle que lorsqu’elle était à Paris. Parce que tu arrivais à aller au restaurant Tu tiens à elle et à votre amitié. Tu y tiens beaucoup, mais tes études t’occupent vraiment. Tu as tout fait pour avoir un maximum de temps libre. Tu as pris des cours tout l’été, renoncant à partir en vacances, mais forcément tu ne peux pas avoir de l’avance sur l’intégralité de la première année de médecine. Tu essayes cependant de faire le maximum pour pouvoir sortir un peu. Tu sors pas beaucoup, mais tu sors plus que la majorité de tes camarades. « Et voilà ! On est prêtes à gagner deux kilos supplémentaire chacune. » Tu ris légèrement. Tu sais que deux kilos c’est certainement trop gentil. Avec la tonne d'aliments absolument pas sains qui te tentaient et qui se trouvaient tout juste sous tes yeux il y a de quoi prendre bien plus que deux ridicules petit kilogrammes rien qu’en les regardant. Mais tu n’as jamais été obsédée par ton physique loin de là. Tu nages beaucoup et tu vas parfois à la salle de sport pour te donner bonne conscience parce qu’honnêtement tu n’y restes même pas une heure si Elijah n’est pas là. Tu devrais clairement envoyer les tickets de caisse de tes repas au connard qui remplace ton médecin. « J’imagine bien. » Tu ouvres le carton de la pizza. Tu tends une part à Oihana. « Bon appétit. » Tu prends une part pour toi que tu commence sans plus attendre tu es vraiment affamée. « Demain je vais à la salle de sport tu veux venir avec il y aura d’autres personnes, pas beaucoup, mais ça peut-être sympa quand même non ? » C’était l’avantage d’y aller tôt. Si elle y allait ça te motiverait peut-être à tenir durant toute la séance de bootcamp. Tu ne sais même pas pourquoi tu avais accepté cette séance alors que tu étais vraiment novice en la matière. Tu allais certainement recracher tes poumons à la fin de la séance si ce n’est pas avant. « Je te préviens d’avance c’est un Boot Camp et c'est à six heures. » Donc ça ne rigole pas vraiment. Ça ne rigole même pas du tout en fait, mais ça vous permettra de passer un peu de temps ensemble. « Au pire on pourra toujours s'échapper en douce. » C'était clairement ton truc de t'échapper en douce.

Tu attrapes la part de pizza quelle te tends. Tu avais eu l’occasion d’aller chercher deux verres et des bouteilles de sodas. Tu sais que vos pizzas s’accompagnent généralement de verres de cette boisson américaine à la robe sombre. Oui, bon du coca-cola. Puis elle te demande d’aller à la salle de sport avec elle. Tu n’es pas contre. Tu vas toi-même faire de sport tous les jours quand tu le peux, sinon c’est dans un moment de la journée. Tu aimes bouger ton popotin, tu n’aimes pas t’engraisser dans la monotonie. Puis tu n’as encore jamais fait de sport en compagnie de ta meilleure amie. Ça sera une première pour toute les deux. Jusqu’à ce qu’elle te dit qu’il y a un boot camp le lendemain matin. Tu avais déjà regardé une séance de boots camp sur YouTube, parce que pas mal de tes séances de fitness sont copiées de ce que tu vois. Tu t’étais renseigner un peu sur ce sport à la mode, mais tu avais bien vite fermé la vidéo. Tu avais été traumatisé de voir ce que ces hommes et femmes fessaient. Sauter par tout. Grimper sur des caisses hautes. Tu ne te voyais pas faire ça et surtout, tu ne savais pas si ton corps était cabale de dépasser certaines limites. « what un bootcam ?» tu en avales de travers ta part de pizza « t’es folle Marlow, je vais faire une crise cardiaque en direct » Marlow te le proposais, alors tu ne pouvais pas lui refuser. Elle fessait assez de chose pour toi depuis que tu l’as connaisse que tu te devais d’accepter. « Hum bon vendu, j’accepte » Vous avez passées la soirée devant un dvd totalement inconnu avant de vous endormir comme des masses sur le canapé. Le lendemain matinée, Marlow et toi, vous vous étiez levée à l’aube. Après une douche rapide, tu l’avais suivit à la salle de sport. Un endroit totalement inconnu pour toi. Pendant plus d’une heure et demi, vous en aviez chiées toute les deux. Vous vous regardiez souvent rouge écarlate pour voir si l’autre proposer d’arrêter. Seulement le coach qui était en face de vous ne vous avez pas permise d’arrêter. Il vous avait gueuler « Les filles remuaient moi un peu plus ce derrière, vous voulez être belles, magnifiques dans vos bikinis alors vous allez en chier et éliminer ce cul de bouffeuse de pizzas» Tu l’avais regarder surprise comment pouvait-il savoir pour les pizzas. Tu avais fermé ta bouche et avait fini la séance en sueur. Marlow et toi, vous vous étiez quittés et tu avais fini ta journée au lit. Tu étais vraiment trop épuisée.